EmmanuelClĂ©ro, qu’est-ce qu’une MFR, Maison familiale rurale ? C’est un centre de formation par alternance pour favoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes. Tout savoir sur la maison basque qui affiche une identitĂ© visuelle forte au Pays qu'une maison basque ? La maison basque, Ă©galement appelĂ©e Etxe » en basque, dĂ©signe dans le sens architectural courant , le type de construction typique du Pays basque. La maison basque ou ferme basque servait, Ă  l'Ă©poque, Ă  loger la famille et le bĂ©tail. Avant le Moyen-Age, elles Ă©taient construites en bois et c'est Ă  partir du XVIe siĂšcle que va se dessiner le profil de la maison basque contemporaine telle qu'on la connaĂźt de nos jours. Ces grandes bĂątisses blanches et rouges Ă  colombages donnent au Pays basque ce petit supplĂ©ment d'Ăąme. La maison basque au centre de la culture basque La sociĂ©tĂ© basque a toujours tournĂ© autour de la maison familiale. C'est pourquoi, la maison basque est aussi et surtout un vĂ©ritable symbole de l'organisation sociale et d'une activitĂ© rurale. Ce n'est pas seulement un lieu d'habitation, mais Ă©galement une unitĂ© politique, Ă©conomique, relationnelle et sociale. En effet, il n'est pas rare que les habitants se connaissent mieux sous le nom de leur maison que sous leur rĂ©el patronyme. D'ailleurs, le nom que l'on donnait Ă  la bĂątisse restait le mĂȘme durant des siĂšcles et il Ă©tait gĂ©nĂ©ralement un toponyme, selon le lieu oĂč Ă©tait situĂ©e la maison prĂšs d'une riviĂšre ou d'un bois, en haut d'une colline,.... Selon les lois des basques, la maison Ă©tait transmise de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration et usuellement c'est l'aĂźnĂ©, appelĂ© en basque etxekoa », qui en hĂ©ritait mais, cela pouvait changer d'une province Ă  une autre. L'heureux Ă©lu devient alors le maĂźtre de maison » et en aura la responsabilitĂ© entiĂšre. A savoir que les parents et autres enfants seront toujours logĂ©s dans la maison, d'oĂč l'importance de possĂ©der une grande demeure. Les caractĂ©ristiques d'une maison basque Ces maisons bicolores ou autrement appelĂ©es labourdines » possĂšdent toutes les mĂȘmes caractĂ©ristiques, Ă  quelques dĂ©tails prĂšs, crĂ©ant alors une harmonie architecturale au sein du Pays basque. Elles comportent une seule façade avec des ouvertures et orientĂ©e vers l'est, tandis que les autres façades sont presque nues pour protĂ©ger des vents dominants venus de l'ocĂ©an. Sous la toiture asymĂ©trique et Ă  deux pans et en tuiles romaines, se distinguent des balcons, au niveau du grenier, servant Ă  faire sĂ©cher le maĂŻs. Le rez-de-chaussĂ©e est rĂ©servĂ© au bĂ©tail et Ă  la cuisine et les chambres sont situĂ©es Ă  l'Ă©tage. Ses façades sont blanchies Ă  la chaux. Les maisons basques possĂšdent des colombages de couleur rouge, dites cƓur de bƓuf ». En effet, les habitants recouvraient leurs volets de sang de bƓuf afin de protĂ©ger leur maison des insectes et du pourrissement. Des ouvertures plus hautes que larges, encadrĂ©es de volets en bois. Des portes et des chaĂźnages d'angles en pierre. En outre, la maison basque est fiĂšre et robuste, avec du cachet et de l'authenticitĂ©. Les maisons basques ont beaucoup Ă©voluĂ© au fil du temps passant d'habitat rural Ă  des villas bourgeoises. Dans les annĂ©es 1900 Ă  1930, l'engouement des bains de mer dans la rĂ©gion convoitĂ©s par une clientĂšle aisĂ©e a donnĂ© naissance Ă  une architecture nouvelle le style nĂ©o-basque ». Des maisons au cachet remarquable signĂ©es par des architectes de renom ont alors vu le jour. Les couleurs ont elles aussi beaucoup changĂ©es et ont Ă©voluĂ©es du fameux rouge basque Ă  toute une palette de couleurs diverses. L'acquisition d'une maison basque TrĂšs convoitĂ©es par les amoureux des vieilles pierres et de l'authenticitĂ©, les constructions nĂ©o-basques ont su s'imposer dans la rĂ©gion et sont aujourd'hui protĂ©gĂ©es par une lĂ©gislation stricte visant Ă  protĂ©ger ce patrimoine. De nombreuses constructions rĂ©centes adoptent ce courant architectural, notamment dans les communes les plus conservatrices qui souhaitent prĂ©server cette harmonie architecturale. Dans la rĂ©gion, le style nĂ©o-basque est trĂšs rĂ©pandu et reprĂ©sente environ la moitiĂ© de l'offre immobiliĂšre dans le moyen et haut de gamme. Ce type de bien immobilier affiche une fourchette de prix assez large qui varie suivant l'emplacement, la vue, la superficie du terrain mais aussi du standing des prestations et des rĂ©novations. Cela peut dĂ©marrer pour certaines maisons Ă  600 000 € et dĂ©passer les 5 millions d'euros pour de trĂšs belles maisons Ă  vendre au Pays Basque dans les villages les plus cĂŽtĂ©s. Envie d'obtenir de plus amples informations concernant ce marchĂ©, n'hĂ©sitez pas Ă  demander conseils Ă  l'un de nos consultants spĂ©cialisĂ©s de nos agences BARNES CĂŽte Basque. LactivitĂ© a explosĂ©, je recevais 40 patients par jour. J’ai eu peur de plus pouvoir proposer des soins de qualitĂ©. En janvier 2016, j’ai pris la dĂ©cision de racheter la vieille Ă©cole du village avec le soutien de la municipalitĂ©, avec le projet de crĂ©er une maison de santĂ©. Qu’est-ce qui a changĂ© depuis? Skip to content La FĂ©dĂ©rationFormations 4Ăšme / 3ĂšmeCAPBac ProfessionnelBTS et Titre professionnelFormations certifiantesFormations adultesMĂ©tiersEtablissements MFR CondĂ© sur VireMFR CoutancesMFR GranvilleMFR La Haye du PuitsMFR MortainMFR PercyMFR Saint SauveurMFR La HagueMFR Vains St SenierMFR ValognesMFR VireActualitĂ©s et projetsContactLa FĂ©dĂ©rationFormations 4Ăšme / 3ĂšmeCAPBac ProfessionnelBTS et Titre professionnelFormations certifiantesFormations adultesMĂ©tiersEtablissements MFR CondĂ© sur VireMFR CoutancesMFR GranvilleMFR La Haye du PuitsMFR MortainMFR PercyMFR Saint SauveurMFR La HagueMFR Vains St SenierMFR ValognesMFR VireActualitĂ©s et projetsContact La FĂ©dĂ©ration Territoriale des MFR Ouest Normandie La FĂ©dĂ©rationMFR Ouest Normandie2021-04-16T101806+0200 La FĂ©dĂ©ration Territoriale des MFR Ouest Normandie accueille chaque annĂ©e prĂšs de 1500 Ă©lĂšves dans les 11 Ă©tablissements du territoire. Les formations sont dispensĂ©es en alternance, de la 4Ăšme au BTS et dans 8 secteurs professionnels. Qu’est-ce qu’une MFR ?Une Maison Familiale Rurale est un centre de formation pour jeunes et/ou adultes. Toutes les formations dispensĂ©es en MFR sont basĂ©es sur un rythme d’alternance. Les Ă©lĂšves jonglent entre les pĂ©riodes Ă  la MFR et les pĂ©riodes en entreprise. Ce dispositif singulier permet Ă  chacun de rĂ©aliser son projet professionnel. Au delĂ  de l’accompagnement Ă©ducatif, les Ă©quipes pĂ©dagogiques inculquent des valeurs de savoir-ĂȘtre et de savoir faire. Une MFR accueille en moyenne 150 Ă©lĂšves, encadrĂ©s par une Ă©quipe Ă©ducative constituĂ©e d’une quinzaine de personnes un directeur, huit formateurs, une maĂźtresse de maison, un cuisinier, une secrĂ©taire, un responsable de l’entretien, un surveillant de nuit. Les 150 Ă©lĂšves ne sont pas tous prĂ©sents en mĂȘme temps du fait de l’alternance Chaque MFR est une association familiale composĂ©e de parents et de maĂźtres de stage. En MFR, les familles sont au coeur du processus Ă©ducatif. Elles ont le pouvoir d’agir, de prendre des dĂ©cisions et de s’impliquer dans l’organisation et le fonctionnement des MFR. Les associations travaillent en rĂ©seau au niveau dĂ©partemental, rĂ©gional et national. Qu’est-ce que la FĂ©dĂ©ration ?La FĂ©dĂ©ration Territoriale des MFR Ouest Normandie a pour rĂŽle de – ReprĂ©senter les 11 associations adhĂ©rentes auprĂšs des Pouvoirs Publics, organismes professionnels et familiaux et de tous les autres organismes exerçant leur autoritĂ© ou fonctionnant dans la circonscription de la FĂ©dĂ©ration. – Apporter les services nĂ©cessaires aux MFR et Ă  leur dĂ©veloppement ainsi qu’au dĂ©veloppement de l’éducation populaire en milieu rural et plus spĂ©cialement de l’éducation, de l’orientation, de la formation professionnelle, du perfectionnement, de la promotion sociale, de l’apprentissage, du recrutement et de la formation des cadres. – Mener et favoriser toutes autres actions intĂ©ressant le milieu rural. – Veiller au respect par les associations adhĂ©rentes des statuts types et des principes et mĂ©thodes dĂ©finis par l’Union Nationale des Maisons Familiales Rurales.
Quest ce qu'une MFR ? une école privée laïque sous contrat, une association administrée par des parents et des professionnels,; une école à taille humaine (environ 200 jeunes par établissement) : c'est une des particularités des Maisons familiales rurales : un nombre d'élÚves relativement limité pour garantir proximité et convivialité au sein de l'établissement.
La prĂ©sente circulaire a pour objet d'apporter des prĂ©cisions quant aux modalitĂ©s de mise en Ɠuvre du dispositif des bourses nationales d'Ă©tudes de second degrĂ© de lycĂ©e. ConformĂ©ment aux dispositions de l'article D. 531-21 du code de l'Éducation, pour la dĂ©termination des points de charge, les charges de la famille sont celles correspondant Ă  l'annĂ©e retenue pour les ressources selon les dispositions du chapitre III-B-1 de la circulaire n° 2009-101. Le premier alinĂ©a du chapitre III-B-2 intitulĂ© Charges de la famille » Les charges familiales sont Ă©valuĂ©es en points, au vu de la situation de la famille renseignĂ©e dans la demande de bourse et justifiĂ©e si besoin. » est remplacĂ© par Les charges familiales sont Ă©valuĂ©es en points, au vu de la situation de la famille lors de l'annĂ©e retenue pour les ressources Ă  prendre en compte, selon les modalitĂ©s du chapitre III-B-1 ci-dessus. » DonnĂ©es actualisĂ©es Les annexes 2 et 3 de la circulaire n° 2009-101 sont actualisĂ©es pour prendre en compte la revalorisation des plafonds de ressources telle qu'elle rĂ©sulte de l'arrĂȘtĂ© du 18 juin 2010. Vous trouverez en annexe le barĂšme d'attribution des bourses de lycĂ©e applicable pour la prochaine rentrĂ©e scolaire, ainsi que le tableau de dĂ©termination du nombre de parts Ă©tabli en fonction des ressources et du nombre de points de charge. Une version consolidĂ©e de la circulaire n° 2009-101 du 17 aoĂ»t 2009 est annexĂ©e Ă  cette circulaire modificative. Annexe Bourses nationales d'Ă©tudes du second degrĂ© de lycĂ©e. Application du dĂ©cret n° 2009-553 du 15 mai 2009, portant dispositions rĂ©glementaires du titre III du livre V du code de l'Éducation MENE0918014C circulaire n° 2009-101 du 17-8-2009 consolidĂ©e au 21-7-2010 MEN - DGESCO B1-3 Texte adressĂ© aux rectrices et recteurs d'acadĂ©mie ; aux inspectrices et inspecteurs d'acadĂ©mie, directrices et directeurs des services dĂ©partementaux de l'Éducation nationale La prĂ©sente circulaire a pour objet de dĂ©tailler les modalitĂ©s d'application rĂ©sultant de la codification des aides Ă  la scolaritĂ©, articles R. 531-13 Ă  D. 531-43 du code de l'Éducation, et d'apporter les prĂ©cisions nĂ©cessaires Ă  la mise en Ɠuvre du dispositif des bourses nationales d'Ă©tudes de second degrĂ© de lycĂ©e Ă  compter de la rentrĂ©e scolaire 2009-2010. I. Champ des bĂ©nĂ©ficiaires Les bourses nationales d'Ă©tudes du second degrĂ© de lycĂ©e sont destinĂ©es Ă  favoriser la scolaritĂ© des Ă©lĂšves qui suivent des enseignements gĂ©nĂ©raux, technologiques ou professionnels et dont les ressources familiales ont Ă©tĂ© reconnues insuffisantes. Selon les termes du code de l'Éducation articles L. 531-4 et L. 531-5, des bourses nationales bĂ©nĂ©ficient aux Ă©lĂšves inscrits dans les lycĂ©es publics ou privĂ©s sous contrat, ou habilitĂ©s Ă  recevoir des boursiers nationaux, ainsi que dans les Ă©tablissements rĂ©gionaux d'enseignement adaptĂ© EREA. Elles sont attribuĂ©es, sous rĂ©serve de recevabilitĂ© de la demande, sous conditions de ressources et de charges de la famille - article D. 531-19 du code de l'Éducation, apprĂ©ciĂ©es en fonction d'un barĂšme national dĂ©terminĂ© par des plafonds de ressources fixĂ©s par arrĂȘtĂ© interministĂ©riel. Les Ă©lĂšves scolarisĂ©s en classe de niveau collĂšge dans les lycĂ©es relĂšvent du dispositif des bourses d'Ă©tudes du second degrĂ© de lycĂ©e, dans les conditions prĂ©cisĂ©es ci-aprĂšs. Les Ă©lĂšves scolarisĂ©s dans le cadre de la mission gĂ©nĂ©rale d'insertion relĂšvent Ă©galement de ce dispositif. Il vous appartient de veiller Ă  ce qu'ils puissent bĂ©nĂ©ficier de ces bourses quelle que soit la date d'entrĂ©e en formation, mais pour la seule durĂ©e de la pĂ©riode de formation. Enfin, les Ă©lĂšves frĂ©quentant des classes prĂ©paratoires Ă  l'apprentissage en centre de formation d'apprentis CFA et dans les Ă©tablissements du type maisons familiales rurales MFR peuvent bĂ©nĂ©ficier, sous les mĂȘmes conditions que les Ă©lĂšves de niveau collĂšge en lycĂ©e, des bourses d'Ă©tudes du second degrĂ© de lycĂ©e. Il vous appartient de mettre en place une campagne complĂ©mentaire dĂšs la rentrĂ©e scolaire auprĂšs de ces Ă©tablissements, afin qu'ils diffusent l'information auprĂšs des Ă©lĂšves susceptibles d'ĂȘtre concernĂ©s. Chaque service acadĂ©mique chargĂ© de la gestion de bourses nationales fixera, pour son ressort, la date limite de cette campagne complĂ©mentaire. II. Information des familles - remise du dossier - dĂ©pĂŽt des candidatures 1. Établissements scolaires Les Ă©tablissements scolaires collĂšges et lycĂ©es ont en charge l'information des familles et des Ă©lĂšves. Il appartient au chef d'Ă©tablissement public ou privĂ© sous contrat - de faire connaĂźtre l'existence et les modalitĂ©s d'attribution des bourses nationales ; - d'informer les familles des prĂ©sentes dispositions. Il convient de mettre en place tous les moyens utiles Ă  l'information des familles, afin qu'elles soient en mesure de dĂ©poser un dossier dans les dĂ©lais. Il sera utile, avant dĂ©livrance d'un dossier, de remettre aux familles la fiche d'auto-Ă©valuation, qui leur permettra d'estimer si leur situation est susceptible d'ouvrir un droit Ă  bourse pour leurs enfants et leur Ă©vitera de remplir inutilement un dossier. La rĂ©alisation de cette Ă©tape conditionne le bon dĂ©roulement de l'instruction des dossiers dans le respect des dĂ©lais il conviendra donc de veiller au bon dĂ©roulement des procĂ©dures. 2. Remise du dossier Le dossier prĂ©-imprimĂ© nĂ©cessaire Ă  la demande d'aide doit ĂȘtre retirĂ© par la famille auprĂšs du secrĂ©tariat de l'Ă©tablissement frĂ©quentĂ© par l'Ă©lĂšve susceptible d'obtenir une bourse. Les demandes qui viendraient Ă  ĂȘtre dĂ©posĂ©es avec ce type de formulaire doivent ĂȘtre traitĂ©es comme celles qui auront Ă©tĂ© Ă©tablies Ă  l'aide du formulaire habituel et respecter les mĂȘmes rĂšgles. 3. DĂ©pĂŽt des candidatures La date limite de dĂ©pĂŽt des demandes de bourse nationale d'Ă©tudes du second degrĂ© de lycĂ©e pour l'annĂ©e scolaire est fixĂ©e annuellement par circulaire publiĂ©e au Bulletin officiel du ministĂšre de l'Éducation nationale. ConformĂ©ment Ă  l'article D. 531-24 du code de l'Éducation, il ne peut ĂȘtre dĂ©posĂ© qu'une seule demande de bourse par Ă©lĂšve. 4. AccusĂ© de rĂ©ception Afin d'Ă©viter tout litige ultĂ©rieur, il est demandĂ© Ă  chaque Ă©tablissement de dĂ©livrer Ă  chaque famille ayant dĂ©posĂ© un dossier de demande de bourse un accusĂ© de rĂ©ception conforme au modĂšle joint en annexe 1. Les dossiers dĂ©posĂ©s aprĂšs la date fixĂ©e nationalement doivent Ă©galement faire l'objet d'un accusĂ© de rĂ©ception et ĂȘtre transmis Ă  l'inspecteur d'acadĂ©mie qui seul pourra prononcer l'irrecevabilitĂ© des demandes. III. Conditions d'attribution des bourses A. Conditions gĂ©nĂ©rales 1. Conditions de scolarisation Les bourses nationales d'Ă©tudes du second degrĂ© de lycĂ©e sont susceptibles de bĂ©nĂ©ficier aux Ă©lĂšves qui suivent, sous statut scolaire, une formation dans - un Ă©tablissement public local d'enseignement ; - un Ă©tablissement privĂ© sous contrat ou habilitĂ© Ă  recevoir des boursiers nationaux ; - au Centre national d'enseignement Ă  distance, selon les dispositions prĂ©cisĂ©es par l'arrĂȘtĂ© pris en application de l'article D. 531-17 du code de l'Éducation ; - un Ă©tablissement ou service social ou mĂ©dico-social privĂ©, si le statut de l'Ă©tablissement qui les accueille ne leur permet pas de bĂ©nĂ©ficier de la prise en charge prĂ©vue Ă  l'article L. 242-10 du code de l'Action sociale et des familles. NB - Les jeunes inscrits en formation dans un Greta ne sont pas sous statut scolaire. 2. Conditions de nationalitĂ© Peuvent bĂ©nĂ©ficier des bourses nationales d'Ă©tudes du second degrĂ© de lycĂ©e - les Ă©lĂšves de nationalitĂ© française ; - les Ă©lĂšves de nationalitĂ© Ă©trangĂšre, rĂ©sidant en France avec leur famille pĂšre et mĂšre du candidat boursier, ainsi que ses frĂšres et soeurs d'Ăąge scolaire et Ă  charge. Toutefois, en application de l'article 12 du rĂšglement de la CEE n°1612/68 du 15 octobre 1968 modifiĂ©, l'obligation de rĂ©sidence en France de la famille du candidat boursier n'est pas opposable aux ressortissants des États membres de l'Union europĂ©enne. Ces derniers peuvent bĂ©nĂ©ficier d'une bourse nationale d'Ă©tudes du second degrĂ©, dĂšs lors que l'un des parents est - ou a Ă©tĂ© - titulaire d'un emploi sur le territoire français. Il appartient au demandeur d'apporter les justificatifs permettant d'apprĂ©cier le droit Ă  bourse. B. CritĂšres sociaux d'attribution des bourses Les critĂšres d'attribution des bourses sont applicables aux Ă©lĂšves qui remplissent les conditions gĂ©nĂ©rales prĂ©cisĂ©es ci-dessus. 1. Ressources Ă  prendre en compte a AnnĂ©e de rĂ©fĂ©rence Pour toutes les catĂ©gories socio-professionnelles, les ressources Ă  prendre en considĂ©ration sont celles figurant sur la ligne revenu fiscal de rĂ©fĂ©rence » de l'avis d'imposition ou de non-imposition concernant les revenus perçus au cours de l'avant-derniĂšre annĂ©e civile par rapport Ă  celle de la demande de bourse article D. 531-21. En principe, aucune dĂ©duction n'est Ă  opĂ©rer sur le montant exprimant le revenu fiscal de rĂ©fĂ©rence » de la famille. Il n'y a pas lieu de rĂ©intĂ©grer dans les revenus les ressources non imposables prestations familiales, allocations familiales, prestations logement, RSA, fonds national de solidaritĂ©, etc. Pour des raisons d'Ă©quitĂ©, il est important de retenir l'avant-derniĂšre annĂ©e civile par rapport Ă  celle du dĂ©pĂŽt de la demande de bourse comme unique annĂ©e de rĂ©fĂ©rence des revenus considĂ©rĂ©s, car les plafonds de ressources appliquĂ©s Ă  la prĂ©sente campagne de bourses ont Ă©tĂ© dĂ©terminĂ©s sur cette mĂȘme base temporelle. Cependant, lorsque les familles font Ă©tat d'une modification substantielle de leur situation familiale entraĂźnant une diminution des ressources depuis l'annĂ©e de rĂ©fĂ©rence, les revenus de la derniĂšre annĂ©e civile prĂ©cĂ©dant la demande de bourse pourront ĂȘtre pris en considĂ©ration, voire ceux de l'annĂ©e en cours. Pour la prise en compte des revenus de la derniĂšre annĂ©e civile prĂ©cĂ©dant celle de la demande N-1, il convient de rĂ©clamer un justificatif des revenus effectivement perçus sur toute l'annĂ©e civile et de leur appliquer un abattement correspondant Ă  l'Ă©volution de l'indice des prix Ă  la consommation communiquĂ© chaque annĂ©e par la DGESCO afin de rapporter ces revenus Ă  leur valeur pour l'annĂ©e de rĂ©fĂ©rence, puis de leur appliquer l'abattement forfaitaire de 10 % autorisĂ© par la rĂ©glementation fiscale. À titre tout Ă  fait exceptionnel, dans le cas oĂč la dĂ©gradation se produit sur l'annĂ©e en cours au moment de la demande, il convient de prendre en compte les revenus effectivement perçus sur les premiers mois de l'annĂ©e et de les Ă©tendre Ă  l'annĂ©e complĂšte pour Ă©valuer les ressources des familles. Il conviendra alors de leur appliquer successivement les abattements correspondant Ă  l'Ă©volution de l'indice des prix Ă  la consommation entre l'annĂ©e en cours et l'annĂ©e N-1, puis entre l'annĂ©e N-1 et l'annĂ©e N-2. Sur le rĂ©sultat obtenu, vous devrez appliquer l'abattement forfaitaire de 10 % autorisĂ© par la rĂ©glementation fiscale, pour obtenir le revenu de rĂ©fĂ©rence. Lorsque les ressources auront Ă©tĂ© apprĂ©ciĂ©es sur des Ă©lĂ©ments d'une annĂ©e incomplĂšte, vous veillerez Ă  prĂ©voir une rĂ©vision de ressources pour l'annĂ©e ultĂ©rieure. b Justification des ressources Afin de conserver aux bourses nationales d'Ă©tudes leur caractĂšre social, il vous appartient de demander aux familles tous les documents officiels permettant d'apprĂ©cier, en toute Ă©quitĂ©, la situation financiĂšre exacte des demandeurs. Vous pourrez, si nĂ©cessaire, solliciter l'avis des services fiscaux. Les familles imposables sur le revenu justifient de leurs ressources par l'avis d'impĂŽt sur le revenu adressĂ© aux contribuables par les services fiscaux. Les familles non imposables sont invitĂ©es Ă  faire la preuve de leurs ressources par la production de l'avis d'impĂŽt sur le revenu. Cependant, l'absence de ce document ne saurait priver les demandeurs, qui se trouvent parmi les familles les plus dĂ©favorisĂ©es, de voir leur dossier examinĂ© Ă  la lumiĂšre de toute autre justification de ressources. Pour les services fiscaux, le dĂ©lai au-delĂ  duquel un Ă©tranger rĂ©sidant sur le territoire est rĂ©putĂ© avoir son domicile fiscal en France est de 183 jours. Il lui est donc possible d'obtenir la dĂ©livrance d'un avis d'imposition ou de non-imposition auprĂšs du service des impĂŽts. c Cas particuliers - Candidats boursiers placĂ©s sous tutelle Dans la mesure oĂč le tuteur a la charge permanente et effective de l'Ă©lĂšve au sens de la rĂ©glementation sur les prestations familiales, et lorsqu'il fait figurer son pupille dans sa dĂ©claration de revenus - bĂ©nĂ©ficiant ainsi d'une demi-part fiscale supplĂ©mentaire -, les ressources du tuteur doivent ĂȘtre prises en considĂ©ration. - Candidats boursiers relevant de l'aide sociale Ă  l'enfance Un mineur qui fait l'objet d'un placement sur dĂ©cision administrative ou judiciaire auprĂšs du service d'aide sociale Ă  l'enfance foyer, famille d'accueil, etc. est pris en charge financiĂšrement par ce service. Aucune bourse ne peut ĂȘtre alors accordĂ©e. - Candidats boursiers majeurs et mineurs Ă©mancipĂ©s Les bourses nationales n'ont pas pour objet de se substituer aux obligations des parents, telles que dĂ©finies par les articles 203 et 371-2 du code Civil qui imposent aux parents d'assurer l'entretien et l'Ă©ducation de leurs enfants, mĂȘme Ă©mancipĂ©s ou majeurs, tant que ceux-ci ne peuvent subvenir Ă  leurs propres besoins. En consĂ©quence, seuls les Ă©lĂšves mineurs Ă©mancipĂ©s ou majeurs qui ne sont Ă  la charge d'aucune personne peuvent prĂ©senter eux-mĂȘmes une demande de bourse. L'attribution des bourses nationales ne peut ĂȘtre Ă©cartĂ©e sur le motif que le jeune bĂ©nĂ©ficie d'un contrat jeune majeur ou d'une protection jeune majeur. Toutefois, le bĂ©nĂ©fice de ce contrat ou de la protection, d'une durĂ©e limitĂ©e quelques mois mĂȘme si elle est reconductible, nĂ©cessite d'Ă©tudier la demande de bourse avec une attention particuliĂšre quant aux revenus pris en compte et Ă  la possible Ă©volution de la situation du jeune. Pour l'examen de ces cas particuliers, il est conseillĂ© de prendre l'attache du service social en faveur des Ă©lĂšves. Pour les situations de candidats boursiers majeurs ou Ă©mancipĂ©s, aucun point de charge spĂ©cifique n'est prĂ©vu, seuls les points de charge liĂ©s Ă  la scolaritĂ© ou Ă  la situation personnelle du demandeur seront pris en considĂ©ration. - Concubinage - Pacs S'agissant des situations de concubinage, une jurisprudence rĂ©cente a rappelĂ© que le fait de constituer une famille ne peut ĂȘtre reconnu sur le seul fondement de la communautĂ© de vie. La situation de concubinage ne sera prise en compte que si la demande de bourse est formulĂ©e pour un enfant commun ou si la mĂšre de l'enfant ne dispose pas de ressources propres. En ce qui concerne les personnes qui ont contractĂ© un pacte civil de solidaritĂ© Pacs, les demandes de bourses sont traitĂ©es comme dans les situations de concubinage tant que les intĂ©ressĂ©s ne font pas l'objet d'une imposition commune. Toutefois, les personnes vivant en concubinage ou ayant contractĂ© un pacte civil de solidaritĂ© ne pourront pas se voir attribuer les trois points de charge pĂšre ou mĂšre Ă©levant seul un ou plusieurs enfants ». - Divorce Rappel de l'article 194 du code gĂ©nĂ©ral des ImpĂŽts En cas de divorce, de rupture du Pacs ou de toute sĂ©paration de fait de parents non mariĂ©s, l'enfant est considĂ©rĂ©, jusqu'Ă  preuve du contraire, comme Ă©tant Ă  la charge du parent chez lequel il rĂ©side Ă  titre principal. » Le rappel de cette disposition permet de traiter les situations de sĂ©paration en l'attente Ă©ventuelle d'une dĂ©cision officielle ordonnance de non-conciliation ou jugement de divorce. Il convient de prendre en considĂ©ration la dĂ©cision de divorce en ce qu'elle dĂ©finit les trois Ă©lĂ©ments suivants - le candidat boursier est Ă  la charge fiscale d'un seul des parents ou des deux parents ; - les conditions de rĂ©sidence du candidat boursier ; - la pension alimentaire Ă©ventuellement fixĂ©e pour les frais d'Ă©ducation et d'entretien du candidat boursier. Il convient donc d'examiner si la rĂ©sidence est exclusive ou alternĂ©e. Cette information est reprise sur l'avis d'imposition qui distingue, parmi les enfants Ă  charge du contribuable, ceux en rĂ©sidence exclusive et ceux en rĂ©sidence alternĂ©e. Si la sĂ©paration est rĂ©cente, l'ordonnance de non-conciliation prĂ©cise les modalitĂ©s de rĂ©sidence en attente du jugement de divorce. Dans le cas de rĂ©sidence exclusive, le foyer fiscal du parent ayant la rĂ©sidence exclusive sera pris en considĂ©ration ainsi que le montant de la pension alimentaire. Il bĂ©nĂ©ficiera pour le candidat boursier des points de charge pour pĂšre ou mĂšre Ă©levant seul son enfant. Dans la situation de rĂ©sidence alternĂ©e, et conformĂ©ment aux dispositions du code de l'Éducation article R. 531-19, les revenus des personnes qui, au sens de la lĂ©gislation sur les prestations familiales, assument la charge permanente et effective de l'enfant seront pris en considĂ©ration. Ainsi, mĂȘme si l'un des parents ne bĂ©nĂ©fice pas des allocations familiales, il partage la charge permanente et effective de l'enfant dans le cadre de la rĂ©sidence alternĂ©e. Il conviendra alors de prendre en compte les revenus des deux parents. Les points de charge pour pĂšre ou mĂšre Ă©levant seul son enfant ne seront pas accordĂ©s. En cas de remariage, l'examen de la demande de bourse doit ĂȘtre fait au vu des ressources du couple reformĂ© prenant en charge fiscalement le candidat boursier. Dans les cas particuliĂšrement complexes ou qui ne rĂ©pondent pas Ă  l'un des cas particuliers citĂ©s ci-dessus, il convient de prendre en compte le revenu fiscal de rĂ©fĂ©rence de la ou des personnes qui dĂ©clarent l'enfant fiscalement Ă  charge. 2. Charges de la famille modifiĂ© par circulaire n° 2010-0471 du 21 juillet 2010 Les charges familiales sont Ă©valuĂ©es en points, au vu de la situation de la famille lors de l'annĂ©e retenue pour les ressources Ă  prendre Ă  compte, selon les modalitĂ©s du chapitre III-B-1 ci-dessus. À chaque situation correspond un certain nombre de points, dits points de charge figurant dans le tableau ci-dessous Charges Ă  prendre en considĂ©ration Nombre de points Famille avec un enfant Ă  charge 9 points Pour le deuxiĂšme enfant Ă  charge 1 point Pour chacun des 3Ăšme et 4Ăšme enfants Ă  charge 2 points Pour chaque enfant Ă  partir du 5Ăšme 3 points Candidat boursier au titre d'une scolaritĂ© de second cycle* 2 points Candidat boursier, pupille de la nation ou justifiant d'une protection particuliĂšre 1 point PĂšre ou mĂšre Ă©levant seul un ou plusieurs enfants 3 points PĂšre et mĂšre ayant tous deux une activitĂ© professionnelle 1 point Conjoint en longue maladie, ou en congĂ© de longue durĂ©e** 1 point Enfant au foyer atteint d'une infirmitĂ© permanente et n'ouvrant pas droit Ă  l'allocation d'Ă©ducation de l'enfant handicapĂ© 2 points Ascendant Ă  charge au foyer atteint d'une infirmitĂ© ou d'une maladie grave 1 point * Second cycle seconde, premiĂšre, terminale conduisant Ă  un baccalaurĂ©at de l'enseignement gĂ©nĂ©ral, technologique, professionnel, ou Ă  un brevet de technicien ; CAP en un an ; BEP et CAP en deux ans, voire en trois ans aprĂšs la classe de troisiĂšme. ** Point pour conjoint en longue maladie ou en congĂ© de longue durĂ©e ce point est en outre accordĂ© aux familles dont l'un des conjoints perçoit une pension d'invaliditĂ© ou une allocation aux adultes handicapĂ©s et n'exerce pas d'activitĂ© professionnelle. 3. BarĂšme d'attribution Les plafonds de ressources susceptibles d'ouvrir droit Ă  une bourse de lycĂ©e sont fixĂ©s par arrĂȘtĂ© ministĂ©riel. Vous trouverez en annexe 2 le barĂšme d'attribution des bourses de lycĂ©e dĂšs la prochaine rentrĂ©e scolaire, ainsi que le tableau de dĂ©termination du nombre de parts Ă©tabli en fonction des ressources et du nombre de points de charge annexe 3. IV. ÉlĂ©ments constitutifs de la bourse Les montants de la part de bourse et des primes sont fixĂ©s par arrĂȘtĂ© ministĂ©riel. A. Parts de bourse 1. Parts attribuĂ©es en fonction du barĂšme Le barĂšme d'attribution permet de dĂ©finir un nombre de parts de base compte tenu des ressources et des points de charge du demandeur. Le montant de base de la bourse attribuĂ©e s'obtient en multipliant par la valeur unitaire de la part le nombre de parts rĂ©sultant du barĂšme. Au montant ainsi obtenu peuvent s'ajouter des parts supplĂ©mentaires, de mĂȘme valeur unitaire que les parts de base, ainsi que diverses primes, dans les conditions prĂ©cisĂ©es ci-aprĂšs. Pour les boursiers inscrits en lycĂ©e, dans des classes de niveau collĂšge, ceux-ci ne percevront que les parts de base, aucune part supplĂ©mentaire ou prime ne pourra leur ĂȘtre attribuĂ©e Ă  l'exception de la prime d'internat. 2. Parts supplĂ©mentaires a Parts supplĂ©mentaires enseignement technologique Ces parts sont accordĂ©es aux Ă©lĂšves boursiers prĂ©parant un diplĂŽme de formation professionnelle ou technologique. b Parts enfant d'agriculteur » Les Ă©lĂšves boursiers enfants d'agriculteurs ont droit Ă  une part supplĂ©mentaire et Ă  une autre part supplĂ©mentaire s'ils ont la qualitĂ© d'interne. B. Primes 1. Primes versĂ©es en une fois Elles permettent aux familles de faire face aux frais de scolaritĂ©. Elles sont versĂ©es dans leur totalitĂ©, en une seule fois, avec le premier terme de la bourse. a Prime d'Ă©quipement Elle est attribuĂ©e aux Ă©lĂšves boursiers qui accĂšdent en premiĂšre annĂ©e d'un cycle de formation conduisant Ă  un CAP, un BEP, un baccalaurĂ©at professionnel ou un baccalaurĂ©at technologique dans les formations qui y ouvrent droit annexe 4. Cette prime est versĂ©e en une seule fois, avec le premier terme de la bourse. Un mĂȘme Ă©lĂšve ne peut en bĂ©nĂ©ficier qu'une seule fois au cours de sa scolaritĂ© dans l'enseignement secondaire. Un contrĂŽle doit ĂȘtre systĂ©matiquement effectuĂ© pour les Ă©lĂšves qui entrent en cours de cursus dans un cycle notamment de CAP ou BEP vers un bac professionnel. b Primes d'entrĂ©e en classe de seconde, premiĂšre et terminale Elles sont attribuĂ©es aux Ă©lĂšves boursiers qui accĂšdent pour la premiĂšre fois Ă  l'une des classes conduisant au baccalaurĂ©at de l'enseignement gĂ©nĂ©ral ou technologique seconde, premiĂšre ou terminale ou aux classes de premiĂšre et de terminale du baccalaurĂ©at de l'enseignement professionnel, les Ă©lĂšves redoublants ne pouvant y prĂ©tendre. Ces primes sont versĂ©es en une seule fois avec le premier terme de la bourse. 2. Primes versĂ©es par tiers a Prime Ă  la qualification Elle est attribuĂ©e aux Ă©lĂšves boursiers qui suivent la scolaritĂ© conduisant en deux ans au BEP, ou en un ou deux ans au CAP, ainsi que pour les mentions complĂ©mentaires Ă  ces formations. Dans le cadre de la rĂ©novation de la voie professionnelle, la classe de seconde professionnelle premiĂšre annĂ©e du bac professionnel en 3 ans ouvre Ă©galement droit Ă  la prime Ă  la qualification. Elle ne peut ĂȘtre cumulĂ©e avec la prime d'entrĂ©e en seconde. Cette prime est versĂ©e en trois fois, en mĂȘme temps que chacun des termes de la bourse. b Prime Ă  l'internat Seuls sont Ă©ligibles Ă  la prime Ă  l'internat les Ă©lĂšves boursiers nationaux de second degrĂ© de lycĂ©e internes. Cette prime visant Ă  couvrir les frais d'hĂ©bergement est versĂ©e en trois fois, en mĂȘme temps que la bourse. C. Bourses provisoires et promotion de bourse Pour assurer le financement de ces deux dispositifs, un crĂ©dit complĂ©mentaire spĂ©cial correspondant Ă  environ 3 % du total des parts de bourse parts de base et parts supplĂ©mentaires est inclus dans les montants dĂ©lĂ©guĂ©s dans les budgets opĂ©rationnels de programme BOP au titre de l'aide sociale aux Ă©lĂšves sur le programme 230 vie de l'Ă©lĂšve », action 04 aide sociale ». Des bourses provisoires peuvent ĂȘtre attribuĂ©es, aprĂšs la fin de la campagne de bourse et dans le courant de l'annĂ©e scolaire, Ă  des familles qui, n'ayant pas demandĂ© ou obtenu une bourse dans le cadre de la procĂ©dure normale, se trouvent, par suite d'Ă©vĂ©nements graves et imprĂ©visibles intervenus aprĂšs la fin de la campagne de bourse, dans une situation financiĂšre ne leur permettant plus d'assumer tout ou partie des frais d'Ă©tudes de leurs enfants. La bourse provisoire attribuĂ©e dans le cadre du crĂ©dit complĂ©mentaire spĂ©cial doit respecter le barĂšme en vigueur. Pour les bĂ©nĂ©ficiaires d'une bourse provisoire au titre d'une annĂ©e scolaire, la famille doit obligatoirement constituer un nouveau dossier de demande de bourse nationale d'Ă©tudes du second degrĂ© de lycĂ©e pour l'annĂ©e scolaire suivante avant la date limite fixĂ©e nationalement. Lorsque la dĂ©gradation substantielle de la situation familiale d'un Ă©lĂšve boursier conduit Ă  lui attribuer une promotion de bourse, le total constituĂ© par la bourse initiale et la ou les parts de promotion octroyĂ©es ne peut dĂ©passer le montant maximal d'une bourse prĂ©vu par le barĂšme en vigueur pour un Ă©lĂšve boursier. Il conviendra alors de prĂ©voir le rĂ©examen de la situation familiale du boursier pour la reconduction de la bourse. D. Bourse au mĂ©rite Un complĂ©ment de bourse dit bourse au mĂ©rite » peut ĂȘtre attribuĂ© Ă  certains Ă©lĂšves boursiers de lycĂ©e. Son montant, fixĂ© par arrĂȘtĂ©, est attribuĂ© dans les conditions prĂ©vues par la circulaire spĂ©cifique relative Ă  l'application des articles D. 531-37 Ă  D 531-41 du code de l'Éducation. La bourse au mĂ©rite Ă©tant un complĂ©ment de la bourse nationale de lycĂ©e, elle suit les mĂȘmes rĂšgles de dĂ©ductibilitĂ© et de retenue que la bourse. Elle est attribuĂ©e pour la durĂ©e de la scolaritĂ© au lycĂ©e si le bĂ©nĂ©ficiaire est toujours titulaire d'une bourse nationale. V. ValiditĂ© de la bourse et rĂ©examen du bĂ©nĂ©fice du droit Ă  bourse Les bourses nationales d'Ă©tudes du second degrĂ© de lycĂ©e sont attribuĂ©es pour la durĂ©e de la scolaritĂ© au lycĂ©e par le recteur d'acadĂ©mie, sous les seules conditions de ressources et de charges de la famille. Un rĂ©examen des dossiers est demandĂ© dans les situations prĂ©vues Ă  l'article D. 53121 - Ă  l'occasion du passage dans le second cycle, pour les Ă©lĂšves qui frĂ©quentaient une classe du premier cycle en lycĂ©e. NB - En cas de redoublement dans le premier cycle de ces Ă©lĂšves boursiers, la reconduction de leur bourse est automatique et ne nĂ©cessite pas de rĂ©examen, sauf modification de la situation familiale entraĂźnant une diminution des ressources ; - pour les autres Ă©lĂšves dĂ©jĂ  boursiers de lycĂ©e, en cas de redoublement, de rĂ©orientation ou de prĂ©paration d'une formation complĂ©mentaire ; - si la situation familiale a Ă©voluĂ© favorablement ou dĂ©favorablement de façon durable depuis l'annĂ©e de rĂ©fĂ©rence. Ce rĂ©examen peut ĂȘtre effectuĂ© Ă  l'initiative du service acadĂ©mique de gestion des bourses. Dans tous les cas, les rĂ©examens entraĂźnent l'application du barĂšme affĂ©rent Ă  l'annĂ©e scolaire considĂ©rĂ©e, que celle-ci ait pour consĂ©quence la suppression, la diminution ou l'augmentation de la bourse prĂ©cĂ©demment allouĂ©e. Retrait de bourse et cas d'exclusion L'octroi ou le maintien du droit Ă  bourse nationale est subordonnĂ© aux seules conditions de ressources et de charges de la famille, telles qu'elles sont dĂ©finies par le barĂšme national, Ă  quelques exceptions prĂšs qui sont dĂ©taillĂ©es ci-aprĂšs. Le droit Ă  bourse nationale est exclu - pour les Ă©lĂšves scolarisĂ©s dans une classe qui n'est pas rĂ©guliĂšrement habilitĂ©e privĂ© hors contrat ou une formation ouverte sans agrĂ©ment par le recteur d'acadĂ©mie avant l'inscription des Ă©lĂšves ; - pour les Ă©lĂšves qui ont suivi pendant trois trimestres un cycle d'insertion professionnelle par alternance et qui ne rĂ©intĂšgrent pas, Ă  l'issue de cette annĂ©e, une classe du cycle d'enseignement du second degrĂ© Ă  temps plein ; - pour les titulaires d'un diplĂŽme de niveau V ayant dĂ©jĂ  suivi une classe ou une formation conduisant Ă  la dĂ©livrance d'une mention complĂ©mentaire et qui poursuivent leurs Ă©tudes dans le second cycle court ; - pour les titulaires du baccalaurĂ©at qui poursuivent leurs Ă©tudes dans le second degrĂ© Ă  un niveau infĂ©rieur au baccalaurĂ©at sauf s'ils prĂ©parent en une annĂ©e un second baccalaurĂ©at ou s'inscrivent dans une formation complĂ©mentaire au baccalaurĂ©at obtenu. Ces diffĂ©rentes exceptions Ă  la rĂšgle, selon laquelle tout Ă©lĂšve scolarisĂ© dans le second degrĂ© peut obtenir une bourse si les ressources et les charges de sa famille le justifient, visent Ă  Ă©viter que l'aide de l'État ne soit dĂ©tournĂ©e de son objectif favoriser l'Ă©lĂ©vation de la qualification quel que soit le cursus suivi. VI. Mise Ă  disposition des crĂ©dits Les crĂ©dits relatifs aux bourses nationales pour l'enseignement secondaire sont inscrits sur des budgets opĂ©rationnels de programme BOP acadĂ©miques sur le programme 230 vie de l'Ă©lĂšve », action 04 aide sociale aux Ă©lĂšves », pour l'enseignement public et sur le programme 139 enseignement privĂ© ». La DGESCO dĂ©lĂšgue les crĂ©dits du programme 230 aux recteurs qui, une fois leur budget opĂ©rationnel de programme BOP visĂ© par le contrĂŽle financier dĂ©concentrĂ© CFD, mandatent les sommes dues aux Ă©tablissements, aprĂšs vĂ©rification des bordereaux de liquidation que ces derniers ont adressĂ©s aux services acadĂ©miques. S'agissant du programme 139, avant tout mandatement aux Ă©tablissements privĂ©s sous contrat, les services veilleront Ă  la production par ces derniers des attestations de procuration annuelle par lesquelles les familles autorisent le versement de la bourse directement Ă  l'Ă©tablissement. En effet, dans le cas oĂč les responsables lĂ©gaux d'Ă©lĂšves attributaires, ou les Ă©lĂšves attributaires eux-mĂȘmes s'ils sont majeurs, n'auraient pas donnĂ© procuration sous seing privĂ© au reprĂ©sentant lĂ©gal des Ă©tablissements d'enseignement privĂ©s sous contrat pour percevoir en leur nom le montant de ces bourses, mes services acadĂ©miques effectuent le paiement direct aux familles. VII. Calendrier de gestion A. Date limite de dĂ©pĂŽt des demandes de bourses Elle est fixĂ©e nationalement. En tout Ă©tat de cause, tout dossier de demande de bourses reçu en Ă©tablissement fera l'objet d'un accusĂ© de rĂ©ception, et sera transmis aux services acadĂ©miques qui demeurent seuls compĂ©tents pour notifier un refus de bourse mĂȘme hors dĂ©lai. B. Notification de la dĂ©cision et recours Les dĂ©cisions prises sur les demandes de bourse nationales dĂ©posĂ©es avant la date limite fixĂ©e nationalement devront ĂȘtre notifiĂ©es aux familles par le recteur d'acadĂ©mie avant la fin de l'annĂ©e scolaire prĂ©cĂ©dant celle au titre de laquelle la demande a Ă©tĂ© formulĂ©e, afin de leur permettre, le cas Ă©chĂ©ant, d'exercer un recours dans le dĂ©lai imparti. Le recours administratif prĂ©alable obligatoire, prĂ©vu Ă  l'article R. 531-25 du code de l'Éducation, est exercĂ© auprĂšs du recteur d'acadĂ©mie. Il est formulĂ© par le demandeur de la bourse, motivĂ© et accompagnĂ© de tous documents justifiant les Ă©lĂ©ments invoquĂ©s dans le recours. Sur le dĂ©lai de recours il convient de prendre en compte la notification Ă  la famille. La date de notification, mentionnĂ©e au code de l'Éducation article R. 531-25, est celle de la rĂ©ception par les reprĂ©sentants lĂ©gaux. Vous dĂ©compterez les huit jours Ă  partir du 3Ăšme jour suivant celui de l'envoi Ă  la famille. Il en rĂ©sultera donc un dĂ©lai de onze jours pour envoi du recours par la famille le cachet de La Poste faisant foi. Afin de conserver aux familles toutes les possibilitĂ©s de recours ultĂ©rieurs, vous considĂ©rerez tout recours reçu des familles dans le dĂ©lai qui leur est imparti comme un recours administratif prĂ©alable obligatoire Rapo, sans distinction entre les recours accompagnĂ©s d'Ă©lĂ©ments complĂ©mentaires ou non, et les recours formulĂ©s en recours gracieux ou hiĂ©rarchique. À la rĂ©ception des recours, le code de l'Éducation prĂ©cise en son article D. 531-26 que le recteur statue sur les recours » aprĂšs instruction prĂ©alable par le service acadĂ©mique qui a pris la dĂ©cision initiale. À la suite de cette dĂ©cision prise sur le recours administratif prĂ©alable obligatoire - en cas d'accord, il y a notification d'un octroi individuel, accompagnĂ© d'un courrier mentionnant que, suite au recours, le recteur a dĂ©cidĂ© d'accorder le droit Ă  bourse ; - en cas de maintien du refus, il convient d'utiliser le nouvel imprimĂ© de refus sur recours administratif, servi par l'application Bali, qui formule le maintien du refus par le recteur, mais qui peut ĂȘtre signĂ© par l'inspecteur d'acadĂ©mie comme auparavant pour les dĂ©cisions aprĂšs commission rĂ©gionale. Si le refus de bourse est maintenu par le recteur d'acadĂ©mie sur le recours prĂ©alable, la famille dispose alors d'un dĂ©lai de deux mois pour saisir le tribunal administratif mentionnĂ© sur la dĂ©cision. En tout Ă©tat de cause, la famille peut saisir, dans un dĂ©lai de deux mois suivant notification de la dĂ©cision, le recteur d'acadĂ©mie ou le ministre de l'Éducation nationale en formulant respectivement un recours gracieux ou un recours hiĂ©rarchique sur la dĂ©cision de rejet de son recours administratif prĂ©alable obligatoire. Tous les recours doivent ĂȘtre prĂ©sentĂ©s Ă  l'autoritĂ© qui a notifiĂ© le refus de bourse initial. Pour le recours hiĂ©rarchique auprĂšs du ministre, vous accompagnerez le dossier d'une fiche synthĂ©tique selon le modĂšle joint en annexe 5. Le tribunal administratif territorialement compĂ©tent doit ĂȘtre mentionnĂ© sur la dĂ©cision de refus sur recours administratif. Il s'agit toujours du tribunal administratif territorialement compĂ©tent pour le dĂ©partement oĂč a Ă©tĂ© prise la dĂ©cision initiale, en vertu du pouvoir propre de l'autoritĂ© qui a signĂ©, ou en vertu des dĂ©lĂ©gations que cette autoritĂ© a reçues article R. 312-1 du code de Justice administrative. NB - En cas de mutualisation, il s'agira du tribunal compĂ©tent pour le dĂ©partement oĂč est situĂ© le service mutualisateur. VIII. Paiement des bourses J'attire votre attention sur l'importance qui s'attache Ă  ce que le versement aux familles de toutes les aides financiĂšres Ă  la scolaritĂ© intervienne dans les meilleurs dĂ©lais, notamment le paiement des primes d'Ă©quipement et d'entrĂ©e en seconde, premiĂšre et terminale. Il importe pour cela que tous les services responsables de la liquidation et du paiement des bourses conjuguent leurs efforts pour qu'une amĂ©lioration trĂšs nette des dĂ©lais de paiement Ă  chaque trimestre soit rĂ©alisĂ©e. A. Conditions exigĂ©es de la part de l'Ă©lĂšve boursier 1. AssiduitĂ© Le paiement des bourses est subordonnĂ© Ă  l'assiduitĂ© aux enseignements article R. 531-31. En cas d'absences injustifiĂ©es et rĂ©pĂ©tĂ©es, il appartient Ă  l'autoritĂ© acadĂ©mique, sur le rapport du chef d'Ă©tablissement, de dĂ©cider la suspension du paiement de la bourse congĂ© de bourse et de notifier cette dĂ©cision Ă  l'Ă©tablissement scolaire, afin qu'une retenue soit opĂ©rĂ©e sur le versement de la bourse. Cette retenue sera opĂ©rĂ©e dĂšs que la durĂ©e des absences prĂ©citĂ©es excĂ©dera quinze jours cumulĂ©s sur l'annĂ©e, dans la proportion d'un deux cent soixante dixiĂšme par jour d'absence. Ces dispositions concernent tous les Ă©lĂšves, qu'ils soient ou non soumis Ă  l'obligation scolaire. L'ouverture du droit Ă  bourse octroi est notifiĂ©e avant l'entrĂ©e au lycĂ©e. Toutefois, l'attribution de la bourse nationale n'est effective qu'aprĂšs la rentrĂ©e scolaire, aprĂšs justification de l'inscription et de la prĂ©sence de l'Ă©lĂšve dans l'Ă©tablissement scolaire, ou de sa reprise des cours donnant lieu Ă  la reconduction de la bourse en cas de poursuite de scolaritĂ©. Pour les Ă©lĂšves soumis Ă  l'obligation scolaire, c'est en se basant sur la procĂ©dure du contrĂŽle de l'assiduitĂ© mise en Ɠuvre conformĂ©ment Ă  la circulaire n° 2004-054 du 23 mars 2004, que le chef d'Ă©tablissement pourra Ă©valuer les absences justifiĂ©es ou non, et transmettre une demande de congĂ© de bourse Ă  l'inspecteur d'acadĂ©mie. 2. Changement d'Ă©tablissement d'un Ă©lĂšve en cours d'annĂ©e Lorsqu'un Ă©lĂšve change d'Ă©tablissement en cours d'annĂ©e scolaire, le transfert de la bourse est effectuĂ© aprĂšs information de l'inspection acadĂ©mique par l'Ă©tablissement d'origine. Le transfert de la bourse est effectif Ă  la date Ă  laquelle l'Ă©lĂšve change d'Ă©tablissement. La date de l'arrĂȘt du versement de la bourse devra ĂȘtre mentionnĂ©e par l'Ă©tablissement d'origine sur l'imprimĂ© de transfert fourni par l'inspection acadĂ©mique, afin d'Ă©viter l'interruption du versement ou le double paiement. L'inspecteur d'acadĂ©mie d'origine transmettra Ă  l'Ă©tablissement d'accueil tous les Ă©lĂ©ments nĂ©cessaires Ă  la prise en charge de l'Ă©lĂšve boursier s'il s'agit d'un transfert dans le mĂȘme dĂ©partement, sinon Ă  l'inspection acadĂ©mique d'accueil. B. ModalitĂ©s du paiement aux familles Les Ă©tablissements procĂšdent au paiement aprĂšs dĂ©duction des frais de pension ou de demi-pension, afin d'Ă©viter aux familles des Ă©lĂšves boursiers de faire l'avance de ces frais. Seule la prime d'Ă©quipement ne peut faire l'objet de dĂ©duction des frais de pension ou de demi-pension. 1. Établissements publics Les Ă©tablissements publics paient les bourses aux familles. Pour cela, les services acadĂ©miques crĂ©ditent globalement l'Ă©tablissement par des versements de provision et de rĂ©gularisation. Les conditions de dĂ©ductibilitĂ© applicables aux Ă©lĂšves boursiers scolarisĂ©s en EREA font l'objet d'une circulaire spĂ©cifique. 2. Établissements privĂ©s sous contrat En application de la rĂ©glementation en vigueur, les bourses doivent ĂȘtre payĂ©es directement aux familles. Toutefois, les responsables lĂ©gaux des Ă©lĂšves boursiers qui le souhaitent ou les Ă©lĂšves boursiers eux-mĂȘmes s'ils sont majeurs peuvent donner procuration sous seing privĂ© cf. modĂšle joint en annexe 6 au prĂ©sident de l'association de gestion, reprĂ©sentant lĂ©gal de l'Ă©tablissement sous contrat, qui a seul qualitĂ© pour les recevoir. Dans cette hypothĂšse, sur prĂ©sentation aux services acadĂ©miques des procurations donnĂ©es par les familles concernĂ©es, le versement global des bourses attribuĂ©es Ă  ces familles sera effectuĂ© au bĂ©nĂ©fice du seul responsable lĂ©gal de l'Ă©tablissement. Ce dernier sera alors tenu, Ă  chaque trimestre, aux obligations suivantes a PrĂ©parer les piĂšces destinĂ©es aux services acadĂ©miques - l'Ă©tat collectif de liquidation ; - les attestations d'assiduitĂ© des Ă©lĂšves ; - toutes les procurations annuelles, ainsi que les Ă©ventuelles rĂ©siliations de procurations ; - l'engagement de garantir l'État au nom de l'Ă©tablissement contre tout recours mettant en cause la validitĂ© des paiements intervenus par son intermĂ©diaire. b Paiement aux familles et comptabilitĂ© L'Ă©tablissement doit Ă©tablir pour chaque Ă©lĂšve boursier un compte d'emploi des sommes mandatĂ©es, afin d'ĂȘtre en mesure de rĂ©pondre Ă  toute vĂ©rification a posteriori par les services administratifs. Par ailleurs, les opĂ©rations de paiement aux familles devront ĂȘtre terminĂ©es dans le mois qui suit la perception des bourses par le mandataire, aucune somme ne devant rester en attente au compte de l'Ă©tablissement pour ĂȘtre reportĂ©e d'un trimestre sur l'autre, en particulier les primes d'Ă©quipement et d'entrĂ©e attribuĂ©es au premier trimestre de l'annĂ©e scolaire doivent ĂȘtre versĂ©es aux familles dans le dĂ©lai prĂ©citĂ©. IX. Remises de principe Les remises de principe sont attribuĂ©es en application du dĂ©cret n° 63-629 du 26 juin 1963. Pour l'attribution des remises de principe aux enfants issus de familles reconstituĂ©es concubinage, etc., il convient de tenir compte de la notion de foyer fiscal » et non de reconstituer une famille avec tous les enfants. C'est ainsi que, pour bĂ©nĂ©ficier des remises de principe, ne seront pris en compte que les enfants figurant sur l'avis d'impĂŽt sur le revenu du contribuable qui les a Ă  sa charge fiscalement chaque contribuable Ă©tant considĂ©rĂ© comme un foyer fiscal. En effet, le code gĂ©nĂ©ral des ImpĂŽts prĂ©voit que doivent ĂȘtre considĂ©rĂ©s comme Ă  sa charge » les enfants recueillis », au sens fiscal du terme, c'est-Ă -dire figurant Ă  charge sur l'avis d'imposition du contribuable, indĂ©pendamment du lien de filiation article 196 du code gĂ©nĂ©ral des ImpĂŽts. En cas de divorce ou de remariage, le problĂšme ne se pose pas dans les mĂȘmes termes puisqu'il n'existe, dans ces conditions, qu'un seul foyer fiscal. Pour les Ă©lĂšves boursiers, il conviendra, avant d'appliquer la remise de principe d'internat, de dĂ©duire des frais de pension ou de demi-pension le montant de la bourse ainsi que, le cas Ă©chĂ©ant, celui de la bourse au mĂ©rite, de l'aide attribuĂ©e au titre du fonds social pour les cantines, et de toutes les primes, exceptĂ© la prime d'Ă©quipement. Toutefois, les autres aides attribuĂ©es sur le fonds social lycĂ©en, ainsi que les aides des collectivitĂ©s locales ne seront pas prises en compte. Je vous demande de bien vouloir veiller Ă  l'exĂ©cution de ces instructions et me saisir, sous le prĂ©sent timbre, des difficultĂ©s que vous pourriez rencontrer dans leur application. Mes services restent Ă  votre disposition pour vous apporter toute information complĂ©mentaire qui vous serait nĂ©cessaire. Pour le ministre de l'Éducation nationale, porte-parole du Gouvernement, et par dĂ©lĂ©gation, Le directeur gĂ©nĂ©ral de l'enseignement scolaire, Jean-Louis Nembrini Annexe 2 Annexe 3
DĂ©finitionet fonctionnalitĂ©s. Afin de produire un rĂ©sultat fini conforme, il est tout Ă  fait possible d’automatiser certains processus mĂ©tier. Cela se fait par le biais d’un logiciel BPM ou Business Process Management. PrĂ©sent dans la grande majoritĂ© des entreprises, il s’agit d’un outil prĂ©cieux qui a de nombreux avantages.

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, Mobilisation de collectifs autour de problĂ©matiques spĂ©cifiques locales. Les ingrĂ©dients essentiels d’un centre social l’accueil attentif et inconditionnel de tous, la recherche de la mixitĂ© mixitĂ© sociale, culturelle, gĂ©nĂ©rationnelle
 qui est une richesse, la convivialitĂ©, la collaboration entre des habitants engagĂ©s au cƓur du projet les centres sociaux du RhĂŽne sont tous associatifs et des professionnels parties prenantes de ce projet, la conviction que chaque habitant, sur les questions et enjeux qui le prĂ©occupe, dispose d’une capacitĂ© Ă  choisir librement, transformer son choix en une dĂ©cision et agir en fonction de sa dĂ©cision, il suffit » d’accompagner ou d’outiller pour dĂ©velopper cette capacitĂ© cf. notion de pouvoir d’agir, la volontĂ© d’accompagner les initiatives locales et les projets citoyens, l’ouverture Ă  la vie et aux acteurs du territoire, des financements pluriels cf. question / rĂ©ponse ci-dessous. APPELLATION - Y a-t-il une diffĂ©rence entre un centre social, un centre socio-culturel et un centre social et culturel ? Non, pas fondamentalement ! Ces trois types de structures ont toutes un agrĂ©ment centre social » dĂ©livrĂ© par la Caf, et la plupart adhĂšrent Ă  la FĂ©dĂ©ration des centres sociaux, ils partagent donc un socle commun de fonctionnement, de valeurs
. Cependant, et bien que tous les centres sociaux proposent des activitĂ©s et/ou dĂ©veloppent des projets culturels, certains centres ont voulu marquer dans leur nom la composante culturelle qui est essentielle pour eux. Certains choisissent de s’appeler centre d’animation » ou centre familial » ou mĂȘme maison sociale ». Ces noms reflĂštent l’histoire et l’identitĂ© du centre. L’agrĂ©ment centre social » est comme un label garantissant que ces associations rĂ©pondent aux critĂšres de la Caf et mettent en Ɠuvre un projet agréé par la Caf pour quatre ans cet agrĂ©ment ouvre droit Ă  des subventions spĂ©cifiques. STRUCTURES - Y a-t-il une diffĂ©rence entre une maison de quartier, une maison pour tous et un centre social ? Oui, tout Ă  fait ! Il y a des diffĂ©rences d’organisation, de gestion de structure et d’appartenance derriĂšre l’ensemble de ces mots. Ce qui les rassemble, c’est que ce sont des Ă©quipements de quartier qui proposent aux habitants un certain nombre de services ou d’activitĂ©s pour les enfants, les jeunes et plus largement la famille. En gĂ©nĂ©ral, une “maison de quartier” ou “une maison pour tous ” est de la famille des Maisons des Jeunes et de la Culture. UNIFORMITE - Tous les centres sociaux se ressemblent ? Non et c’est bien comme ça ! Chaque centre, parce qu’il est enracinĂ© dans la rĂ©alitĂ© locale, a son identitĂ© propre. C’est tout Ă  fait normal et c’est mĂȘme cohĂ©rent puisque le projet d’un centre social c’est d’ĂȘtre adaptĂ© aux demandes / besoins du territoire et de ses habitants et d’ĂȘtre façonnĂ© par l’implication et l’engagement de ces derniers. Cependant, chaque centre faisant partie du rĂ©seau des centres sociaux souscrit aux valeurs et aux exigences communes de la Charte fĂ©dĂ©rale, et il participe Ă  la vie de ce rĂ©seau. Dans le RhĂŽne, la fĂ©dĂ©ration compte 76 centres sociaux adhĂ©rents. En France, ce rĂ©seau est constituĂ© de prĂšs de 1200 centres sociaux. PUBLIC - N’importe qui peut venir dans un centre social, mĂȘme sans avoir de difficultĂ©s sociales ?Oui c’est le principe ! Tout le monde. Sans distinction d’ñge, d’appartenance ethnique, religieuse ou culturelle, ni de situation sociale. Le centre social s’adresse Ă  tous les habitants du quartier ou du territoire, il cherche Ă  favoriser ce lien social dont chacun peut ĂȘtre partie prenante. De fait, de nombreuses activitĂ©s et projets, prĂ©vus ou Ă  proposer, sont accessibles Ă  tous. Cependant, certaines actions sont parfois consacrĂ©es Ă  des publics spĂ©cifiques, prioritaires parce que plus fragiles, plus dĂ©munis, plus menacĂ©s familles monoparentales, personnes ĂągĂ©es, adolescents ou jeunes en difficultĂ©, chĂŽmeurs, immigrĂ©s. CONCRETEMENT - Qu’est-ce qu’on fait / qu’est ce qui se passe dans un centre social ?De tout. Cela dĂ©pend surtout des caractĂ©ristiques du territoire et des aspirations et initiatives de ses habitants. Depuis le groupe de scrabble, jusqu’à l’atelier d’insertion qui a gĂ©nĂ©rĂ© plusieurs emplois, en passant par l’atelier théùtre ou vidĂ©o, la crĂšche, l’alphabĂ©tisation, les cours de cuisine, l’accĂšs au multimĂ©dia, le centre de loisirs sans hĂ©bergement, le foyer des jeunes, un atelier de crĂ©ation-couture, une Ă©picerie sociale, la rĂ©daction du journal du quartier, etc. Ouvert Ă  toute attente et Ă  toute proposition des habitants, le centre social rĂ©pond en prioritĂ© aux nĂ©cessitĂ©s de la vie quotidienne qui peuvent ĂȘtre prises en charge dans le cadre du voisinage. Dans son champ d’action, on trouve aussi les loisirs, le dĂ©veloppement culturel, car ces activitĂ©s correspondent Ă  des besoins d’épanouissement personnel et dont l’accĂšs doit ĂȘtre permis Ă  tous, quels que soient ses moyens. TECHNIQUEMENT - Comment fonctionne un centre social ?GrĂące Ă  une Ă©quipe bĂ©nĂ©vole et une Ă©quipe professionnelle. Un centre social, c’est une Ă©quipe, composĂ©e de bĂ©nĂ©voles et de professionnels salariĂ©s, qui le fait tourner. Cette coopĂ©ration bĂ©nĂ©voles – salariĂ©s est au cƓur mĂȘme du projet. Ses bĂ©nĂ©voles sont des habitants du quartier, venant au centre social et devenus acteurs de son fonctionnement et/ou de sa gestion. Chaque centre social associatif est gĂ©rĂ© par un conseil d’administration dont la majoritĂ© des membres sont des habitants du quartier. Pour qu’il y ait centre social, il est donc indispensable que les habitants soient plus que de simples clients de services ou d’activitĂ©s conçus, dĂ©cidĂ©s, animĂ©s ou gĂ©rĂ©s par d’autres. Par ailleurs, chaque centre social fonctionne sur un principe dit d’animation globale ». C’est l’animation globale qui donne Ă  la polyvalence du centre tout son sens, sa vraie dimension. Elle se caractĂ©rise par la prise en compte de l’ensemble de la problĂ©matique sociale locale. GrĂące Ă  elle, le centre social est beaucoup plus qu’une simple juxtaposition de services, d’activitĂ©s, d’actions. Plus qu’un fil conducteur, cette animation globale garantit le projet de dĂ©veloppement et la dĂ©marche participative. FINANCEMENT - Ca fonctionne avec quel argent ? La question des ressources et des moyens financiers se rĂ©fĂšre Ă  l’identitĂ© du projet des centres sociaux et socioculturels qui se veulent des acteurs Ă  part entiĂšre du dĂ©veloppement social, et non pas de simples opĂ©rateurs des politiques publiques. Le financement des centres provient de fonds publics mais aussi de la participation financiĂšre des adhĂ©rents et de certaines prestations payantes. Les principaux financeurs sont Les Caisses d’Allocations Familiales, qui accordent un agrĂ©ment ouvrant droit Ă  une prestation de service de la CNAF et parfois les Caisses de MutualitĂ© Sociale Agricole. Ces structures appuient trĂšs fortement le dĂ©veloppement des centres sociaux et socioculturels dans leur fonction d’animation globale et de participation des habitants. Les Communes, CommunautĂ©s de communes, CommunautĂ©s d’agglomĂ©ration sont, de fait, principalement concernĂ©es puisque le projet d’un centre s’inscrit dans une logique territoriale, quartier, commune ou canton. Nombreuses sont donc celles qui reconnaissent l’initiative des habitants et financent aussi cette fonction d’animation globale. Les Conseils DĂ©partementaux leurs compĂ©tences se situent en matiĂšre de protection de l’enfance avec les centres sociaux sur de la prĂ©vention primaire, et en action sociale essentiellement sur les dispositifs d’insertion. Mais nombreux sont ceux qui eux aussi reconnaissent cette fonction centrale d’animation globale et parfois participent Ă  la mĂȘme hauteur que les CAF. Les Conseils RĂ©gionaux bien que moins compĂ©tents en la matiĂšre certains d’entre eux appuient les politiques des centres jeunesse, culture. Les services dĂ©concentrĂ©s de l’Etat Jeunesse et Sport via le FONJEP principalement, Emploi et Formation Professionnelle sur des actions d’insertion ou de retour Ă  l’emploi, Action Sanitaire et Sociale sur des actions d’accompagnement social, Action Culturelle participent de mĂȘme aux financements des activitĂ©s des centres et parfois aussi Ă  la fonction pilotage. GESTIONNAIRE - Qui gĂšre un centre social ?C’est la plupart du temps une association loi 1901, comme c’est le cas pour les centres sociaux du RhĂŽne. En France, plus de 70 % des centres sociaux agréés sont actuellement en gestion associative. Les CAF, la MSA, des municipalitĂ©s ou CCAS, des promoteurs sociaux peuvent aussi gĂ©rer des centres sociaux, soit en gestion directe, soit en - Est-ce que je peux rencontrer une assistante sociale dans un centre social ? Non ! Bien que cela puisse arriver occasionnellement, par exemple dans le cadre d’une permanence spĂ©cifique prĂ©vue par tel ou tel centre vous pouvez vĂ©rifier auprĂšs du centre social le plus proche de chez vous. Mais la FĂ©dĂ©ration des centres sociaux et les centres sociaux eux-mĂȘmes ne sont pas les interlocuteurs compĂ©tents sur cette question. Si vous avez besoin de rencontrer une assistante sociale, il faut s’adresser au service social de la commune ou Ă  la Maison du RhĂŽne ou Ă  la Maison de la MĂ©tropole la plus proche. EN RÉSUMÉ, un centre social, ça sert Ă  quoi ? ImplantĂ©s au cƓur des quartiers, dans les villes et en milieu rural, les centres sociaux sont des Ă©quipements polyvalents ouverts Ă  tous les habitants, oĂč chacun peut y trouver des activitĂ©s et des services dans les domaines les plus variĂ©s culture, insertion, loisirs, logement, garde d’enfants, etc. D’un premier regard, ce sont de simples espaces d’animation sociale. Or, l’ambition des centres sociaux et socioculturels, reconnus par la FCSF, va bien au-delĂ . Plus que des Ă©quipements, ce sont des projets participatifs de dĂ©veloppement. En effet, depuis leur crĂ©ation, Ă  la fin du siĂšcle dernier, les centres sociaux ont eu, pour objectif prioritaire, de faire participer les habitants Ă  l’amĂ©lioration de leurs conditions de vie, au dĂ©veloppement de l’éducation et l’expression culturelle, au renforcement des solidaritĂ©s, Ă  la prĂ©vention et la rĂ©duction des exclusions.

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\n\n \n qu est ce qu une maison familiale rurale
Dansune économie traditionnelle, les produits et les biens sont créés à partir de traditions, de coutumes et de croyances. Les pays à économie traditionnelle utilisent le systÚme de troc ou le commerce comme principale forme de monnaie. Ce type de systÚme économique se retrouve généralement en milieu rural ou en milieu agricole.
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