TOUTse sait en dans ce milieu depuis toujours. Mais le silence est d’or. « On ne voit bien qu’avec le coeur, l’essentiel est invisible pour les yeux. A l’aube de cette nouvelle annĂ©e, je fais le rĂȘve et formule le voeu que cette magnifique pensĂ©e soit le leitmotiv de tous ceux qui oeuvrent pour un monde meilleur. LACLOS LES LIAISONS DANGEREUSES LECTURES [AprĂšs avoir fĂ©licitĂ© Valmont de sa prudence dans ses manƓuvres, la marquise doute d'abord que Mme de Tourvel puisse dĂ©jĂ  lui succomber.] Mais la vĂ©ritable Ă©cole est de vous ĂȘtre laissĂ© aller Ă  Ă©crire. Je vous dĂ©fie Ă  prĂ©sent de prĂ©voir oĂč ceci peut vous mener. Par hasard, espĂ©rez-vous prouver Ă  cette femme qu'elle doit se rendre ? Il me semble que ce ne peut ĂȘtre lĂ  qu'une vĂ©ritĂ© de sentiment, et non de dĂ©monstration; et que pour la faire recevoir, il s'agit d'attendrir et non de raisonner; mais Ă  quoi vous servirait d'attendrir par lettres, puisque vous ne seriez pas lĂ  pour en profiter ? Quand vos belles phrases produiraient l'ivresse de l'amour, vous flattez-vous qu'elle soit assez longue pour que la rĂ©flexion n'ait pas le temps d'en empĂȘcher l'aveu ? Songez donc Ă  celui qu'il faut pour Ă©crire une lettre, Ă  celui qui se passe avant qu'on la remette; et voyez si surtout une femme Ă  principes comme votre DĂ©vote peut vouloir si longtemps ce qu'elle tĂąche de ne vouloir jamais. Cette marche peut rĂ©ussir avec les enfants, qui, quand ils Ă©crivent " je vous aime ", ne savent pas qu'ils disent " je me rends ". Mais la vertu raisonneuse de Madame de Tourvel me paraĂźt fort bien connaĂźtre la valeur des termes. Aussi, malgrĂ© l'avantage que vous aviez pris sur elle dans votre conversation, elle vous bat dans sa lettre. Et puis, savez-vous ce qui arrive ? par cela seul qu'on dispute, on ne veut pas cĂ©der. A force de chercher de bonnes raisons, on en trouve; on les dit; et aprĂšs on y tient, non pas tant parce qu'elles sont bonnes que pour ne pas se dĂ©mentir. De plus, une remarque que je m'Ă©tonne que vous n'ayez pas faite, c'est qu'il n'y a rien de si difficile en amour que d'Ă©crire ce qu'on ne sent pas. Je dis Ă©crire d'une façon vraisemblable ce n'est pas qu'on ne se serve des mĂȘmes mots; mais on ne les arrange pas de mĂȘme, ou plutĂŽt on les arrange, et cela suffit. Relisez votre lettre il y rĂšgne un ordre qui vous dĂ©cĂšle Ă  chaque phrase. Je veux croire que votre PrĂ©sidente est assez peu formĂ©e pour ne s'en pas apercevoir mais qu'importe ? l'effet n'en est pas moins manquĂ©. C'est le dĂ©faut des romans; l'auteur se bat les flancs pour s'Ă©chauffer, et le lecteur reste froid. HĂ©loĂŻse est le seul qu'on en puisse excepter; et malgrĂ© le talent de l'auteur, cette observation m'a toujours fait croire que le fonds en Ă©tait vrai. Il n'en est pas de mĂȘme en parlant. L'habitude de travailler son organe y donne de la sensibilitĂ©; la facilitĂ© des larmes y ajoute encore l'expression du dĂ©sir se confond dans les yeux avec celle de la tendresse; enfin le discours moins suivi amĂšne plus aisĂ©ment cet air de trouble et de dĂ©sordre, qui est la vĂ©ritable Ă©loquence de l'amour; et surtout la prĂ©sence de l'objet aimĂ© empĂȘche la rĂ©flexion et nous fait dĂ©sirer d'ĂȘtre vaincues. [...] De ..., ce 24 aoĂ»t 17** L'Ă©tude de cette lettre pourra mettre d'abord en valeur la nature pĂ©dagogique de la relation que Mme de Merteuil instaure entre elle et Valmont — les indices Ă©pistolaires sont caractĂ©risĂ©s par un ton gĂ©nĂ©ralement injonctif les impĂ©ratifs, les questions rhĂ©toriques y foisonnent; les modalisateurs de la certitude accroissent encore cette impression la marquise s'exprime souvent par maximes et autres formes sentencieuses; — l'utilisation du prĂ©sent de vĂ©ritĂ© gĂ©nĂ©rale et du pronom indĂ©fini efface souvent la personne de l'expĂ©ditrice au profit d'une argumentation gĂ©nĂ©rale oĂč domine l'argument d'autoritĂ©. Cette Ă©ducation prĂŽne la nĂ©cessitĂ© de la parole dans l'entreprise amoureuse et dĂ©nie Ă  la lettre toute valeur stratĂ©gique. Cette conviction toute socratique qui condamne le caractĂšre figĂ© et artificiel de l'Ă©crit ne peut manquer de surprendre dans un roman Ă©pistolaire oĂč l'expĂ©ditrice elle-mĂȘme use de toutes les ressources de la lettre. L'Ă©tude pourra ensuite mieux souligner en quoi ce passage donne, comme en abyme, une dĂ©finition de la lettre qui vaut pour tout le roman — ce discours est constant chez la marquise elle pourra rĂ©pondre de façon narquoise Ă  une lettre d'amour que lui envoie Danceny et brocarder l'inefficacitĂ© de ses formules sentimentales et affectĂ©es lettre CXXI. La lettre favorise l'Ă©panchement amoureux de l'expĂ©diteur mais aussi la rĂ©flexion du destinataire comment sĂ©duire, alors que l'Ă©loignement interdit le trouble et le dĂ©sordre qui sont "la vĂ©ritable Ă©loquence de l'amour" ? — il est plus surprenant encore de voir la marquise condamner l'usage amoureux de la lettre au nom de la sincĂ©ritĂ©. Les reproches qu'elle adresse Ă  Valmont sont en effet autant guidĂ©s par l'incapacitĂ© de celui-ci Ă  dissimuler sa froideur rationnelle que par la conviction plus gĂ©nĂ©rale que l'amour est "une vĂ©ritĂ© de sentiment, non de dĂ©monstration". C'est dire que la lettre, parce qu'elle exige du temps et n'instaure que des rapports dĂ©barrassĂ©s de la prĂ©sence physique, favorise l'exercice de l'intelligence et la manipulation calculatrice. C'est Ă  ce titre que la marquise en use, et le roman lui-mĂȘme donne le pas Ă  ce type d'Ă©changes les seules lettres rĂ©ellement sentimentales sont ridicules ou trahissent un dĂ©lire qui les prive de destinataire ainsi de la lettre CLXI dictĂ©e par Mme de Tourvel Ă  sa femme de chambre et non envoyĂ©e. [Mme de Merteuil vient d'Ă©voquer ces femmes sensibles qui "ne craignent pas de confier des preuves de leur faiblesse Ă  l'objet qui les cause."] Mais moi, qu'ai-je de commun avec ces femmes inconsidĂ©rĂ©es ? quand m'avez-vous vue m'Ă©carter des rĂšgles que je me suis prescrites, et manquer Ă  mes principes ? je dis mes principes, et je le dis Ă  dessein car ils ne sont pas comme ceux des autres femmes, donnĂ©s au hasard, reçus sans examen et suivis par habitude, ils sont le fruit de mes profondes rĂ©flexions; je les ai créés, et je puis dire que je suis mon ouvrage. EntrĂ©e dans le monde dans le temps oĂč, fille encore, j'Ă©tais vouĂ©e par Ă©tat au silence et Ă  l'inaction, j'ai su en profiter pour observer et rĂ©flĂ©chir. Tandis qu'on me croyait Ă©tourdie ou distraite, Ă©coutant peu Ă  la vĂ©ritĂ© les discours qu'on s'empressait Ă  me tenir, je recueillais avec soin ceux qu'on cherchait Ă  me cacher. Cette utile curiositĂ©, en servant Ă  m'instruire, m'apprit encore Ă  dissimuler forcĂ©e souvent de cacher les objets de mon attention aux yeux de ceux qui m'entouraient, j'essayai de guider les miens Ă  mon grĂ©; j'obtins dĂšs lors de prendre Ă  volontĂ© ce regard distrait que vous avez louĂ© si souvent. EncouragĂ©e par ce premier succĂšs, je tĂąchai de rĂ©gler de mĂȘme les divers mouvements de ma figure. Ressentais-je quelque chagrin, je m'Ă©tudiais Ă  prendre l'air de la sĂ©rĂ©nitĂ©, mĂȘme celui de la joie; j'ai portĂ© le zĂšle jusqu'Ă  me causer des douleurs volontaires, pour chercher pendant ce temps l'expression du plaisir. Je me suis travaillĂ©e avec le mĂȘme soin et plus de peine, pour rĂ©primer les symptĂŽmes d'une joie inattendue. C'est ainsi que j'ai su prendre sur ma physionomie cette puissance dont je vous ai vu quelquefois si Ă©tonnĂ©. J'Ă©tais bien jeune encore, et presque sans intĂ©rĂȘt mais je n'avais Ă  moi que ma pensĂ©e, et je m'indignais qu'on pĂ»t me la ravir ou me la surprendre contre ma volontĂ©. Munie de ces premiĂšres armes, j'en essayai l'usage non contente de ne plus me laisser pĂ©nĂ©trer, je m'amusais Ă  me montrer sous des formes diffĂ©rentes; sĂ»re de mes gestes, j'observais mes discours; je rĂ©glai les uns et les autres, suivant les circonstances, ou mĂȘme seulement suivant mes fantaisies dĂšs ce moment, ma façon de penser fut pour moi seule, et je ne montrai plus que celle qu'il m'Ă©tait utile de laisser voir. Ce travail sur moi-mĂȘme avait fixĂ© mon attention sur l'expression des figures et le caractĂšre des physionomies; et j'y gagnai ce coup d'Ɠil pĂ©nĂ©trant, auquel l'expĂ©rience m'a pourtant appris Ă  ne pas me fier entiĂšrement; mais qui, en tout, m'a rarement trompĂ©e. Je n'avais pas quinze ans, je possĂ©dais dĂ©jĂ  les talents auxquels la plus grande partie de nos politiques doivent leur rĂ©putation, et je ne me trouvais encore qu'aux premiers Ă©lĂ©ments de la science que je voulais acquĂ©rir. [...] De ..., ce 20 septembre 17** L'Ă©tude repĂ©rera d'abord l'exposĂ© d'une vĂ©ritable science de l'hypocrisie — ce que le personnage confie ici Ă  Valmont concerne une vĂ©ritable discipline, manifeste dans le champ lexical de l'Ă©tude et de l'effort qui organise tout le passage "rĂšgles, principes, rĂ©flexions, ouvrage, rĂ©flĂ©chir, tĂąchais, travaillĂ©e, travail, science"... Au rebours d'une Ă©ducation sentimentale, il s'agit ici de l'apprentissage du paraĂźtre et de l'hypocrisie. — les termes du regard et de l'apparence sont pour cela dominants "attention, yeux, regard, air, physionomie, expression, observais, coup d'Ɠil"... Ces propos de la marquise se comprennent mieux en effet par rapport Ă  une sociĂ©tĂ© mondaine oĂč les individus sont toujours en reprĂ©sentation et donc susceptibles de livrer aux autres des tĂ©moignages de faiblesse. Il s'agit ainsi d'apprendre Ă  mentir pour satisfaire Ă  son orgueil et Ă  son exigence de libertĂ©. Ce souci est particuliĂšrement dĂ©cuplĂ© chez Mme de Merteuil, qui n'imagine la vie sociale qu'en termes de lutte. Mais il s'agit dans tous les cas d'une lutte intellectuelle oĂč les victoires sont savourĂ©es en silence. La duplicitĂ©, prĂ©sentĂ©e ici comme un art de vivre, vient enrichir les jugements sommaires ou platement moralisateurs que pourrait inspirer le personnage. HĂ©roĂŻne de la volontĂ©, Mme de Merteuil tire sa grandeur des masques qu'elle oppose cyniquement Ă  la comĂ©die mondaine oĂč le regard de l'autre est une menace constante d'aliĂ©nation. Sadien, le personnage est aussi sartrien dans la construction hautaine de sa libertĂ©. L'Ă©tude pourra ensuite analyser le "culte du moi" revendiquĂ© par cette lettre fondamentale — on repĂšre des traces manifestes d'orgueil dans l'opposition constante entre le "je" parfois rehaussĂ© du "moi seule" ou du "moi-mĂȘme" et le groupe social, significativement dĂ©signĂ© ici par les indĂ©finis "on", "les uns, les autres"; — cet orgueil est sensible aussi dans le mĂ©pris pour les autres, et particuliĂšrement pour les femmes sensibles ou faibles, ce qui rĂ©vĂšle la part essentielle qu'occupe la revendication fĂ©ministe - et peut-ĂȘtre quelque expĂ©rience humiliante - dans l'exposĂ© de la marquise; — "je suis mon ouvrage" la phrase cĂ©lĂšbre oppose la libertĂ© humaine Ă  tous les dĂ©terminismes, divins et sociaux. La lettre porte souvent trace d'une sorte d'ascĂšse, vĂ©ritablement stoĂŻque, dans la patiente conquĂȘte d'une maĂźtrise parfaite de son image "j'ai portĂ© le zĂšle jusqu'Ă  me causer des douleurs volontaires". Mais cet exercice reste guidĂ© par la jouissance de n'obĂ©ir plus qu'Ă  ses propres valeurs. La lettre accuse ce double registre de joie "sĂ©rĂ©nitĂ©, joie, plaisir, je m'amusais, fantaisies" et de souffrance "chagrins, douleurs, peine".... La place de cette lettre n'est donc pas indiffĂ©rente au beau milieu du roman, elle vient enrichir les perspectives et les attentes. Mme de Merteuil s'y pose en souveraine appelĂ©e Ă  ordonner selon sa volontĂ© les relations des autres personnages. Elle incarne aussi devant Valmont, dont les stratĂ©gies sont essentiellement guidĂ©es par la sensualitĂ©, la hauteur glacĂ©e d'une cĂ©rĂ©bralitĂ© impitoyable. [SĂ©duite dans la nuit par Valmont, CĂ©cile confie son dĂ©sarroi le lendemain Ă  Mme de Merteuil.] Ah ! mon Dieu, Madame, que je suis affligĂ©e ! que je suis malheureuse ! Qui me consolera dans mes peines ? qui me conseillera dans l'embarras oĂč je me trouve ? Ce M. de Valmont... et Danceny ! non, l'idĂ©e de Danceny me met au dĂ©sespoir... Comment vous raconter ? comment vous dire ?... Je ne sais comment faire. Cependant mon cƓur est plein... Il faut que je parle Ă  quelqu'un, et vous ĂȘtes la seule Ă  qui je puisse, Ă  qui j'ose me confier. Vous avez tant de bontĂ© pour moi! Mais n'en ayez pas dans ce moment-ci; je n'en suis pas digne que vous dirai-je ? je ne le dĂ©sire point. Tout le monde ici m'a tĂ©moignĂ© de l'intĂ©rĂȘt aujourd'hui... ils ont tous augmentĂ© ma peine. Je sentais tant que je ne le mĂ©ritais pas ! Grondez-moi au contraire; grondez-moi bien, car je suis bien coupable mais aprĂšs, sauvez-moi; si vous n'avez pas la bontĂ© de me conseiller, je mourrai de chagrin. Apprenez donc... ma main tremble, comme vous voyez, je ne peux presque pas Ă©crire, je me sens le visage tout en feu... Ah ! c'est bien le rouge de la honte. HĂ© bien ! je la souffrirai; ce sera la premiĂšre punition de ma faute. Oui, je vous dirai tout. Vous saurez donc que M. de Valmont, qui m'a remis jusqu'ici les lettres de M. Danceny, a trouvĂ© tout d'un coup que c'Ă©tait trop difficile; il a voulu avoir une clef de ma chambre. Je puis bien vous assurer que je ne voulais pas; mais il a Ă©tĂ© en Ă©crire Ă  Danceny, et Danceny l'a voulu aussi; et moi, ça me fait tant de peine quand je lui refuse quelque chose, surtout depuis mon absence qui le rend si malheureux, que j'ai fini par y consentir. Je ne prĂ©voyais pas le malheur qui en arriverait. Hier, M. de Valmont s'est servi de cette clef pour venir dans ma chambre, comme j'Ă©tais endormie; je m'y attendais si peu, qu'il m'a fait bien peur en me rĂ©veillant; mais comme il m'a parlĂ© tout de suite, je l'ai reconnu, et je n'ai pas criĂ©; et puis l'idĂ©e m'est venue d'abord qu'il venait peut-ĂȘtre m'apporter une lettre de Danceny. C'en Ă©tait bien loin. Un petit moment aprĂšs, il a voulu m'embrasser; et pendant que je me dĂ©fendais, comme c'est naturel, il a si bien fait, que je n'aurais pas voulu pour toute chose au monde... mais, lui voulait un baiser auparavant. Il a bien fallu, car comment faire ? d'autant que j'avais essayĂ© d'appeler, mais outre que je n'ai pas pu, il a bien su me dire que, s'il venait quelqu'un, il saurait bien rejeter toute la faute sur moi; et, en effet, c'Ă©tait bien facile, Ă  cause de cette clef. Ensuite il ne s'est pas retirĂ© davantage. Il en a voulu un second; et celui-lĂ , je ne savais pas ce qui en Ă©tait, mais il m'a toute troublĂ©e; et aprĂšs, c'Ă©tait encore pis qu'auparavant. Oh ! par exemple, c'est bien mal ça. Enfin aprĂšs... , vous m'exempterez bien de dire le reste; mais je suis malheureuse autant qu'on puisse l'ĂȘtre. [...] Du ChĂąteau de ..., ce 1er octobre 17**. L'Ă©tude pourra d'abord analyser dans les formes de la lettre tous les signes de la faiblesse — l'Ă©criture de CĂ©cile "le petit radotage" dont parle Valmont dans la lettre CXV correspond tout Ă  fait ici Ă  l'analyse que Mme de Merteuil lui adressait dans la lettre CV Vous Ă©crivez toujours comme un enfant. Je vois bien d'oĂč cela vient; c'est que vous dites tout ce que vous pensez et rien de ce que vous ne pensez pas. Cette lettre rĂ©vĂšle en effet cette faiblesse impardonnable qui consiste Ă  confier son dĂ©sarroi les nombreuses exclamations, les soupirs, les hĂ©sitations comme l'abus des points de suspension en tĂ©moignent. — l'autre signe de faiblesse est dans la tension excessive du style vers la destinataire les nombreuses injonctions rendent plus pressante la demande de conseils et marquent l'abandon total que CĂ©cile fait de son sort Ă  celle qu'elle a l'imprudence de choisir comme confidente. C'est pour ces raisons-lĂ  que le lecteur n'a jamais l'occasion de s'Ă©mouvoir de ses plaintes. Bien au contraire, les expressions hyperboliques ou niaises renforcent ce mĂȘme mĂ©pris que Mme de Merteuil a manifestĂ© Ă  l'Ă©gard de la jeune fille dans la lettre CVI Je ne connais rien de si plat que cette facilitĂ© de bĂȘtise qui se rend sans savoir ni comment ni pourquoi, uniquement parce qu'on l'attaque et qu'elle ne sait pas rĂ©sister. L'Ă©tude prĂ©cisera ensuite comment le lecteur est rendu complice, ce qui constitue le vrai scandale — pour ces raisons, le jeu des points de vue fait du lecteur un complice de Mme de Merteuil. Il ne peut que savourer en effet comme elle les expressions par lesquelles CĂ©cile manifeste sa confiance Ă  la marquise "vous ĂȘtes la seule Ă  qui je puisse, Ă  qui j'ose me confier. Vous avez tant de bontĂ© pour moi"! — le lecteur ne peut non plus rester insensible au caractĂšre Ă©rotique du passage, qui lui fait dĂ©sirer connaĂźtre la suite au lieu de s'Ă©mouvoir de cette dĂ©tresse si niaisement Ă©talĂ©e! Les effets dilatoires points de suspension, exclamations n'ont pour effet que de retarder le rĂ©cit et d'aviver davantage cette curiositĂ© lĂ©gitime avec laquelle CĂ©cile joue peut-ĂȘtre inconsciemment. — le lecteur enfin s'avise vite que derriĂšre le dĂ©sarroi de CĂ©cile se cache une sensualitĂ© qui ne demande qu'Ă  s'Ă©panouir. CĂ©cile n'est retenue encore que par des scrupules moraux de convention "Oh! par exemple, c'est bien mal ça!", mais sa lettre trahit un abandon prĂ©coce au plaisir qui est la raison essentielle de son trouble. Mme de Merteuil saura le repĂ©rer dans le lettre CV Allons, un peu de bonne foi. LĂ  ce trouble [...], Ă©tait-ce bien la honte qui le causait ? ou si c'Ă©tait le plaisir ? Ainsi cette lettre marque toute l'ambiguĂŻtĂ© morale du roman. Comme dans le Dom Juan de MoliĂšre, le lecteur n'a dĂ©cidĂ©ment pas envie de se mettre du cĂŽtĂ© d'une vertu si hypocritement reprĂ©sentĂ©e. A l'inverse, le libertin se pare de toutes les sĂ©ductions de l'intelligence. LĂ  est peut-ĂȘtre en effet le vrai scandale du roman qui nous invite Ă  mĂ©priser l'innocence CĂ©cile est, dira Mme de Merteuil, de ces femmes qui ne sont absolument que des machines Ă  plaisir, et Baudelaire ira plus loin encore en la jugeant tout prĂšs de l'ordure originelle » Projet d'Ă©tude de 1856. Vousne pouvez pas savoir Ă  quel point j'ai du succĂšs avec ça ! Je ne veux PAS non plus vous suggĂ©rer de vous transformer en mante religieuse et de ne plus vous comporter que de maniĂšre Ă©goĂŻste et arrogante envers les hommes et de les utiliser pour arriver Ă  vos fins. NĂ©anmoins, au cours de mes recherches ces derniĂšres annĂ©es, je me suis constamment posĂ© la mĂȘme ​​ Ce que nous avons vĂ©cu a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© jouĂ©. À New-York. Lors d’une rĂ©union ou plutĂŽt d’un exercice de simulation d’une pandĂ©mie de coronavirus, le 18 octobre 2019 ; tout a Ă©tĂ© filmĂ© et se trouve sur internet. Cela s’est passĂ© plusieurs mois avant la survenance du virus. En rĂ©alitĂ©, les participants – les gĂ©ants du capitalisme de surveillance – anticipaient ainsi la catastrophe Ă  venir. Ils avaient voulu un monde d’un seul tenant, sans cloisons. Ils savaient que ce monde-lĂ  serait hautement pathogĂšne. Ils le savaient et ils s’y prĂ©paraient. Ils attendaient la pandĂ©mie et ils la voyaient venir. Quand elle survint, ils la saluĂšrent comme une fenĂȘtre d’opportunitĂ© ». Pour les rentiers du numĂ©rique et de la Big Tech, ce fut une aubaine. Mais aussi pour les gouvernements qui mirent au ban d’essai l’idĂ©e d’une sociĂ©tĂ© disciplinaire ». Ainsi les Ă©lites globalisĂ©es ont-elles prĂ©parĂ© le jour d’aprĂšs. Occasion rĂȘvĂ©e pour tout changer, changer la sociĂ©tĂ©, changer de sociĂ©tĂ©. Et imposer enfin leurs codes de dĂ©socialisation, leur esthĂ©tisme woke, leur idĂ©ologie du Bien total. » Ayant entre les mains des Ă©lĂ©ments d’information fiables, recoupĂ©s, glaçants, Philippe de Villiers a dĂ©cidĂ© de prendre la plume pour alerter les Français, en espĂ©rant contribuer ainsi Ă  l’insurrection des consciences.
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Salutations de la lumiĂšre qui fait collectivement partie de votre propre ĂȘtre ! Pouvez-vous saluer la lumiĂšre d’un autre ? Pouvez-vous percevoir votre propre lumiĂšre lorsque vous regardez dans les yeux de plusieurs personnes ? En effet, vous le pouvez ! Le collectif est uni en une seule lumiĂšre qui a des facettes de brillance en chacun de vous ! Celui qui vous tient ne peut ĂȘtre divisĂ©, mais il est exprimĂ© en beautĂ© Ă  partir de l’essence du commencement. Vous ĂȘtes venus Ă  ce moment du maintenant pour terminer, pour cĂ©lĂ©brer et recommencer dans des couleurs plus riches, dans la sĂ©quence divine et dans la magnificence de la vie telle que vous la connaissiez ! Vous ĂȘtes en train de devenir la vĂ©ritĂ© de votre origine, la joie d’ĂȘtre en vie et le don d’avancer dans la lumiĂšre sans perte ! Vous ĂȘtes arrivĂ©s sur la planĂšte Terre pour transcender les paramĂštres qui dĂ©finissent votre existence. Pour faire face Ă  chaque adversitĂ© et essuyer vos larmes en vous souvenant, et en souriant ! Vous ĂȘtes venus pour approfondir votre connexion avec les aspects entrelacĂ©s de votre ĂȘtre qui donnent Ă  votre vie expĂ©rience et profondeur, sachant que vous ĂȘtes tellement plus que vous ne pouvez l’imaginer. Vous ĂȘtes en train de dĂ©couvrir votre vrai moi en soulevant des montagnes de dĂ©bris jetĂ©s sur vous depuis des directions inconnues pour vous ! De ceux qui exercent un pouvoir sur vous avec de fausses lumiĂšres, de faux drapeaux, des guerres planifiĂ©es et des pandĂ©mies planifiĂ©es. Ne vous inquiĂ©tez jamais ! Car vous ĂȘtes la lumiĂšre ! Tu peux te plier mais tu ne te briseras jamais ! Tu es venu Ă  ce rĂȘve Ă©veillĂ© avec de nombreuses Ăąmes afin de rejeter la vision consensuelle de la rĂ©alitĂ© qui t’a Ă©tĂ© imposĂ©e depuis ta naissance, et de remplacer cette comprĂ©hension par une transcendance totale. Tu es le premier Ă  dĂ©couvrir ton pouvoir et Ă  retourner en majestĂ©, pleinement Ă©veillĂ©, sans avoir Ă  subir l’expĂ©rience de la mort ! En effet, le pouvoir des multivers applaudit vos efforts pour affronter l’Ascension avec grĂące et joie ! Nous sommes avec vous pour le reste du rĂȘve. Dans l’amour, nous vous rejoignons, maintenant invisibles aux yeux des humains. Soyez forts, gentils et toujours en alerte ! Soulever un autre, c’est se soulever soi-mĂȘme ! Nous sommes unis dans la vĂ©ritĂ© ! Nous sommes le COLLECTIF PLEIADIEN ! Nous nous dĂ©plaçons et vivons dans le CrĂ©ateur de toute lumiĂšre ! ELAKO Nous t’aimons tellement ! 388 Retrouvez-moi sur Odysee, Telegram et GETTR – Ce contenu ainsi que les informations et les opinions qui y sont exprimĂ©es sont ceux de leurs auteurs et ne reflĂštent pas nĂ©cessairement mon opinion. Sivous ne savez pas oĂč obtenir ce genre d’aide, (et je ne fais pas non plus de consultation). Les psychologues sont cependant des spĂ©cialistes trĂšs polyvalents qui peuvent aider avec un grand nombre de problĂšmes, incluant les relations avec des personnes Ă  problĂšme. Vous pouvez donc consulter pour trouver des pistes de solutions efficaces. Je vous souhaite le meilleur. Je ne savais pas ce qui n’allait pas Sous tes yeux si clairs et impatients,Je ne savais pas ce qui n’allait pas,Je sentais ta prĂ©sence loin de mon siĂšge,Comme si l’avion quittait pour le saint siĂšge,Ce n’était pas parce que je te haĂŻssais,Mais parce que tes propos me moi, le tout Ă©tait pris pour hypostase,Pour tout, le moi Ă©tait pris pour miette,Je rĂȘve d’un regard si joli et gentil,D’un ami si fortiche Ă  dextĂ©ritĂ© fortuit,Dis-moi ce qui devrait arriver,Lequel bombardant les Ăąmes depuis mon arrivĂ©e,Une fleur pour moi,Une source minable de chez vous,Sous ces airs Ă  caractĂšres impassibles,J’ai trouvĂ© mes demandes impossibles,Tout ce qui t’a marquĂ© improbable,Sous mes croyances tort de me refouler, cher inconnu,Je me sentais en un grand jeune connu,Ce qui m’adressant au regard sans ces approbations,Un ciel bleu,Une lune jaune,Le tout semblait normal,Mais je n’ai pas su ce qui n’allait pas,Dis-moi ce qui ne va pas,Si votre intonation marque le silence,Mes augures ne seront que bĂ©nir vos moments futurs,Je sais que je ne suis plus l’attendu,Puisque votre moment est dĂ©jĂ  terminĂ©,Mais je reste l’inconnu visage du moi,Jusqu’à ce que je dĂ©couvre ce qui ne va pasle 23-11-20197h20’Advaxe DetrĂšs nombreux exemples de phrases traduites contenant "je ne savais pas que ce serait" – Dictionnaire anglais-français et moteur de recherche de traductions anglaises.
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 et vous non plus Un rĂ©sumĂ© implacable de Philippe de Villiers sur la mise en place de la fausse pandĂ©mie. Lui ne peut certes pas ĂȘtre taxĂ© d’illuminĂ© ! Ce qui prouve que tous les RĂ©sistants ne sont pas des complotistes » si ils le sont, puisqu’ils ont dĂ©masquĂ© rapidement le complot ! – cela n’a rien d’une injure -, mais des sentinelles Ă©clairĂ©es
 Un commentaire Shalom frĂšres et sƓurs, Pour cette fois je me suis dit que la lecture en original serait trĂšs certainement intĂ©ressante, que dit cet homme, que dit-il ouvertement sur la RĂ©initialisation, le Great Reset ? Car contrairement Ă  monsieur tout le monde que l’on traiterait en une demi fraction de seconde de stupido-dĂ©bile-primaire-abruti-tarĂ©-dĂ©gĂ©nĂ©rĂ© et trĂšs dangereux complotiste », lui peut le dire, lui peut Ă©crire un livre, enfin plutĂŽt un programme, lui peut dire que le covid est une aubaine fabuleuse pour le grand reset, lui peut tout dire, lui c’est KlSchw. Le monde est en rĂ©initialisation continue et accĂ©lĂ©rĂ©e dans absolument tous les domaines, je mets au dĂ©fi quiconque de trouver un seul domaine Ă©conomique ou social ou environnemental ou peu importe quoi oĂč ce n’est pas le cas, aucun n’y Ă©chappe, mĂȘme les Ă©glises. Par contre, il est strictement interdit de parler de Great Reset, le mot anathĂšme, tout se voit mais surtout ne rien dire, peu importe que tout le monde le voie en continu tous les jours en tremblant pour sa place de travail ou mille autres choses. Ceci pour dire que j’ai commencĂ© la lecture du livre, du programme dĂ©taillĂ© qui ne se gĂȘne pas de porter son vrai nom, j’ai nommĂ© la Grande rĂ©initialisation, le Great Reset Ă©crit par KSC lui-mĂȘme. Le moins que l’on devrait faire est de le qualifier illico de sĂ©rieux et grave complotiste, car de la premiĂšre Ă  la derniĂšre page, il nous parle en vĂ©ritĂ© de complotisme » et c’est peu dire. Je ne suis qu’au tout dĂ©but de la lecture, mais je suis dĂ©jĂ  en mesure de dire ceci. Les amis, ne nous voilons pas la face, ce livre est impressionnant, rien que l’introduction est en rĂ©alitĂ© le programme complet Ă©crit avec un niveau stratĂ©gique, un niveau d’amenĂ©e manipulatoire juste Ă©poustouflante. DĂ©solĂ© de le dire mais c’est la vĂ©ritĂ©, il y a lĂ  un niveau d’intelligence stratĂ©gique juste Ă©norme, monstrueux, le tout haut niveau, difficile de faire mieux ou pire selon comment on regarde. Oui, cette introduction est impressionnante et conduite avec maestria dans toute la subtilitĂ© de l’art de la manipulation Ă  faire passer Machiavel et SunTzu l’art de la guerre, la rĂ©fĂ©rence absolue pour des petits joueurs. D’ailleurs l’introduction est probablement le seul passage qui ait Ă©tĂ© Ă©crit, et encore disons finalisĂ©, en juin 2020 moment ou se livre a prĂ©tendument Ă©tĂ© Ă©crit, car le reste. Oui le reste !!!!???? Le reste est tellement dĂ©taillĂ©, tellement abouti, tellement construit, que ce contenu a dĂ» ĂȘtre prĂ©parĂ© pendant des annĂ©es. En vĂ©ritĂ© ce qui frappe particuliĂšrement, ce sont les dĂ©tails et affirmations prĂ©cises, complĂ©tĂ©s de commentaires analytiques et de projections futures alors qu’à ce moment, nous ne savions rien et factuellement il ne s’était encore presque rien passĂ©. On a l’impression que ce livre a Ă©tĂ© Ă©crit maintenant dĂ©but 2022 et encore disons qu’il a Ă©tĂ© Ă©crit en 2023-2025. Alors deux choses, prĂ©tendre que cela ait Ă©tĂ© Ă©crit en juin 2020 est un mensonge absolu, c’est juste impossible, mais surtout cela veut dire que ces gens savaient plus ou moins prĂ©cisĂ©ment ce qui allait se passer. Cela ne serait-ce que pour l’introduction. Le livre est sorti en juillet 2020, soi-disant Ă©crit en juin 2020, dĂ©jĂ  rien que lĂ , c’est Ă©vident que c’est impossible, non seulement un pareil contenu ne peut s’écrire en un mois, ensuite les premiers effets covid ont commencĂ©s mi-mars 2020 et Ă  ce moment on ne savait quasiment rien, les mesures prises en Ă©taient Ă  leurs balbutiements et pour les effets on Ă©tait alors bien loin de les voir et mĂȘme d’ĂȘtre en mesure de les estimer, c’était beaucoup trop tĂŽt, juste impossible Ă  ce moment. DĂ©jĂ  la fameuse rĂ©ponse citĂ©e par Philippe de Villiers Ă  la question quand reviendra le retour Ă  la normale ? JAMAIS !! Comment pouvait-on sĂ©rieusement dire cela Ă  ce moment ? Rien ne le prĂ©supposait Ă  ce stade. MĂȘme si je dis que nous, oui nous en Yeshoua nous le savions en Esprit depuis le dĂ©but, nous avions perçu ce point de bascule pour le monde, mais aussi pour l’Eglise. Rien que dans l’introduction, parler de La normalitĂ© d’avant la crise est brisĂ©e » point d’inflexion fondamental dans notre trajectoire mondiale » surprise par la rapiditĂ© et la nature inattendue des changements » nouvelle normalitĂ© radicalement diffĂ©rente » statistiques dĂ©jĂ  stupĂ©fiantes quant au dĂ©cĂšs, chĂŽmage et faillites » les faillites c’était zĂ©ro Ă  ce moment nouvelles vagues attendues » Alors que les choses venaient Ă  peine de commencer, alors que prĂ©cisĂ©ment au mois de juillet 2020, le nombre de cas Ă©tait retombĂ© Ă  quasi rien, affirmer de telles choses, nous montre bien ce qu’il y a derriĂšre la vitrine, bien que lĂ , plus rien n’est cachĂ©, ce n’est mĂȘme pas nĂ©cessaire. Toujours dans l’introduction, en vĂ©ritĂ© le cƓur, l’essence du message, cela passe de la peur Ă  l’espoir et mĂȘme Ă  l’opportunitĂ© magnifique, du drame absolu Ă  toutes les possibilitĂ©s, de l’affirmation catĂ©gorique et violente pour soudainement nuancer comme si de rien n’était. Des allĂ©es et venues dans le passĂ©, de la peste noire Ă  la grippe espagnole en passant par l’Empire byzantin, les aztĂšques pour arriver aux pogroms anti juifs au moyen Ăąge ou aux changements radicaux suite Ă  la seconde guerre mondiale et j’en passe, il y a dĂ©jĂ  beaucoup. Pour arriver Ă  nous dire aprĂšs s’ĂȘtre appuyĂ©, apparemment sans causes, sur plĂ©thore de drames et catastrophes historiques et hypothĂ©tiques que mĂȘme dans le pire des scĂ©narios, le Covid19 tuera beaucoup moins de personnes que les grandes pestes ou que la Seconde guerre mondiale ». En vĂ©ritĂ©, oui les exclamations citĂ©es ci-dessus sont parfaitement correctes, mais au regard des changements sociĂ©taux en cours, pas des effets du covid. Je vous l’ai dit, c’est le trĂšs haut niveau. Et je ne surprendrais personne en signalant la mise en exergue des questions climatiques » et des moyens pour soi-disant y remĂ©dier, non personne ne sera surpris des deux plus grandes, qui ne sont qu’une en vĂ©ritĂ©, mascarades manipulatoires de tous les temps. J’insiste, tout cela publiĂ© au mois de juin 2020, mais d’un autre cĂŽtĂ© l’essentiel est ailleurs, car nous nous imaginons le niveau de mensonge dans tout cela, alors l’essentiel est le programme sociĂ©tal dĂ©voilĂ© sans avoir le besoin de cacher quoique ce soit, enfin Ă  part les moyens pour y arriver. L’humanitĂ© commence Ă  ĂȘtre mĂ»re pour cela, confirmation de la Parole de Ă©crite il y a plus de 2’000 ans. Ceci dit, il faut tout de mĂȘme remarquer que le type de sociĂ©tĂ© proposĂ©e, disons sans la face sombre qui n’est pas totalement visible, est le rĂȘve de nombreux, en particulier les plus jeunes, cela se voit trĂšs clairement avec les changements de technologies dans le monde professionnel. Le regard sur le contenu de ce livre, Ă  n’en pas douter, sera trĂšs positif pour bon nombre, peut-ĂȘtre mĂȘme pas loin de la majoritĂ© d’ailleurs. Il m’est arrivĂ© de dire en m’appuyant sur le regard des gens dans la rue, il m’est arrivĂ© de dire que l’immense majoritĂ© accueillera avec une grande joie, avec un grand soulagement l’anti-christ, oui, cela ne fait aucun doute, les gens sont malheureux, ils font semblant du contraire, mais ils sont malheureux et cette venue sera une source d’espoir inimaginable aprĂšs avoir rejetĂ© leur CrĂ©ateur, le seul vrai le TrĂšs-haut. Dans tous les cas, nous proclamons que le TrĂšs-haut est au-dessus de tout, l’Eternel est le maitre de toutes choses et ce n’est qu’au moment que lui et lui seul choisira que ces gens pourront pour un temps limitĂ© mettre en Ɠuvre leur arrogance et leur folie dont le seul et unique fond est leur rĂ©bellion contre le Seigneur des Seigneurs. Voici ce que je voulais vous partager, il y aurait beaucoup Ă  dire, mais je ne veux pas dĂ©penser trop de temps avec cela. Laisser un commentaire Annuler la rĂ©ponseVous devez ĂȘtre dentifiĂ© pour poster un commentaire. Page load link
Voicila liste des erreurs Ă  ne pas commettre, selon Ana Fernandez dirigeante du cabinet Energycoaching. 1 – Se prĂ©cipiter sur les offres d’emploi. 2 – Envoyer des CV « tests ». 3 – Se laisser aller. 4 – Faire l’autruche. 5 – Partir fĂąchĂ©. 6 – Zapper son pot de dĂ©part. 7 – Critiquer son employeur. 8 – S’isoler. 10 signes qui prouvent que non, il n'est pas trop occupĂ©, juste pas intĂ©r essĂ© Il a toujours une bonne excuse pour justifier le fait de vous avoir laissĂ©e des jours sans nouvelle, et pourtant il finit toujours par revenir vers vous. Comment savoir si cette personne se soucie vraiment de vous ou si elle se contente de tuer le temps en votre compagnie ? Voici quelques signes qui devraient vous mettre la puce Ă  l'oreille. 1- Il ne rĂ©pond pas Ă  la plupart de vos messages À moins qu'il ait oubliĂ© quelque chose chez vous ou qu'il ait un service Ă  vous demander. Donc, il a bien vu vos messages et il a parfaitement le temps de pianoter 5 minutes sur son clavier de tĂ©lĂ©phone pour vous rĂ©pondre. Seulement voilĂ , il a probablement mieux Ă  faire. 2- Vous ne vous voyez que lorsque vous ĂȘtes ivres Il vous appelle toujours Ă  une heure tardive de la soirĂ©e, aprĂšs une bonne soirĂ©e entre potes ou il vous rejoint quand vous-mĂȘme est en train de faire la bringue. En clair il vous fait passer aprĂšs ses potes, et a simplement envie de terminer sa soirĂ©e de maniĂšre agrĂ©able. Et la seule fois oĂč vous le voyez sobre, c'est le lendemain au rĂ©veil, le temps d'un cafĂ©. Et vous avez gĂ©nĂ©ralement tous les deux la gueule de bois. 3- Il est trĂšs actif sur les rĂ©seaux sociaux Quelle conclusion en tirer quand vous voyez qu'il inonde de post son fil Insta et son compte Twitter tout au long de la journĂ©e alors que cela fait dĂ©jĂ  plusieurs jours que vous attendez qu'il daigne rĂ©pondre Ă  votre SMS ? Vous connaissez probablement dĂ©jĂ  la rĂ©ponse... 4- C'est toujours vous qui le relancez Que ce soit pour une suggestion de sortie, un conseil ou un simple "comment ça va ?", vous ne pouvez pas vous empĂȘcher de constater que c'est toujours vous qui faites le premier pas. Et pourtant, on ne peut pas dire que vous le harcelez puisque vous vous cantonnez Ă  1 ou 2 messages maximum par semaine. Que se passerait-il si vous arrĂȘtiez de donner signe de vie, juste comme ça, pour voir ? Probablement pas grand-chose. 5- Il prĂ©fĂšre rester dans des plans galĂšres plutĂŽt qu'en votre compagnie Vous voyez bien que ça le gonfle Ă  un point inimaginable d'aller Ă  cet anniversaire. Pourtant, quand vous vous dĂ©vouez gentiment pour le sauver de ce "guet-apens" et lui proposez une soirĂ©e cinĂ© Ă  la place ou autre, il vous rĂ©pond du tac au tac "non, je vais y aller quand mĂȘme". Et s'il ne vous propose mĂȘme pas de vous accompagner, alors ce n'est dĂ©finitivement pas trĂšs bon signe. 6- Il vous appelle uniquement quand il s'ennuie Vous avez remarquĂ© qu'Ă  chaque fois qu'il vous appelle, il est soit coincĂ© dans les embouteillages, soit dans une file d'attente au supermarchĂ©. Mais bizarrement, il ne dĂ©croche que trĂšs rarement quand vous l'appelez et met parfois plusieurs jours avant de vous rappeler. Pire parfois, il "oublie" carrĂ©ment de le faire. 7- Impossible de prĂ©voir des plans plus d'une semaine Ă  l'avance Vous avez envie d'aller Ă  ce concert qui a lieu dans un mois, et vous lui proposez de vous accompagner car vous savez qu'il aime aussi ce groupe. S'il vous rĂ©pond un truc du style "oh, un mois c'est long, je ne sais pas du tout si je serai dispo", ça ne sent pas trĂšs bon pour vous. Car Ă  priori, cela signifie qu'il n'a probablement rien de prĂ©vu Ă  cette date, mais qu'en revanche il n'est pas sĂ»r qu'il vous verra encore Ă  ce moment lĂ . En d'autres termes, il ne se projette pas vraiment avec vous, y compris dans un futur trĂšs proche. 8- Il ne fait aucun effort avec vos amis Il les regarde Ă  peine, ne leur pose aucune question. En fait, c'est tout juste s'il retient leurs prĂ©noms. Et s'il a le malheur de ne pas apprĂ©cier l'un d'entre eux, il ne manquera pas de lui faire savoir. Ce qui en dit long sur l'estime qu'il vous porte... 9- Il ne se souvient jamais de ce que vous lui racontez Ă  propos de vous MĂȘme s'il a un emploi du temps trĂšs chargĂ© et une multitude de choses Ă  gĂ©rer au quotidien, il devrait tout de mĂȘme se souvenir des choses importantes que vous lui apprenez sur vous. Si au bout de plusieurs semaines, il ne se souvient plus du job que vous faites, ou de votre nom de famille, alors oui son intĂ©rĂȘt pour votre personne est clairement limitĂ©. Ou alors, Ă  l'instar de de Dory dans Le Monde de Nemo, il souffre d'importants troubles de la mĂ©moire. 10- Vos amis n'en peuvent plus d'entendre parler de lui alors que les siens ne vous connaissent mĂȘme pas Vous avez pourtant dĂ©jĂ  croisĂ© quelqu'un de ses amis Ă  plusieurs reprises, mais ceux-ci ne vous ont portĂ© qu'un intĂ©rĂȘt poli sans chercher vraiment Ă  vous connaĂźtre. De deux choses l'une soit ce sont de vĂ©ritables goujats, soit ils se comportent ainsi car ils savent qu'ils risquent de ne plus vous revoir avec leur ami d'ici peu. Si plusieurs de ces signes vous sont familiers, un conseil laissez tomber. Vous ĂȘtes trĂšs certainement digne d'intĂ©rĂȘt, et si la personne pour qui vous craquez n'est pas capable de s'en rendre compte, Ă  quoi bon vous pliez en quatre pour elle ? ArrĂȘtez-donc de la voir et consacrez votre temps Ă  des gens qui en valent vraiment la peine. EcclĂ©siaste11 5 Comme tu ne sais pas quel est le chemin du vent, ni comment se forment les os dans le ventre de la femme enceinte, tu ne connais pas non plus l'oeuvre de Dieu qui fait tout. 6 DĂšs le matin sĂšme ta semence, et le soir ne laisse pas reposer ta main; car tu ne sais point ce qui rĂ©ussira, ceci ou cela, ou si l'un et l'autre sont Ă©galement bons. Salutations de la lumiĂšre qui fait collectivement partie de votre propre ĂȘtre ! Pouvez-vous saluer la lumiĂšre d’un autre ? Pouvez-vous percevoir votre propre lumiĂšre lorsque vous regardez dans les yeux de plusieurs personnes ? En effet, vous le pouvez ! Le collectif est uni en une seule lumiĂšre qui a des facettes de brillance en chacun de vous ! Celui qui vous tient ne peut ĂȘtre divisĂ©, mais il est exprimĂ© en beautĂ© Ă  partir de l’essence du commencement. Vous ĂȘtes venus Ă  ce moment du maintenant pour terminer, pour cĂ©lĂ©brer et recommencer dans des couleurs plus riches, dans la sĂ©quence divine et dans la magnificence de la vie telle que vous la connaissiez ! Vous ĂȘtes en train de devenir la vĂ©ritĂ© de votre origine, la joie d’ĂȘtre en vie et le don d’avancer dans la lumiĂšre sans perte ! Vous ĂȘtes arrivĂ©s sur la planĂšte Terre pour transcender les paramĂštres qui dĂ©finissent votre existence. Pour faire face Ă  chaque adversitĂ© et essuyer vos larmes en vous souvenant, et en souriant ! Vous ĂȘtes venus pour approfondir votre connexion avec les aspects entrelacĂ©s de votre ĂȘtre qui donnent Ă  votre vie expĂ©rience et profondeur, sachant que vous ĂȘtes tellement plus que vous ne pouvez l’imaginer. Vous ĂȘtes en train de dĂ©couvrir votre vrai moi en soulevant des montagnes de dĂ©bris jetĂ©s sur vous depuis des directions inconnues pour vous ! De ceux qui exercent un pouvoir sur vous avec de fausses lumiĂšres, de faux drapeaux, des guerres planifiĂ©es et des pandĂ©mies planifiĂ©es. Ne vous inquiĂ©tez jamais ! Car vous ĂȘtes la lumiĂšre ! Tu peux te plier mais tu ne te briseras jamais ! Tu es venu Ă  ce rĂȘve Ă©veillĂ© avec de nombreuses Ăąmes afin de rejeter la vision consensuelle de la rĂ©alitĂ© qui t’a Ă©tĂ© imposĂ©e depuis ta naissance, et de remplacer cette comprĂ©hension par une transcendance totale. Tu es le premier Ă  dĂ©couvrir ton pouvoir et Ă  retourner en majestĂ©, pleinement Ă©veillĂ©, sans avoir Ă  subir l’expĂ©rience de la mort ! En effet, le pouvoir des multivers applaudit vos efforts pour affronter l’Ascension avec grĂące et joie ! Nous sommes avec vous pour le reste du rĂȘve. Dans l’amour, nous vous rejoignons, maintenant invisibles aux yeux des humains. Soyez forts, gentils et toujours en alerte ! Soulever un autre, c’est se soulever soi-mĂȘme ! Nous sommes unis dans la vĂ©ritĂ© ! Nous sommes le COLLECTIF PLEIADIEN ! Nous nous dĂ©plaçons et vivons dans le CrĂ©ateur de toute lumiĂšre ! ELAKO Nous t’aimons tellement ! 376 Retrouvez-moi sur Odysee, Telegram et GETTR – Ce contenu ainsi que les informations et les opinions qui y sont exprimĂ©es sont ceux de leurs auteurs et ne reflĂštent pas nĂ©cessairement mon opinion. Ja6ymU.
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  • ce que je ne savais pas et vous non plus