Immergezvous dans des panoramas incroyables à Danxia ou dans les dunes de Mingsha et découvrez la surprenante oasis du lac du Croissant. En suivant la mythique Route de la Soie, percez les mystères de la forteresse de Jiayuguan et des grottes de Matisi. Laissez-vous charmer par les magiques grottes de Mogao et immergez-vous dans l

Les routes, artères de la civilisation DEPUIS des temps immémoriaux, les humains entretiennent des contacts les uns avec les autres au moyen d’un vaste réseau de pistes et de routes. Ces voies de communication témoignent d’une volonté de voyager et de commercer, mais aussi de faire la guerre et de bâtir des empires. Elles révèlent alors des aspects sombres de la nature humaine. Se pencher sur l’histoire des routes, depuis les premières pistes foulées seulement par des pieds et des sabots jusqu’aux autoroutes modernes, ce n’est pas seulement voyager dans le passé, c’est aussi en apprendre davantage sur l’être humain. Les premières routes “ Les premiers véritables constructeurs de routes, lit-​on dans une encyclopédie The New Encyclopædia Britannica, furent probablement les Mésopotamiens ”, c’est-à-dire les habitants de la région située entre le Tigre et l’Euphrate. Leurs voies processionnelles “ étaient des routes pavées constituées de briques cuites et de pierres cimentées par du bitume ”. Cette description rappelle ce que dit la Bible au sujet des premiers matériaux de construction “ La brique leur servit [...] de pierre, mais le bitume leur servit de mortier. ” — Genèse 113. Pour pouvoir s’acquitter de leurs devoirs religieux, les Israélites de l’Antiquité avaient besoin de routes. Près de 1 500 ans avant la naissance de Jésus Christ, ils avaient reçu le commandement suivant “ Trois fois dans l’année, tout mâle chez toi paraîtra devant Jéhovah ton Dieu [pour célébrer une fête religieuse] dans le lieu qu’il choisira. ” Deutéronome 1616. Jérusalem fut choisie ; souvent, des familles entières s’y rendaient pour assister à ces événements joyeux. De bonnes routes étaient donc indispensables. Les principales voies de communication étaient, semble-​t-​il, de bonne qualité. Au sujet de Salomon, qui régna environ mille ans avant la naissance de Christ, l’historien juif Flavius Josèphe écrit “ Il ne négligea pas même ce qui regardait les grands chemins. Il fit paver de pierres noires tous ceux qui conduisaient à Jérusalem. ” Il existait en Israël six villes de refuge qui donnaient asile aux homicides involontaires. Les routes qui menaient à ces villes étaient elles aussi bien entretenues. Selon la tradition juive, des poteaux indicateurs en bon état placés à chaque carrefour indiquaient la direction de la ville de refuge la plus proche. — Nombres 356, 11-34. Les routes contribuèrent dans une large mesure au développement du commerce. Dans l’Antiquité, l’un des produits les plus recherchés était la soie. On pense que les Chinois avaient appris à la fabriquer à partir des fils produits par les vers à soie bien avant que les Israélites ne soient devenus une nation organisée. Le secret du procédé, bien gardé, ne commença à se répandre qu’après la naissance de Christ. Mais, déjà auparavant, la soie avait un tel succès dans le monde occidental que, selon Geoffrey Hindley, auteur d’Une histoire des routes angl., des édits furent promulgués “ pour dissuader les hommes d’en porter ”, car cela “ était considéré comme efféminé ”. La voie par laquelle cheminait la soie importée de Chine était appelée la route de la soie. Lorsque Marco Polo l’emprunta, à la fin du XIIIe siècle, elle existait depuis 1 400 ans. Pendant plus de 2 000 ans, elle demeura la plus longue route du monde, s’étirant sur près de 13 000 kilomètres, depuis Shanghaï, le berceau chinois de la soie, jusqu’à Gades aujourd’hui Cadix, en Espagne. Leur fonction militaire Les plus grandes avancées en matière de construction de routes ont été le fruit de l’impérialisme. Sous les Césars, le réseau routier de l’Empire romain, dont on estime la longueur totale à 80 000 kilomètres, s’étendait sur l’Europe, l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient. Lorsqu’ils n’étaient pas au combat, les soldats romains étaient parfois affectés à la construction et à la réparation des routes. L’Histoire récente a également mis en évidence l’importance stratégique des routes. Dans le but de servir ses visées hégémoniques, Adolf Hitler lança en 1934 un programme de construction d’autoroutes. Selon l’historien Geoffrey Hindley, ce programme dota l’Allemagne “ du premier réseau autoroutier au monde ”. La construction des routes une science Les arpenteurs romains traçaient des routes parfaitement rectilignes en se servant d’un instrument appelé groma. Les maçons sculptaient les bornes, dont ils faisaient de véritables objets d’art, et les ingénieurs calculaient le poids que la route pouvait supporter. Les routes reposaient sur des fondations et étaient recouvertes d’un revêtement résistant. Le secret de la longévité des voies romaines résidait dans l’ingénieux système de drainage dont elles étaient équipées, auquel s’ajoutaient une légère courbure et une surélévation par rapport au niveau du sol. À l’époque déjà, des marchands vendaient des “ cartes routières ”. “ Face aux prouesses des Romains en matière de construction de routes, écrit un historien, il faut parfois résister à la tentation d’accumuler les superlatifs. Aucune réalisation humaine du passé n’a probablement rendu de services aussi durables que les routes d’Italie. ” La voie Appienne, qui partait de Rome vers le sud, fut, apprend-​on dans Une histoire des routes, “ la première route pavée, de quelque longueur que ce soit, dans l’histoire de l’homme occidental ”. Cette célèbre voie, qui mesurait six mètres de large, était pavée de grands blocs de lave. Lorsque l’apôtre Paul, prisonnier, fut emmené à Rome, il passa sur cette route, dont certaines sections sont encore utilisées aujourd’hui. — Actes 2815, 16. Beaucoup jugent tout aussi remarquables les constructions routières des anciens Indiens d’Amérique du Sud. Entre le XIIIe et le XVIe siècle, les Incas édifièrent un réseau long de 16 000 kilomètres destiné à maintenir l’unité d’un peuple de dix millions de personnes. Ces routes traversaient des régions inhospitalières et accidentées, des déserts, des forêts tropicales et même les majestueuses Andes péruviennes ! “ La route des Andes était remarquable, lit-​on dans l’encyclopédie citée plus haut. Elle mesurait 7,50 mètres de large et traversait les plus hauts massifs en pente douce grâce à un tracé sinueux. Il avait fallu creuser des galeries dans la roche dure, construire des murs de soutien hauts parfois de plusieurs dizaines de mètres, combler des ravins et des gouffres à l’aide de solides travaux de maçonnerie et lancer des ponts suspendus au-dessus des larges cours d’eau de montagne au moyen de câbles de laine ou de fibre végétale. Dans la plupart des régions, le revêtement était en pierre ; l’asphalte était abondamment utilisé. ” Les Incas ne connaissaient pas le cheval, mais ils disposaient, avec leur réseau routier, de ce que l’on a appelé “ une véritable piste de course pour leurs messagers royaux ”. Un historien écrit “ Sur toute la longueur de la route, tous les deux kilomètres environ, étaient répartis des relais abritant une petite garnison et une équipe de coureurs professionnels. Les étapes étaient suffisamment courtes pour que la course puisse être rapide. En travaillant jour et nuit, le service pouvait transporter un message de Cuzco, la capitale, à Quito, située à 2 000 kilomètres de là, en cinq jours. Il fallait pour cela maintenir une vitesse moyenne de 15 kilomètres à l’heure à une altitude de plus de 4 000 mètres. Un résultat jamais égalé par la poste impériale romaine ! Des répercussions tragiques Dans le corps humain, lorsqu’une artère se bouche, cela peut avoir des conséquences tragiques. De même, lorsqu’une route destinée à améliorer la qualité de la vie devient impraticable, des problèmes surgissent. Par ailleurs, les routes qui traversent forêts tropicales, déserts, savanes ou parcs nationaux ont un effet néfaste sur la faune et la flore. Souvent, les indigènes et leurs habitats forestiers en pâtissent également. On lit dans Comment nous construisons les routes angl. “ La route transamazonienne, pourtant mise en chantier au nom du progrès, a détruit de grandes étendues de forêt tropicale ; elle a été une véritable catastrophe pour les nombreux habitants de la forêt, car elle a complètement détruit leur ancien mode de vie. ” Chaque année, les villes rencontrent des difficultés croissantes dues à la multiplication des véhicules en circulation. Lorsque le budget le permet, on construit des voies rapides ; mais, à long terme, on favorise ainsi l’augmentation du trafic et l’aggravation de la pollution, qui dégrade la santé de millions de personnes. D’autre part, chaque année, tous pays confondus, 500 000 personnes sont tuées et 15 millions blessées, parfois grièvement, dans les accidents de la route. À titre de comparaison, la Première Guerre mondiale a coûté la vie à neuf millions de combattants. De plus, la guerre a fini par s’arrêter, tandis que la route continue de moissonner inlassablement plus de 1 000 vies par jour ! Assurément, les routes en disent long sur les humains. Elles révèlent nos forces et nos faiblesses, mais aussi ce que nous pensons de la magnifique planète qui nous a été confiée. [Illustration, page 21] La voie Appienne, que l’apôtre Paul a empruntée, est encore utilisée aujourd’hui. [Illustration, page 22] Chaque année, 500 000 personnes meurent dans des accidents de la route.
Nuità l'hôtel. Petit déjeuner à bord, déjeuner et dîner inclus. J3 et J4 Varkala - Cochin. Flânez dans la ville coloniale de Cochin. Départ tôt le matin pour 140 km de transfert par le train, expérience enrichissante et l'occasion de vous imprégner de la variété de Publié le 6 févr. 2018 à 1115Le plan est titanesque, avec un budget oscillant autour de milliards de dollars, des projets qui courent sur quasiment tous les continents, partagés entre des lignes de transport terrestres ou maritimes. Du côté financier, plusieurs fonds sont à la manoeuvre, une banque de développement qui réunit plus d'une soixantaine de pays les nouvelles routes de la soie véhiculent des chiffres à donner le vertige. Le plan, lancé en 2013 par Pékin, a eu du mal à arriver jusqu'en France. Mais depuis l'arrivée d'un train reliant Wuhan centre de la Chine à Lyon, puis le voyage du chef de l'Etat en Chine où le sujet a été officiellement évoqué, l'intérêt s'est notoirement accru. Les réunions d'information se succèdent et les intervenants rivalisent d'arguments pour inciter les entreprises à participer à ce formidable plan Marshall », comme on peut l'entendre. Il y a pourtant dans cette démarche plusieurs dangers, notamment celui d'un aveuglement occidental favorisé par une approche trop simpliste, où seuls le court terme et ses opportunités d'affaires sont pris en évolutifLes nouvelles routes de la soie ont été conçues comme un concept évolutif. Trois ans après leur lancement, le plan chinois n'a cessé d'étendre sa couverture géographique de 60 pays concernés au début, le nombre est passé à une centaine. Le continent africain, par exemple, est aujourd'hui clairement intégré au plan, tout comme l'Arctique, qui aura sa propre route de la soie » ou encore l'Amérique du Sud, continent où la Chine renforce sa présence. La liste des secteurs a, elle aussi, grossi. Des seules infrastructures de transports, le périmètre s'est élargi à la coopération culturelle ou touristique. Le nom du plan a changé, délaissant les nouvelles routes de la soie » pour Une ceinture, une route » One belt one road » » pour devenir aujourd'hui une initiative. La Chine a mis en place, en interne comme à l'étranger, des séances de brainstorming pour donner du contenu à ce cadre multiplesOn le voit bien ces nouvelles routes de la soie concentrent sur leur nom et sous couvert de projets économiques plusieurs ambitions. C'est avant tout un projet de communication extrêmement bien ciselé. Pour vanter les ambitions de ce plan, les autorités de Pékin déroulent des éléments de langage adaptés à chaque catégorie socioprofessionnelle. Les arguments avancés auprès des chercheurs ne sont pas les mêmes que ceux déroulés aux journalistes, lesquels ne ressemblent pas aux points mis en avant pour les milieux d'affaires. La réunion de toutes ces communications finit par former un message global qui transforme ces nouvelles routes de la soie de simple concept de départ à une pure y a en effet derrière ce plan une dimension de diplomatie économique qui doit permettre à Pékin et à ses entreprises de trouver des relais de croissance hors de Chine. Mais ce n'est pas tout, c'est aussi un projet qui exporte le soft power chinois et sa volonté de refondre la gouvernance de la planète. Xi Jinping et la Chine veulent piloter la réorganisation des institutions mondiales. L'étiquette des routes de la soie est idéale pour réunir autour de ce plan, à travers le monde, des représentants de haut niveau des Etats et des hommes d'affaires. Projection de puissanceOn peut appeler cela la diplomatie des forums, un domaine où la Chine est très active. Non seulement elle participe à la modernisation des infrastructures dans le monde, mais elle diffuse un autre message, plus idéologique. Le président chinois veut vendre » son mode de développement comme une alternative à celui des démocraties occidentales en proie à de nombreux maux. Lui vante un Etat fort, centralisé, capable de prendre des décisions rapidement et de les imposer dans un délai court. Enfin, il ne faut pas oublier l'aspect géostratégique de ce la Chine, ce plan reste une projection de puissance à 2050, année du 100e anniversaire de la création de la république populaire 1er octobre 1949. La Chine doit avoir, alors, retrouvé le lustre qu'elle avait perdu au XIXe siècle. Aux projets terrestres s'ajoutent les maritimes. Voilà pourquoi les progtammes dûment estampillés touchent aussi bien des câbles sous-marins que des investissements dans les ports. Avec la dimension stratégique que cela sous-tend. La phase ultime du plan est de faire circuler des données informatiques d'une zone à une autre via un réseau de fibres optiques. En parallèle, une dizaine de ports sont dénombrés rien que pour la Méditerranée. Alors, certes, ce vaste plan offre des opportunités à court terme. Mais il ne faut pas le voir par le petit bout de la lorgnette. La Chine est autant dans une stratégie de conquête que de propagation de la paix dans le monde, comme elle le clame. Et elle sait protéger ses intérêts. Les liaisons ferroviaires entre la Chine et l'Europe sont à ce titre riches d'enseignements. Les trains arrivent chargés de toutes sortes de marchandises en Europe, nettement moins dans l'autre sens. Cela pose par ricochet diverses questions, dont celle de l'accès au marché, fortement étrangèreEnfin, rien n'indique à ce stade que les étrangers pourront aisément de participer aux projets développés par la Chine. Le corridor économique que Pékin construit au Pakistan pour quelque 50 milliards de dollars ressemble fort à une aide au développement liée. Aucune firme pakistanaise ne peut planter un coup de pioche dans ce qui est devenu une zone réservée aux entreprises chinoises. Cela ne signifie pas que ce plan chinois soit définitivement fermé aux étrangers. Mais il faut se garder de ne considérer que l'effet grossissant du court terme et surtout éviter d'imaginer qu'un tapis rouge est déroulé devant ces routes.
Ancienpoint de départ de la route de la Soie. Ne manquez pas les remparts de la ville. Elle est l’une des rares cités à avoir conservé ses anciens remparts de 12 mètres de haut construits en 1370 sous la dynastie Ming. Faites le tour des remparts en 4 heures sans vous presser : expérience garantie !

Sur la Route de la Soie un voyage unique au coeur de l’Asie centrale, départ unique rendez-vous le 4 avril 2016 pour un périple qui se jouera des frontières entre l’Iran, le Turkménistan et l’Ouzbékistan. Une belle aventure qui va célébrer 20 ans de passion sur les routes de l’Asie. Pour fêter ça, nous vous entraînons pour un périple qui se jouera des frontières entre l’Iran, le Turkménistan et l’Ouzbékistan. A partir de 4990 € TTC Circuit organisé en groupe, Iran, Ouzbékistan, Turkménistan – 20 jours / 19 nuits Période Du 04/04/2016 au 04/04/2016. Les temps forts > En Iran, les must de Shiraz et d’Ispahan, cités majeures où s’est écrite l’histoire de la civilisation perse, les trésors de Persépolis, les tombeaux de Naqsh-e-Rostam, et la ville sainte de Mashhad. > Au Turkmenistan, les vestiges des anciennes cités du désert. > En Ouzbékistan, tous les bleus des coupoles et minarets des mosquées et medersas de Boukhara et Samarcande. > Circuit accompagné au départ de Paris par une spécialiste de l’Asie Centrale. Le programme Jour 1 Envol pour Shiraz Départ de Paris sur Turkish Airlines via Istanbul en début d’après-midi. Repas et courte nuit à bord. Jour 2 La ville des poètes Shiraz Arrivée dans la nuit. Accueil et repos à l’hôtel. Petit déjeuner et visite du berceau de la dynastie achéménide 550/330 av. JC la Moquée Nasir Al Molk ou mosquée rose pour ses faïences représentant des brassées de roses ; la mosquée Vakil ; le décor des Mille et une Nuits du jardin de l’Orangerie, ancienne demeure d’un riche notable ; le mausolée de Hafez, grand poète iranien. En fin d’après-midi, balade dans le bazar du Vakil. Jour 3 Trésors de la civilisation perse Shiraz / Persépolis / Naqsh-e-Rostam / Shiraz – 110 km Site majeur classé au patrimoine mondial de l’UNESCO pour son architecture et ses bas-reliefs exceptionnels, on entre dans Persépolis par la porte des Nations et ses taureaux ailés à tête humaine et on découvre, sculptés dans la pierre, les représentants des 32 peuples de l’empire qui venaient porter tribu à l’empereur. Après déjeuner, c’est devant les tombeaux creusés dans la falaise de Naqsh-e-Rostam qui n’est pas sans rappeler Pétra, que l’on salue Darius 1er et ses successeurs. Jour 4 D’une capitale à l’autre En route pour Ispahan, visite du site achéménide de Pasargades, première capitale de l’empire perse avant Persépolis. Arrivée à Ispahan dans l’après-midi et installation dans celle qui a tout de la capitale culturelle du pays. Jour 5 La belle orientale Ispahan Première découverte d’Ispahan dont Shâh Abbas le Grand fit sa capitale au 16e s. la mosquée du Vendredi, le mausolée Harounieh et le minaret d’Ali. Dans le quartier de Djolfa fondé par l’empereur pour y accueillir une communauté arménienne, visite de la cathédrale de Vank et du musée arménien et ses magnifiques manuscrits. Dans le palais aux 40 colonnes les fresques murales racontent les fastes de la cour. Jour 6 Coupoles et minarets Ispahan Deuxième journée consacrée à l’ancienne capitale safavide bâtie le long de la rivière Zayandeh traversée par 11 ponts le pont Khaju avec son pavillon de musique et le pont aux 33 arches réservés aux piétons sont les plus célèbres – l’immense place royale Naghsh-e Jahan la 2e plus grande au monde après Tian An Men accueillait autrefois caravaniers et marchands. Aujourd’hui on y visite la mosquée de l’Imam, le palais Ali Qâpu, la mosquée du Sheikh Lotfollah et, dans les allées du bazar, on trouve un artisanat traditionnel de qualité. Le soir, dîner sous les ors de l’hôtel Abassi, ancien caravansérail. Jour 7 Remontée vers le Nord Ispahan / Ardestan / Abyaneh / Kashan – 210 km Arrêt à Ardestan et visite de la Mosquée du Vendredi, l’une des plus anciennes du pays 8e s. construite en brique crue. Continuation pour Abyaneh, surprenant village fortifié niché au creux des monts Kargas. Il a été classé par l’UNESCO pour ses murs ocre et ses balcons de bois le long de ruelles étroites et de passages voutés. Installation à Kashan en fin d’après-midi. Balade dans le bazar et dîner. Jour 8 Dans les pas des grands commerçants En route pour Téhéran, visite de la florissante oasis de Kashan la maison de Boroudjerdi, demeure patricienne d’un riche marchand du 18e s., le célèbre jardin de Fin et ses élégants pavillons et bassins de marbre, et enfin, la mosquée Aqha Bozorg. Jour 9 La Perse et son histoire Téhéran Les musées de la capitale viendront compléter vos découvertes sur le terrain musée d’Archéologie, musée du Tapis et sa célèbre collection de tapis persans et kilims, musée du Verre et de la Céramique installé dans un ancien palais du Vizir qui abrite des objets exceptionnels, et musée des Joyaux Nationaux dont la collection remonte au 16e s. Jour 10 Cap à l’est Temps libre avant l’envol dans la matinée pour Mashhad située à l’extrême est dans la province du Khorasan. Arrivée dans l’après-midi dans la 2e ville d’Iran, l’une des plus saintes du chiisme qui attire près de 20 millions de pèlerins par an. Visite du Mausolée de l’Imam Reza et promenade dans le bazar. Jour 11 Les grands poètes du Khorasan Excursion à Nishapur pour les mausolées d’Attar-at-Din et du mathématicien, philosophe et astronome du 11e s. Omar Khayâm, plus connu pour sa poésie. C’est aussi la ville de la turquoise taillée par les bijoutiers. Puis découverte de Touss où est inhumé Ferdowsi, un autre grand poète persan. Jour 12 Direction le Turkménistan Départ matinal pour la frontière et passage au Turkménistan tout proche. Changement de véhicule, chauffeur et guide puis continuation pour Mary. Déjeuner pique-nique. Arrivée en fin d’après-midi et installation à l’hôtel. Jour 13 Dans les pas de Zarathoustra Excursion à Margoush, cité natale supposée de Zarathoustra, spectaculaire ville pétrifiée du 16e s. avant dans le désert du Kara Koum. Après déjeuner, visite du site de Merv, l’ancienne Margiane et ses imposantes forteresses. Retour à Mary pour dîner. Jour 14 Route pour l’Ouzbékistan Longue route pour Farab à la frontière ouzbèke. Arrêt pour déjeuner à Turkmenabad. Changement de véhicule et de guide et continuation pour Boukhara. Arrivée en fin d’après-midi Jour 15 Splendeurs de Boukhara Découverte de celle qui connut son apogée au 10e s. la citadelle de l’Ark, la mosquée Bolo Khauz et son bassin, le mausolée Samanide, l’ensemble Poï-Kalian protégé par l’UNESCO et son minaret, le joli complexe de Laby Khauz 16e – 17e s., les coupoles marchandes et la mosquée d’Oulougbeg. Dîner en musique dans une médersa. Jour 16 Jardins et vieilles ruelles Boukhara Suite des visites les pavillons et le harem du palais d’été du dernier émir, le mausolée Nakhsbandi, haut-lieu de pèlerinage et les quatre minarets turquoise de Tchor Minor. L’après-midi, temps libre pour flâner dans les bazars et les ruelles. Puis, visite d’un atelier de miniature et de calligraphie en compagnie du grand artiste Tochev Daviat. Dîner dans la vieille ville et hammam en option. Jour 17 Cap sur Samarcande Arrêt à Guijdouvan et visite de l’atelier de céramistes. L’après-midi, découverte de Samarcande la fabuleuse place du Reghistan et ses trois médersas monumentales, le mausolée Gour Emir 15e s. et le tombeau dynastique des timourides. Le soir, spectacle au théâtre El-Merosi. Jour 18 La ville de Tamerlan Samarcande Arrêt dans une fabrique artisanale de papier de soie puis découverte de l’observatoire d’Ouloug Beg, du musée et des ruines de l’ancienne Afrosyab et du mausolée Chah-i-Zinda, sublime ensemble de tombeaux. L’après-midi, visite de la grande mosquée Bibi Khanym construite par Tamerlan pour sa femme préférée, et balade dans le bazar. Le soir, dîner dans une maison traditionnelle pour goûter le plov national préparé avec la famille. Jour 19 Arrivée à Tachkent Route pour Tachkent. Déjeuner et après-midi libres. Dîner d’adieu en ville. Jour 20 Retour en Occident Petit déjeuner matinal avant l’envol pour Paris sur Turkish Airlines. Arrivée en fin d’après-midi. Cette destination vous intéresse ? Retrouvez toutes les informations au sein de notre agence de voyages angevine ou dans nos autres agences Préférence Voyages.

Berceaud’une culture vieille de plus de deux millénaires, l’Ouzbékistan possède un fabuleux patrimoine artistique et architecturalD'Alexandre le Grand à Gengis Khan, Marco Polo et Tamerlan, héritage de l’histoire rude et fascinante de la route de la Soie, le territoire fut tout au long de son histoire, dominé par les grands empires environnants des Turcs, Perses, Grecs,
IMAGES CRÉATIVESPHOTOS D’ACTUALITÉSVIDÉOSToutPhotosIllustrationsVectorielsPertinencePlus récentLes plus consultéesExclure le contenu destiné à un usage rédactionnel’Parcourez 12 illustrations et vectoriels libres de droits disponibles de la route de la soie, ou utilisez les mots-clés marco polo ou métier à tisser pour trouver plus d’images et vectoriels d’ cliparts, dessins animés et icônes de tamerlan, 1336-1405, également appelée temur, tan, timur, timur lenk i leng, tamburlaine ou tan-e-lang. mongole-turkic conquérant, souverain de l’empire timuride, 1370-1405. fondateur de la dynastie timouride - la route de la soie
Elleva de l'Inde, aujourd'hui majoritairement hindouiste, naguère berceau du bouddhisme, jusqu'à l'archipel japonais, terminus de la route de la soie. Elle passe bien sûr par la Chine, immense pays à la fois socialiste, confucianiste et taoïste. Elle s'arrête en chemin sur l'Asie du Sud-Est et les régions himalayennes, qui apparaissent comme des zones de confluence, véritables
Les villes de la nouvelle route de la soie en Asie du Sud-Est ANR VINOROSA Partager sur Conférences publiques par les membres de l’équipe de recherche Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Paris-Belleville ENSAPB Au croisement de la géographie, des études urbaines et de l’anthropologie du développement, le programme de recherche VINOROSA examine le rôle moteur de la nouvelle politique du gouvernement chinois Belt and Road Initiative BRI sur le développement urbain des villes secondaires d’Asie du Sud-Est. En examinant des programmes et des projets en cours, il émet l’hypothèse que la BRI agit comme un puissant vecteurs de modèles urbains et qu’elle contribue à restructurer les systèmes d’acteurs urbains en suscitant la mise en place de nouveaux dispositifs de gouvernance. Cet évènement public, organisé dans le cadre du séminaire de lancement du programme de recherche réservé à l’équipe, inaugure nos travaux et sera suivi d’un cocktail. Amphithéâtre central 21 Février 2020 - 17h-20h30 60, boulevard de la Villette 75019 Paris LUXE(10 jours, 4 nuits à bord) Traversez l'Ouzbékistan et découvrez ses trésors cachés le long de la légendaire route de la soie à bord du train spécial Orient Silk Road Express. Introduction Détails Le train Tarifs & Dates Conditions Demande Devis TACHKENT – CHAKHRISABZ – SAMARCANDE – KHIVA – BOUKHARA – TACHKENT

Cet article date de plus de cinq ans. Le président chinois Xi Jinping a invité 29 chefs d'État et de gouvernement, dimanche, pour lancer officiellement le forum international des Routes de la soie. Un gigantesque projet commercial et géostratégique. Article rédigé par Publié le 14/05/2017 0952 Temps de lecture 1 min. La Chine a ouvert, dimanche 14 mai, le forum international des Routes de la soie, son grand rendez-vous diplomatique de l’année. 29 chefs d'État et de gouvernement, invités par Pékin, vont lancer officiellement le projet Obor, "One Belt and One Road" "Une ceinture, une route", censé relier la Chine à l'Europeen matière de commerce et de géostratégie. C'est l'un des grands projets du président chinois Xi Jinping. Dimanche, Xi Jinping a évoqué l’esprit de Marco Polo qui a parcouru l’ancienne route commerciale. Il y a 2 000 ans, l’antique Route de la soie acheminait à dos de chameau des produits de l’empire du Milieu vers l’Europe à travers l’Asie centrale. Le projet de Xi est beaucoup plus ambitieux. Pour Xinhua, l’agence de presse officielle chinoise, il s’agit de revenir "au centre de la scène mondiale". Pour cette Routes de soie des temps modernes, il va falloir construire des ports, des routes, des aéroports. Un gigantesque programme d'investissements en infrastructures de "5 trillards de dollars" soit 1 000 milliards de dollars sur 5 ans, explique Alexandre Chieng, le vice-président de la chambre de commerce et d'industrie française en Chine. Il y a, en réalité, deux Routes de la soie. "'La"silkroad' va du Kazakhstan à l'Iran en passant par la Turquie et remonte vers la Russie pour terminer vers l'Allemagne et la Hollande. La route du sud, qui est essentiellement une route maritime, passe par le Viêt Nam, la Malaisie, l'Indonésie, l'Inde, le Sri Lanka et rejoint le continent est-africain pour remonter vers la Grèce et l'Italie", décrit Alexandre Chieng qui rappelle que ces routes englobent plus de 63 pays et parle d'une "véritable vision" du président Xi. Les sinoseptiques s’inquiètent de ce projet tentaculaires. La plupart des dirigeants occidentaux sont absents. La France, elle, est representée par Jean-Pierre Raffarin, le très sinophile ancien Premier ministre et actuel président de la commission des Affaires étrangères du Sénat. Prolongez votre lecture autour de ce sujet tout l'univers Chine

\n \n\n\n berceau de la route de la soie du sud
Carnetde voyage : Voyage sur la route de la soie en passant par l'Europe du nord-est à l'allée puis en revenant par l'Europe centrale. Un superbe voyage d'un cinquantaine de jours . Destinations; Carnets; Bons Plans; Articles; Par thème; Photos; Vidéos; Forums; Offres Premium; Livres photos; Inscription; Connexion; Carnet de voyage La route de la soie Ouzbékistan
São Paulo – Les présidents de l’Argentine, Alberto Fernández, et de la Chine, Xi Jinping, ont scellé dimanche 6 l’entrée du pays latino-américain dans les soi-disant Nouvelles Routes de la Soie. Les accords de coopération économique devraient rapporter environ 23,7 milliards de dollars d’investissements à l’Argentine dans les années à venir. La première partie de l’accord, déjà approuvée, prévoit 14 millions de dollars US investis dans 10 projets d’infrastructure. Les 9,7 milliards de dollars US restants serviront à étendre l’intégration économique entre les deux pays. Sur les réseaux sociaux, Fernández a déclaré avoir eu une rencontre cordiale, amicale et fructueuse ». La réunion de Pékin a également marqué le 50e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre les deux pays. En outre, le président argentin a souligné l’intention des pays d’étendre l’utilisation des monnaies locales dans les investissements et le commerce. De cette manière, il a également signalé comme crucial » le soutien de Pékin à la renégociation de l’Argentine avec le FMI. Je suis reconnaissant du fort soutien chinois aux efforts de l’Argentine pour préserver la stabilité économique et financière », a déclaré le dirigeant argentin. Avec ces investissements, les Argentins espèrent accroître les exportations de leurs produits non seulement vers la Chine, mais vers toute l’Asie. Outre le soja argentin, les Chinois devraient investir dans la production de gaz naturel du pays voisin. La Chine a également exprimé son soutien à la souveraineté de l’Argentine sur les îles Falkland, tandis que Buenos Aires a adhéré au principe Une seule Chine », contre les mouvements indépendantistes de Taiwan soutenus par les États-Unis. Parcours d’intégration Considérées comme l’un des projets d’intégration les plus ambitieux aujourd’hui, les Nouvelles Routes de la Soie – également connues sous le nom de Belt and Road Initiative – ont été lancées par les Chinois en 2013. Les premiers accords ont été conclus avec des pays d’Asie centrale et du Sud-Est. Il s’agit d’investissements dans les ports, les aéroports, les routes et les chemins de fer, principalement. Depuis lors, 140 pays ont signé des partenariats avec le gouvernement chinois, y compris l’Europe de l’Est et l’Afrique. En Amérique latine, l’Argentine est le cinquième pays à rejoindre cette initiative. Auparavant, le Venezuela, la Bolivie, Cuba et le Suriname avaient déjà conclu des partenariats avec les Chinois. En ce sens, rien que l’année dernière, le gouvernement chinois a investi 59,5 milliards de dollars américains dans les Nouvelles Routes de la Soie, selon une étude de l’Université Fudan. Diversification des investissements Les Chinois vont financer, par exemple, la construction de la quatrième centrale nucléaire du pays sud-américain, pour un montant de 8 milliards de dollars américains. Il s’agit d’un accord entre la société d’État argentine Nucleoelectrica Argentina et la National Nuclear Corporation of China. La centrale Atucha III, qui sera située à Lima, à 100 kilomètres au nord de Buenos Aires, disposera de 1 200 mégawatts. L’entreprise devrait créer jusqu’à 7 000 emplois et disposera de 40 % du contenu national argentin. Lors du voyage à Pékin, en outre, des sources des deux gouvernements ont également confirmé que la société chinoise Xiaomi devrait commencer à produire des smartphones en Argentine. L’équipement sera fabriqué en partenariat avec Etercor, qui possède une usine de composants électroniques en Terre de Feu, une province du sud du pays. L’annonce officielle devrait avoir lieu dans les 60 prochains jours. L’Argentine prend les devants avec l’entrée dans la nouvelle route de la soie, obtenant plusieurs investissements dans le pays », a tweeté l’économiste Marcio Pochmann, professeur à l’Institut d’économie de l’Université d’État de Campinas Unicamp. C’est aussi un moyen, selon lui, pour le pays voisin de se débarrasser de l’asphyxie » promue par des institutions commandées par les Etats-Unis, comme le FMI et la Banque mondiale. Pour l’économiste Elias Jabbour, professeur à la Faculté des sciences économiques de l’Université d’État de Rio de Janeiro Uerj, la Chine profite ainsi de l’espace laissé par le Brésil dans les relations diplomatiques avec l’Argentine. Il est incroyable qu’un pays complémentaire au nôtre et avec des objectifs communs n’ait pas été envisagé avec une visite présidentielle », a-t-il déclaré dans le communiqué. Twitter. Selon Jabbour, le jeu » des Chinois consiste à échanger des investissements dans les infrastructures contre les matières premières produites par ces pays. D’autre part, il a déclaré que la Chine inaugurait une nouvelle forme de relations entre les pays, … plus sophistiquée que l’aide financière et technique offerte par l’URSS à travers le monde », pendant la guerre froide.
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