LEPLUS. Corey, 14 ans, a du mal Ă  cacher sa surprise : aprĂšs 2 ans et demi d’attente, sa mĂšre a rĂ©ussi Ă  lui procurer sa premiĂšre dose d’hormones fĂ©minines. La

Description Authenticité Livraison Retours Paiement Cette baguette comporte un corps en toile, bandouliÚre en cuir plat, et une fermeture à glissiÚre. Il porte une cote B + condition. Le dos extérieur est déformé. Fond extérieur est hors de forme. L'extérieur est déformé et rayé. La poignée extérieure est déformée et rayée. La fermeture éclair est ternie. Dimensions Length 12 cm Largeur 22 cm Profondeur 3 cm chute d'épaule 15 Inclusions Dustbag Coloris noir Matériel tissu x toile x cuir x veau Pays d'origine Italie Numéro de série 145750 Référence Boutique PJC174563F956 Marque Gucci Dimensions 12x22x3cm Etat Bon état MatiÚres Cuir, Toile, Veau façon poulain, Tissu Couleurs Noir Livraison dans le monde entier ... ... ... ... ... © 2022 Joli Closet Joli Closet, dépot vente mode et luxe
RozsaTassi a rencontrĂ© Rocco Siffredi en 1993, alors qu’elle avait 21 ans. Pour lui, la jeune hongroise est devenue Rosa Caracciolo - son nom d’actrice porno -
ActualitĂ© SociĂ©tĂ© Fait Divers Depuis plusieurs mois, un commerçant de Saujon, prĂšs de Royan en Charente-Maritime, Ă©tait intriguĂ© par les nombreuses visites de son voisin dans sa boutique. Plein de questions face Ă  l'Ă©trangetĂ© de ce comportement, il dĂ©cide d'interroger sa femme qui reconnaĂźt sa liaison avec celui-ci. Le commerçant dĂ©cide alors de se venger. Une vengeance en trois Ă©tapesSelon le journal Sud Ouest, le commerçant, pris de colĂšre, dĂ©cide dĂ©but novembre de coincer l'homme lorsqu'il vient dans sa boutique afin de le passer Ă  tabac. L'amant estime qu'ils sont quitte et dĂ©cide de ne pas porter plainte. Quinze jours plus tard, le commerçant revient Ă  la charge. Cette fois, il se rend directement au domicile de son rival. Il l'oblige a baisser son pantalon, le prend en photo et commente la taille de son sexe avant de repartir. Une fois de plus, l'amant ne lui en tient pas rigueur et ne prĂ©vient pas les autoritĂ©s. Offre limitĂ©e. 2 mois pour 1€ sans engagement Pourtant, le commerçant n'en a pas terminĂ© avec lui. Le 30 novembre, il revient au domicile de l'amant, accompagnĂ© de sa femme cette fois-ci, et surtout armĂ© d'un godemichĂ©. Il est bien dĂ©cidĂ© Ă  s'en servir. L'Ă©pouse infidĂšle et le mari le violentent. Cette fois, il porte plainte. Le couple a, depuis, Ă©tĂ© interpellĂ© et mis en examen pour viol en rĂ©union. Mercredi 23 dĂ©cembre, le tribunal de Poitiers a refusĂ© d'accorder la libertĂ© au mari, placĂ© en dĂ©tention provisoire, Ă©tant donnĂ© la gravitĂ© des faits qui lui sont reprochĂ©s. Les plus lus OpinionsLa chronique de Marion Van RenterghemPar Marion Van RenterghemLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain FortLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles PialouxLa chronique de Pierre AssoulinePierre Assouline
Emy1644une femme de 41 ans - Val-d'OiseOrigine: Black, noire africaine. Bonjour, Je mesure 1 m 72. J'adore le cinĂ©ma, les restaurants, les balades, les soirĂ©es entre amis ou entre copines ou les soirĂ©es avec ma moitiĂ© pour se retrouver en amoureux. Mes amis me disent plutĂŽt gentille, agrĂ©able Ă  vivre et courageuse. Au coeur du village naturiste du Cap-d’Agde, sur un morceau de plage rebaptisĂ© “baie des cochons”, les libertins s’amusent. Fellations, masturbations, bukkake, gang bang ici, le plaisir est public et collectif. Article extrait des Inrocks spĂ©cial sexe, actuellement en kiosque. C’est l’heure du goĂ»ter et quelques messieurs, visiblement affamĂ©s, hĂątent le pas sur le sable chaud. ArrivĂ©s Ă  hauteur d’un parasol gris, ils s’arrĂȘtent et se placent soigneusement en arc de cercle. Ils sont cinq, puis dix, trente. Tous sont nus et en Ă©rection. Muscles contractĂ©s, mĂąchoire serrĂ©e, la plupart se masturbent mĂȘme avec Ă©nergie. Sous le parasol, posĂ© sur une serviette blanche, un couple se montre. La femme est allongĂ©e sur le dos, l’homme se tient sur elle, dans la position du missionnaire. Ils ont une cinquantaine d’annĂ©es et leurs corps sont extrĂȘmement blancs, totalement Ă©pilĂ©s. BientĂŽt, ils glissent en levrette. Autour d’eux, les spectateurs semblent toujours plus nombreux, toujours plus excitĂ©s. AprĂšs quelques instants, elle souffle un mot Ă  son partenaire, en allemand. Il se retire d’elle et introduit un premier doigt dans son vagin, puis un deuxiĂšme. Avec attention, il accĂ©lĂšre le mouvement et, rapidement prise de convulsions, elle jouit. Elle jouit magistralement. Madame est une femme fontaine et l’assistance est aux anges. Quelques applaudissements se font mĂȘme entendre. Le spectacle ne fait pourtant que commencer. Au Cap-d’Agde, sur un morceau de la plage du camp de naturistes, long d’une centaine de mĂštres et rebaptisĂ© baie des cochons », rien ne semble interdit. Les couples s’aiment en public et assouvissent leur dĂ©sir d’exhibitionnisme devant une cohorte de voyeurs Ă  l’affĂ»t. En semi-Ă©rection permanente, ceux-ci passent d’un couple Ă  l’autre exactement comme un enfant enchaĂźnerait les attractions Ă  Eurodisney. Ici, la police se fait extrĂȘmement rare. Elle intervient parfois lorsque les Ă©bats se prolongent en bordure de la plage, dans les dunes rattachĂ©es Ă  la rĂ©serve naturelle. Il est mĂȘme arrivĂ© que des voyeurs et des exhibitionnistes s’y fassent arrĂȘter et emmener au poste, simplement habillĂ©s d’une paire de menottes. Mais sur la plage, elle ferme les yeux. Car, mĂȘme si l’exhibitionnisme y est, comme partout, un dĂ©lit, les plaintes sont rarissimes. Dans le coin, tout le monde sait ce qui se trame Ă  cet endroit. Tout le monde est adulte, consentant et nu Depuis la construction du village naturiste du Cap-d’Agde dans les annĂ©es 70, cette parcelle de sable a toujours accueilli les libertins et leurs pratiques ont presque fini par entrer dans les moeurs. Des lois informelles se sont mĂȘme Ă©tablies au fil du temps. Sur la baie des cochons », tout le monde est adulte, consentant et nu, absolument nu mĂȘme le journaliste, aprĂšs qu’il eut renoncĂ© au stratagĂšme du parĂ©o. Le groupe veille sur lui-mĂȘme et chasse ceux qui mettraient en danger son harmonie. Cet aprĂšs-midi-lĂ , un homme ayant eu l’indĂ©licatesse de sortir un tĂ©lĂ©phone portable pour filmer une femme en action se fera ainsi sĂ©vĂšrement reprendre. Son portable finira mĂȘme Ă  l’eau. >> A lire aussi A Paris, les clubs libertins de nouveau en vogue ? Au Cap-d’Agde, les exhibitionnistes se montrent dans l’assurance que les voyeurs sauront se tenir, malgrĂ© l’excitation. Ici, lorsqu’un homme jouit et rĂ©pand sa semence sur la plage, il prend mĂȘme le temps de la recouvrir de sable. Un peu plus loin, c’est maintenant une femme trĂšs bronzĂ©e, la cinquantaine peroxydĂ©e et siliconĂ©e, qui s’offre Ă  son homme. Il est Ă  genoux devant elle et lui lĂšche le clitoris. Un nouveau cercle de voyeurs se forme autour d’eux. Les plus jeunes ont 25 ans, les plus vieux presque 80, Ă  vue d’oeil. Ils sont lĂ , agglutinĂ©s, collĂ©s les uns aux autres, le sexe Ă  la main. Ils se masturbent dans un silence de cathĂ©drale, comme concentrĂ©s sur les petits cris de plaisir poussĂ©s par la femme. C’est elle l’hĂ©roĂŻne de ce spectacle improvisĂ©, aux allures de tournage porno en plein air et en public. C’est elle qui donne le tempo, dit oui » ou non ». Quand une femme dĂ©signe un homme, il doit venir la contenter Au Cap-d’Agde, la femme est toujours au coeur des attentions, et ses dĂ©sirs sont comme des ordres. Quand elle dĂ©signe un homme dans la foule des voyeurs, celui-ci doit se rapprocher et venir la contenter, ce qu’il fait gĂ©nĂ©ralement avec empressement. LĂ , le veinard est un jeune homme d’origine maghrĂ©bine au corps ferme. DĂ©licatement, il s’installe Ă  cĂŽtĂ© de madame et pose ses doigts sur son corps, puis lĂšche ses seins. BientĂŽt, il pourra venir en elle. Comme partout ailleurs, personne n’est Ă©videmment Ă©gal devant le dĂ©sir. Il y a une hiĂ©rarchie et un ordre esthĂ©tique. Dans Les Particules Ă©lĂ©mentaires, s’arrĂȘtant pendant quelques pages magistrales sur la plage du Cap-d’Agde, Michel Houellebecq Ă©crit 
 une femme au corps jeune et harmonieux, un homme sĂ©duisant et viril se voient entourĂ©s de propositions flatteuses. Au Cap-d’Agde comme ailleurs un individu obĂšse, vieillissant ou disgracieux sera condamnĂ© Ă  la masturbation – Ă  ceci prĂšs que cette activitĂ©, en gĂ©nĂ©ral proscrite dans les lieux publics, sera ici considĂ©rĂ©e avec une aimable bienveillance. » NuditĂ©, Ă©rection et chaussures de ville, tout passe Au fil des heures, et des jours, rien ne choque ou ne surprend plus vraiment. On s’habitue Ă  voir dĂ©ambuler des sexagĂ©naires Ă©quipĂ©s d’épais cockrings en mĂ©tal assurĂ©ment l’accessoire de l’étĂ© 2012 au Cap-d’Agde. On se fait aussi au spectacle bizarroĂŻde d’hommes en Ă©rection, nus mais chaussĂ©s de leurs chaussures de ville ou de leurs baskets, car le sable brĂ»le les pieds en plein aprĂšs-midi. Tout devient normal. Tout passe. MĂȘme quand notre voisine de serviette, ĂągĂ©e d’au moins 70 ans, ouvre ses cuisses en grand et entreprend de se caresser pour le plaisir d’un mateur venu se poser Ă  quelques centimĂštres d’elle, sous l’Ɠil approbateur du mari, un homme aux longs cheveux blancs et au physique de gourou de secte. A lire aussi Faisons un tour en club Ă©changiste Ici, les corps, entiĂšrement Ă©pilĂ©s dans l’immense majoritĂ© des cas, sont souvent usĂ©s, tombants, fripĂ©s. La moyenne d’ñge tourne autour de 45 ou 50 ans et, si l’on recense quelques hommes dans la fleur de l’ñge, les femmes de moins de 40 ans sont trĂšs rares. C’était mieux avant », regrette d’ailleurs un homme Ă  casquette, postĂ© en haut d’une petite dune, Ă  un poste d’observation privilĂ©giĂ©. Il y avait des jeunettes, des belles filles. Elles sont toutes parties
 » De façon gĂ©nĂ©rale, des habituĂ©s de la plage aux policiers municipaux en passant par les habitants du coin, on s’accorde Ă  dire que la baie des cochons » est au creux de la vague, et qu’il s’y passait davantage de choses il y a cinq ou dix ans. Pour la police, les arrestations dans les dunes portent leurs fruits et dissuadent une partie des exhibitionnistes et voyeurs. Pour les autres, c’est l’apparition des boĂźtes libertines, ouvertes le jour, qui a changĂ© la donne. Il se dit, par exemple, que les jeunes libertines du Cap-d’Agde passent dĂ©sormais leurs aprĂšs-midi au Glamour, une boĂźte de nuit du village naturiste rĂ©putĂ©e pour la qualitĂ© de ses ambiances mousse. Il est 18 heures, les choses s’accĂ©lĂšrent Pourtant, indiscutablement, les trois ou quatre cents fidĂšles venant poser leur serviette chaque jour d’étĂ© sur la baie des cochons » continuent de s’y s’amuser. Il est maintenant 18 heures et le poste de surveillance des maĂźtres nageurs vient de fermer. Les choses s’accĂ©lĂšrent. Dans l’eau, Ă  quelques mĂštres du bord, on remarque une vingtaine d’hommes en groupe. Au milieu d’eux, une femme aux cheveux courts, extrĂȘmement gĂ©nĂ©reuse. Sur la plage, on s’active aussi. Goguenard, un homme revient de derriĂšre les dunes et raconte Ă  ses copains qu' »une fille vient de se faire Ă©jaculer sur le visage par une dizaine de types » une pratique connue sous le nom de bukkake. Plus loin, une femme rousse allongĂ©e sur le sol fait l’attraction. Elle est entourĂ©e d’au moins cinquante hommes et elle dĂ©signe les Ă©lus, appelĂ©s Ă  venir profiter d’elle. Ils piaffent tous, cherchent Ă  capter son regard dans l’espoir d’un signe. Mais elle semble impĂ©nĂ©trable, les yeux dans le vague, doucement gagnĂ©e par le plaisir. Elle dit » viens » Ă  un homme. Elle est française, comme une majoritĂ© des gens prĂ©sents sur la plage, semble-t-il. Il y a aussi beaucoup d’Allemands, de Hollandais, de Belges et quelques Anglais. Mais, dans le plus simple appareil, les Ă©tiquettes tombent vite, et les marqueurs sociaux s’estompent naturellement. C’est aussi le charme du Cap-d’Adge. Si quelques coupes de cheveux ou quelques tatouages maladroits semblent trahir, parfois, une appartenance Ă  un milieu populaire, on ne peut savoir vĂ©ritablement qui est riche, qui est pauvre, qui est cadre ou ouvrier. Toujours dans Les Particules Ă©lĂ©mentaires, Houellebecq Ă©voquait, avec une certaine gourmandise, la prĂ©sence d’infirmiĂšres hollandaises, de fonctionnaires allemands, tous trĂšs corrects bourgeois, genre pays nordiques ou Benelux ». Sur place, pourtant, les informations sont difficiles Ă  glaner. Un homme, habituĂ© des lieux depuis une dizaine d’annĂ©es, glisse qu’il est commercial dans l’agroalimentaire. Une femme dit ĂȘtre kinĂ©sithĂ©rapeute. Mais, ici, personne ne veut ĂȘtre ramenĂ© Ă  la vraie vie. Il y a tellement mieux Ă  faire. Tellement mieux Ă  Ă©voquer. Le soleil tombe et des couples se rapprochent, entament la conversation. Il est grand temps de prĂ©parer ce qui se passera plus tard, Ă  l’abri des regards, cette fois. Marc BeaugĂ©, avec Gino Delmas Merci Ă  Naomi et Ă  A lire aussi Gleeden, le site pro-adultĂšre qu’adorent les femmes mariĂ©es Un extrait du numĂ©ro Inrocks SpĂ©cial Sexe disponible en kiosque et en ligne ici Jeremarque qu’il y en de plus en plus. Un petit tour sur le forum et tu te rendras compte que vous ĂȘtes nombreux Ă  partager cela . et sa femme. 0. RĂ©pondre. R. Rol76efj . 08/05/2018 Ă  14:37. Je trouve gĂ©nial que vous ayez trouvĂ© l'Ă©panouissement Ă  travers cette relation "Ă  3" ! 0. RĂ©pondre. Discussions similaires. AdultĂšre. Ma femme a un amant. AdultĂšre. Cet article date de plus de trois ans. PubliĂ© le 14/10/2018 1708 Mis Ă  jour le 14/10/2018 1720 DurĂ©e de la vidĂ©o 3 min. Article rĂ©digĂ© par "Il y avait une forte odeur de chair brĂ»lĂ©e... C’était comme dans un film d’horreur", confie l’actrice Sarah Edmondson qui croyait intĂ©grer l’élite de la secte de Keith Raniere en acceptant d’ĂȘtre marquĂ©e comme du bĂ©tail. Elle entrait plutĂŽt dans le harem du gourou aujourd’hui en prison. Extrait du magazine "13h15 le dimanche" du 14 octobre 2018. Pour fĂȘter l’anniversaire de son gourou Keith Raniere, la communautĂ© de la secte NXIVM prononcer Nexium lui organise une semaine de fĂȘte "Bon anniversaire Ă  notre visionnaire", dĂ©clare la maĂźtresse de cĂ©rĂ©monie. En cadeau, le fondateur de cette organisation, basĂ©e dans l’Etat de New York, s’offre des femmes qu’il repĂšre pendant des sorties collectives pour alimenter son harem, soit un groupe d’une douzaine d’esclaves sexuelles. Sa plus belle conquĂȘte est l’actrice amĂ©ricaine Allison Mack, vue notamment dans la sĂ©rie tĂ©lĂ© Smallville. Keith Raniere se sert alors de sa notoriĂ©tĂ© comme d’un faire-valoir. Il rĂ©alise avec elle des vidĂ©os de propagande diffusĂ©es sur Internet pour attirer plus d’adeptes "Tu vas trouver ton moi essentiel, un ĂȘtre unique", dit-il Ă  la jeune femme qui Ă©ponge quelques larmes sous le coup de l’émotion. "C’est quelque chose que j’attendais
" lui rĂ©pond-elle. "La femme sur la table criait comme un porc qu’on Ă©gorge" La disciple Allison Mack a peut-ĂȘtre dĂ©passĂ© son maĂźtre, car c’est elle qui aurait eu l’idĂ©e du marquage au fer rouge des recrues. Son amie l’actrice Sarah Edmondson va faire partie des cobayes. En mars 2018, elle est invitĂ©e avec quatre autres jeunes femmes chez Allison, pensant intĂ©grer un groupe secret, l’élite de la secte. C'est en fait le harem du gourou. La comĂ©dienne canadienne subit alors ce rituel initiatique qu’elle est la premiĂšre Ă  dĂ©noncer publiquement. "Il y avait une forte odeur de chair brĂ»lĂ©e, confie-t-elle magaine "13h15 le dimanche" Facebook, Twitter, 13h15. Nous Ă©tions en pleurs. C’était comme dans un film d’horreur. La femme sur la table criait comme un porc qu’on Ă©gorge, comme un animal qu’on marque au fer rouge. Je m’étais engagĂ©e, j’avais dit que je le ferais et je l’ai fait, mĂȘme si tout en moi hurlait 'Sauve-toi de lĂ  !'" Sur sa peau dĂ©sormais, les initiales KR, pour Keith Raniere, arrĂȘtĂ© en mars 2018 pour trafic sexuel. Et aussi AM, pour Allison Mack, incarcĂ©rĂ©e le mois suivant pour l’avoir aidĂ© Ă  recruter des esclaves sexuelles. Extrait de "L'AmĂ©rique des gourous", diffusĂ© dans le magazine "13h15 le dimanche" du 14 octobre 2018.

ALIRE AUSSI : Un jeune « Goorjigen » pris en flagrant dĂ©lit par ses parents. Le mari M. Yang a rĂ©vĂ©lĂ© que la scĂšne s’est produite en 2016 en Chine. C’est en laissant son appareil allumĂ© pendant le chargement qu’il a dĂ©couvert le vrai visage de sa femme du nom de Cui Hua. En effet, cette derniĂšre aurait profitĂ© de son absence

Cette lectrice bisexuelle raconte ce que cela fait de rĂ©aliser son fantasme de plan Ă  trois avec son mari et une autre femme, rencontrĂ©e sur Internet. Article initialement publiĂ© en janvier 2019 Je suis en couple depuis huit ans avec mon chĂ©ri. Nous avons respectivement 27 et 32 ans et nous filons plutĂŽt le parfait amour. CĂŽtĂ© sexualitĂ© aussi ça roule bien, carrĂ©ment bien mĂȘme. Notre relation a dĂ©marrĂ© trĂšs rapidement sur le plan sexuel, Ă  savoir que l’on a couchĂ© ensemble lors de notre premier rendez-vous, et que, mĂȘme si ce rapport-lĂ  Ă©tait plutĂŽt rapide et brouillon, j’ai su tout de suite qu’au lit, ça allait le faire. Au quotidien, on ne parle pas Ă©normĂ©ment de notre sexualitĂ© et pas mal de choses vont d’elles-mĂȘmes, mais on n’hĂ©site pas Ă  s’exprimer lorsque le besoin s’en fait sentir. Bref, notre sexualitĂ© est Ă©panouie et heureuse. AprĂšs notre mariage en 2016, nous avons eu le projet de faire un enfant. Ce dĂ©tail a de l’importance, car c’est le moment oĂč j’ai arrĂȘtĂ© la pilule, moi qui la prenais sans rĂ©flĂ©chir depuis une dizaine d’annĂ©es. ArrĂȘter la pilule, et redĂ©couvrir son corps et sa libido J’ai alors redĂ©couvert mon corps. Ma libido Ă©tait sens dessus-dessous. Moi qui pensais ne pas avoir de problĂšme de dĂ©sir, j’ai compris combien ces hormones ingĂ©rĂ©es quotidiennement pendant des annĂ©es impactaient mon comportement, mon humeur, mon corps. J’avais encore plus envie de faire l’amour et mon humeur Ă©tait au beau fixe. Physiquement, ma poitrine subissait de rĂ©els changements au cours de mon cycle, et je mouillais bien plus pendant mes rapports. Tout ça a boostĂ© notre sexualitĂ© qui se portait dĂ©jĂ  trĂšs bien ! À l’époque, on s’échangeait beaucoup d’images coquines trouvĂ©es sur le net images suggestives ou carrĂ©ment porno, dessins coquins, etc. Souvent, ces images mettaient en scĂšne deux femmes et un homme. Je n’avais jamais eu de rapport sexuel avec une autre femme. J’avais dĂ©jĂ  embrassĂ© des amies, un peu Ă©mĂ©chĂ©e, en soirĂ©e, mais rien de sexuel, juste de la provoc. Pourtant, les corps de femmes m’attirent beaucoup, et si je ne me projette pas dans une relation amoureuse avec une femme, je peux totalement me projeter dans une relation sexuelle ! Pour mon chĂ©ri, le fait de voir sa compagne dans un rapport avec une femme Ă©tait un fantasme assez classique des mecs hĂ©tĂ©ros d’ailleurs, jamais rĂ©alisĂ© mais souvent Ă©voquĂ© pour dĂ©conner avec les copains. J’avoue ne plus me souvenir quand et comment on a abordĂ© le sujet concrĂštement mais un jour oĂč on discutait de ces images, j’ai dit Ă  mon chĂ©ri quelque chose comme Tu sais, ça m’exciterait de le faire avec une fille devant toi
 On pourrait vraiment le faire. » La discussion, plutĂŽt taquine au dĂ©but, est ensuite devenue de plus en plus sĂ©rieuse. Trouver une partenaire pour faire un plan Ă  trois avec mon mari TrĂšs rapidement, dans les jours qui ont suivi, on a dĂ©cidĂ© de s’inscrire sur des applis de rencontres pour voir ce que ça donnait. J’ai créé un profil Tinder, du genre fĂ©minin intĂ©ressĂ© par les femmes, avec une photo de moi en premier, puis des photos de nous, et une description trĂšs claire qui disait que nous Ă©tions en couple et cherchions une fille de notre Ăąge pour un plan Ă  trois. Mon mec a fait de mĂȘme. On y a croisĂ© des femmes lesbiennes, sur des femmes intĂ©ressĂ©es mais qui ne donnaient plus de rĂ©ponse
 et au final on n’a pas trouvĂ© ce qu’on cherchait, mĂȘme si certains Ă©changes Ă©taient excitants. Du coup, mon chĂ©ri a dĂ©cidĂ© de passer Ă  la vitesse supĂ©rieure en proposant qu’on s’inscrive sur un site libertin. On ne voulait pas du tout en arriver lĂ  au dĂ©part car on avait de gros a priori sur ce type de plateforme. Mais ne trouvant pas de partenaire potentielle ailleurs on a aussi tentĂ© des applis ciblĂ©es plan Ă  trois, en vain, on a sautĂ© le pas. On s’est donc inscrits sur Wyylde et on a dĂ©couvert un fonctionnement trĂšs diffĂ©rent. Notre profil faisait un peu tache on avait choisi de mettre nos visages, pas de photos de nus, alors que tous les autres Ă©taient trĂšs explicites clichĂ©s de corps dĂ©nudĂ©s, voire de sexes, jamais de visages. La moyenne d’ñge Ă©tait aussi clairement plus Ă©levĂ©e
 Si sur Tinder on a discutĂ© avec des filles clairement trop jeunes pour nous 18 ans parfois !, sur Wyylde, on Ă©tait la chair fraĂźche » ! Plan Ă  trois avec mon mari j’en avais autant envie que lui Un peu mal Ă  l’aise, on a tout de mĂȘme fini par discuter avec quelques filles, d’une trentaine d’annĂ©es pour la plupart. Les Ă©changes sont allĂ©s assez loin pour deux ou trois d’entre elles. Puis c’est devenu sĂ©rieux » avec une. Nous sommes passĂ©s sur une discussion Whatsapp pour avoir la libertĂ© de discuter vraiment Ă  trois. On s’est d’abord prĂ©sentĂ©s, discutant de choses et d’autres job, intĂ©rĂȘts, etc
, puis les messages sont devenus trĂšs coquins. Cette fille, appelons-la Lucie, avait dĂ©jĂ  eu une expĂ©rience avec un couple, plus ĂągĂ© qu’elle. Elle avait aimĂ© la chose mais avait eu le sentiment que la femme se forçait un peu pour faire plaisir Ă  son conjoint. Pour nous, ce n’était absolument pas le cas. J’avais autant envie de cette expĂ©rience que mon chĂ©ri. J’étais excitĂ©e par son excitation Ă  l’idĂ©e de me voir avec une fille, excitĂ©e par le fait de dĂ©couvrir la sexualitĂ© entre femmes et excitĂ©e Ă  l’idĂ©e de partager ça avec lui. Dans le fil Whatsapp, selon nos disponibilitĂ©s, nous Ă©changions tantĂŽt Ă  trois, tantĂŽt Ă  deux. On a essayĂ© d’ĂȘtre les plus prĂ©venants possibles, mon chĂ©ri et moi. On ne voulait pas un rapport entre un couple et une tierce personne mais bien un rapport Ă  trois. Chacun exprimait ses envies, plus ou moins explicitement. LĂ  encore, on Ă©changeait des images coquines, qui nourrissaient notre excitation et permettaient de communiquer clairement nos envies et nos limites. On Ă©tait tous les trois trĂšs chauds dans ces discussions. Une grande excitation sexuelle, de la bienveillance et de la douceur Un soir, on a fait l’amour tous les deux en Ă©changeant des messages avec Lucie, c’était trĂšs excitant. Dans le feu de l’action, mon chĂ©ri m’a enregistrĂ©e en train de gĂ©mir et a envoyĂ© ça dans la discussion ! On a assez peu Ă©changĂ© de maniĂšre directe et posĂ©e, mon compagnon et moi, sur nos attentes, nos limites. Cela s’est fait naturellement, dans le fil de discussion Ă  trois. Il Ă©tait clair pour nous trois que, si nous passions Ă  l’acte, la communication serait primordiale et que si quelque chose n’allait pas Ă  l’un d’entre nous, il suffirait de le dire sans crainte. Il y avait, en plus d’une grande excitation sexuelle, beaucoup de douceur et de bienveillance dans nos Ă©changes avec Lucie, ce que j’ai Ă©normĂ©ment apprĂ©ciĂ©. Finalement, c’est mon chĂ©ri et moi qui avons proposĂ© une rencontre. Lucie habitait Ă  une petite heure de route de chez nous nous habitons dans une grande ville de province. Elle ne souhaitait pas nous recevoir chez elle, et nous ne voulions pas non plus la recevoir chez nous, de peur qu’elle se sente mal Ă  l’aise si nous Ă©tions les seuls en terrain connu. On a donc proposĂ© de se retrouver dans un bar en centre-ville vers chez nous, Ă  proximitĂ© d’un petit appartement louĂ© sur Airbnb pour la nuit, au cas oĂč on veuille aller plus loin. Un rendez-vous dans un bar avant notre plan Ă  trois Une fois ce rendez-vous fixĂ©, la tension Ă©tait forte dans nos Ă©changes par messages, nous Ă©tions tous les trois trĂšs excitĂ©s. Personnellement, je ne pensais quasiment qu’à ça. On faisait l’amour tous les jours avec mon chĂ©ri, on Ă©tait bouillants. Le soir venu, un vendredi, Lucie devait nous rejoindre aprĂšs son boulot. Elle avait de la route et nous sommes donc arrivĂ©s en avance au bar. On Ă©tait trĂšs intimidĂ©s. On se sentait comme des dĂ©butants Ă  un premier rendez-vous. Et puis, on avait l’impression que tout le monde nous regardait et savait ce qu’on faisait, ce qui est complĂštement absurde ! On avait Ă©changĂ© des photos de nous et nous savions donc Ă  quoi ressemblait Lucie. Lorsqu’elle est enfin arrivĂ©e, nous nous sommes fait la bise et elle s’est assise entre mon chĂ©ri et moi, nous lui avions gardĂ© cette place, sur des hauts tabourets de bar. Nous avons pris un verre et dĂ©butĂ© une discussion timide Tu t’es garĂ©e facilement ? », etc. Petit Ă  petit, les langues se sont dĂ©liĂ©es. On parlait de sa prĂ©cĂ©dente expĂ©rience, du site et des profils un peu Ă©tranges que l’on peut y trouver. Je ne sais plus combien de temps nous sommes restĂ©s assis au bar. J’ai gardĂ© tout le long cette impression que tout le monde savait ce que l’on faisait. Mais nous n’étions pas gĂȘnĂ©s, c’était trĂšs naturel au contraire. Nos Ă©changes par messages avant cette rencontre avaient cassĂ© pas mal de barriĂšres, je pense. Avant le plan Ă  trois une atmosphĂšre Ă©lectrique Au bout d’un certain temps, Ă  jeun et avec un ou deux verres, l’atmosphĂšre Ă©tait plus Ă©lectrique. Lucie a posĂ© sa main sur ma jambe et s’est mise Ă  caresser ma cuisse. Quand mon chĂ©ri a remarquĂ© ça, il n’en pouvait plus, il Ă©tait trĂšs excitĂ©. J’ai rendu quelques caresses Ă  Lucie tout en discutant puis on a dĂ©cidĂ© de se rendre Ă  l’appartement. Celui-ci Ă©tait juste en face dans la rue, mais Lucie avait laissĂ© un bagage dans sa voiture et nous l’avons donc accompagnĂ© jusqu’au parking. Nous marchions dans le froid, Ă©mĂ©chĂ©s et excitĂ©s, en se bouffant tous les trois du regard. Au parking, nous avons pris un ascenseur, sa voiture Ă©tant Ă  un Ă©tage Ă©levĂ©. LĂ , on se dĂ©vorait du regard. Lucie et moi avons Ă©changĂ© un baiser langoureux, sous les yeux de mon chĂ©ri qui avait du mal Ă  cacher la bosse dans son pantalon
 MĂȘme euphorie sur le chemin retour vers l’appartement. L’impossibilitĂ© de faire quoi que ce soit en public dans la rue nous galvanisait, mais une fois arrivĂ©s Ă  l’intĂ©rieur, nous sommes redevenus plus timides. On a fait le tour du propriĂ©taire puis on s’est installĂ©s tous les trois sur le canapĂ© et les choses sĂ©rieuses ont commencĂ©. D’abord des baisers entre elle et moi, puis mon chĂ©ri nous a rejointes et tout s’est enchaĂźnĂ©. Ça se dĂ©roulait trĂšs naturellement encore une fois je me souviens faire des arrĂȘts sur image dans les premiers instants en me disant Wahou, on le fait vraiment et tout me paraĂźt si normal ! » Plan Ă  trois et la dĂ©couverte du corps d’une autre femme La dĂ©couverte du corps d’une femme dans ce contexte a Ă©tĂ© une rĂ©vĂ©lation pour moi. J’ai beaucoup apprĂ©ciĂ© la sensualitĂ© de nos caresses, la douceur de ses courbes, pouvoir jouer avec sa poitrine trĂšs sensible
 À plusieurs reprises, mon chĂ©ri Ă©tait spectateur de nos caresses. Ces moments Ă©taient particuliĂšrement excitants je dĂ©couvrais des plaisirs fous, sous ses yeux, et il me redĂ©couvrait lui aussi. Et puis, Ă  un moment, aprĂšs avoir lui aussi participĂ© Ă  nos caresses, mon chĂ©ri a pĂ©nĂ©trĂ© Lucie. A priori, je redoutais un peu ce moment et le lui avais dit. J’avais peur de rĂ©aliser ce qu’on Ă©tait en train de faire ou que cette vision me fasse du mal. Il cherchait donc mon approbation du regard et il a compris qu’il pouvait y aller sans crainte. Et en effet, tout Ă©tait toujours trĂšs naturel. J’ai adorĂ© ça. Moi qui peux ĂȘtre habituellement un peu jalouse si une femme charme mon chĂ©ri, je n’ai ressenti qu’une grande excitation dans ce contexte. On avait tellement fantasmĂ© ces moments tous les trois en discutant par messages que je savais Ă  quoi m’attendre en rĂ©alitĂ©. C’était si bon de les voir prendre du plaisir tous les deux, cherchant aussi Ă  m’en donner. CĂŽtĂ© pratico-pratique, on n’avait pas discutĂ© en amont de protection, mais nous avions pris des prĂ©servatifs et Lucie aussi. Ce qu’il s’est passĂ© en fait c’est que mon chĂ©ri en mettait un lorsqu’il pĂ©nĂ©trait Lucie, et l’enlevait s’il me pĂ©nĂ©trait ensuite. Par contre, Lucie et moi ne nous sommes pas protĂ©gĂ©es dans nos Ă©changes. Je connais vaguement les digues pour se protĂ©ger lors des cunnilingus, mais je n’en ai jamais utilisĂ©e
 On a sĂ»rement pris des risques donc, en matiĂšre d’infections sexuellement transmissibles. D’autant que Lucie a Ă©galement pratiquĂ© des fellations sans protection Ă  mon chĂ©ri
 À notre dĂ©charge, c’était notre premiĂšre expĂ©rience et si les infos sur les mĂ©thodes de prĂ©vention sont dĂ©jĂ  floues pour des rapports hĂ©tĂ©ro-normĂ©s, imaginez pour un plan Ă  trois avec femmes bisexuelles ! J’ai joui plusieurs fois pendant ce plan Ă  trois La nuit a donc suivi son cours. On enchaĂźnait les cĂąlins, les positions, Ă  trois ou Ă  deux
 Puis on a fait une pause pour se faire livrer Ă  manger. On a essayĂ© de dormir un peu, Ă  trois dans le lit que l’on avait choisi grand. D’habitude, on n’aime pas dormir l’un contre l’autre mon chĂ©ri et moi, mais lĂ  je me suis beaucoup blottie contre Lucie. Ce qui nous a d’ailleurs amenĂ©es Ă  nous Ă©veiller au milieu de la nuit pour des caresses, rĂ©veillant Ă©galement mon chĂ©ri ! Au cours de cette nuit, j’ai joui plusieurs fois, et j’ai vĂ©cu mon plus fort orgasme. Mon chĂ©ri a vaillamment tenu le coup, mĂȘme si, mĂ©caniquement, il devait se reposer rĂ©guliĂšrement ! D’ailleurs, on en a reparlĂ© aprĂšs et il m’a dit qu’il avait eu l’impression de ne pas ĂȘtre Ă  la hauteur, que l’on ne s’arrĂȘtait jamais Lucie et moi alors que lui Ă©tait contraint de se stopper parfois. Pourtant, et je lui ai dit, je trouve qu’il a assurĂ© ! Il ne rebande que rarement aprĂšs avoir joui lorsque nous ne sommes que tous les deux, alors qu’au cours de cette nuit ça lui est arrivĂ© Ă  plusieurs reprises ! Et puis, aucun de nous trois ne cherchait la performance de toute façon. Nous nous sommes quittĂ©s au matin, dans une sensation un peu Ă©trange. Nous avions dit dĂšs le dĂ©part Ă  Lucie que l’on cherchait plutĂŽt une aventure unique qu’une relation sur le long terme, et elle voulait cela Ă©galement. Donc on se quittait pour de bon alors que nous avions vĂ©cu des moments trĂšs intenses. Dans la voiture, sur le trajet du retour on a peu discutĂ© avec mon chĂ©ri. Je me souviens qu’on s’est dit Hey, on l’a fait et c’était dingue ! » On a Ă©changĂ© deux petits messages avec Lucie pour se remercier, aprĂšs quelques jours. Puis, une ou deux semaines aprĂšs, j’ai reçu un message, adressĂ© uniquement Ă  moi, qui me remerciais encore pour ces instants magiques. C’était nos derniers Ă©changes. Ce plan Ă  trois nous excite encore avec mon mari Par la suite, on a beaucoup Ă©voquĂ© ces instants avec mon chĂ©ri, cela nous excite encore. On Ă©tait dĂ©jĂ  assez libres dans notre sexualitĂ© — on en parlait facilement, on s’autorisait Ă  tenter des choses nouvelles ensemble — et cela n’a pas changĂ© grand-chose sur le long terme. On est peut-ĂȘtre encore plus ouverts
 Je suis tombĂ©e enceinte peu aprĂšs cette aventure, et cela a influĂ© sur notre sexualitĂ© d’une maniĂšre bien diffĂ©rente. On aimerait beaucoup revivre ce genre d’expĂ©rience, mais des contraintes s’ajoutent avec un enfant. Ne serait-ce que trouver un mode de garde et un alibi
 parce que dire Ă  papi et mamie qu’on laisse bĂ©bĂ© pour aller faire un threesome, c’est moyen ! devient coton. Et puis mon corps a changĂ© et je ne m’y sens plus aussi confiante qu’avant, surtout parce que j’ai dĂ©sormais une cicatrice de cĂ©sarienne au-dessus du pubis, qui ne passerait pas inaperçue dans une telle situation
 Mais je pense que dans quelque temps on retentera l’expĂ©rience ! À lire aussi J’ai fait un plan Ă  trois avec mon mari et un autre homme CrĂ©dit photo image de une Film Les Chansons d’amour TĂ©moignez sur Madmoizelle ! Pour tĂ©moigner sur Madmoizelle, Ă©crivez-nous Ă  [email protected] On a hĂąte de vous lire ! LavidĂ©o, filmĂ©e depuis un drone, a Ă©tĂ© vue plus de dix millions de fois en une semaine. On y voit le mari trompĂ© commenter rageusement la tromperie de sa femme. ï»żVivre une expĂ©rience sexuelle avec ton compagnon et un autre partenaire, ça te tente ? C’est le fantasme rĂ©alisĂ© par cette lectrice de Madmoizelle lors d’un plan Ă  trois avec son mari et un autre homme. PubliĂ© le 17 octobre 2019 Au printemps 2018, nous avons organisĂ© et vĂ©cu avec mon mari notre premier plan cul de couple » avec une tierce personne. Nous avons eu beaucoup de chance en rencontrant la » bonne personne pour nous et ce fut incroyablement beau, bon, sexy, respectueux et enrichissant. À l’origine de cette expĂ©rience, il y avait une envie et un besoin plutĂŽt prĂ©cis de mon cĂŽtĂ© je fantasmais depuis un certain temps sur les hommes exceptionnellement membrĂ©s. Avec mon homme, nous avions dĂ©jĂ  Ă©changĂ© Ă  ce propos car nous parlons de tout sans tabou, et notamment de sexualitĂ©. Il avait remarquĂ© que les vidĂ©os porno que je regardais Ă  cĂŽtĂ© de lui sur mon petit tĂ©lĂ©phone dans notre lit mettaient en scĂšne des hommes particuliĂšrement hors norme ! Fantasmer sur le plan Ă  trois avec mon mari Tout comme moi, j’avais remarquĂ© que ses choix Ă  lui allaient souvent vers des threesomes, deux filles et un mec, mais aussi deux mecs et une fille. Niveau sexe, on n’a pas vraiment de complexe ou de blocage l’un et l’autre on aime explorer et surtout Ă©couter nos dĂ©sirs. Parfois on ne fait l’amour que deux fois par mois, et puis soudainement il arrive qu’on se transforme en petits lapins ! Pour nous, le plus important c’est d’ĂȘtre loyal, envers soi-mĂȘme et envers l’autre. Nous avons tous les deux Ă©tĂ© trompĂ©s par nos ex suite Ă  des baisses de libido, et cela nous a beaucoup affectĂ©s humainement. Alors quand on s’est rencontrĂ©s, c’était pour nous la rĂšgle de base la fidĂ©litĂ© entre nous serait de se dire les choses. Un jour, il me dit Mais si tu fantasmes autant sur les grosses queues, pourquoi tu ne t’autoriserais pas un plan cul avec un gars qui en a une vraiment grosse ? » Oui, il est pas du genre possessif mon homme. J’y ai rĂ©flĂ©chi mais je ne me voyais pas vivre un truc sans lui, pour moi ça aurait Ă©tĂ© comme le tromper et dĂ©cidĂ©ment ça ne me plaisait pas comme scĂ©nario. Quand aux clubs » Ă©changistes, nous y avions mis les pieds une fois l’annĂ©e d’avant par curiositĂ© et nous Ă©tions ressortis complĂštement dĂ©goĂ»tĂ©s de cette expĂ©rience. Ambiance boĂźte de nuit, musique trop forte, alcĂŽves sombres, crades, mecs bedonnants qui te mettent la main au cul sans te demander ton avis, ça n’était vraiment pas notre truc. On avait eu la sensation de se retrouver exposĂ©s comme de froids morceaux de viande et nous avions conclu que ça n’était pas pour nous. Et si on faisait un plan Ă  trois en couple ? Quelques jours plus tard, je lui ai proposĂ© une autre autre solution Et si on vivait cette expĂ©rience en couple ? ». On a pris le temps de parler, de se positionner, on s’est dit nos limites, nos attentes, nos besoins, nos envies, on s’est littĂ©ralement projetĂ©s dans la scĂšne, ce qui nous a permis d’exprimer quelques petites angoisses aussi. Peur de l’abandon quand tu nous tiens
 Et puis le lendemain, il m’a montrĂ© un texte qu’il avait Ă©crit afin de le mettre sur un site spĂ©cialisĂ©. Ce texte nous prĂ©sentait succinctement et proposait une rencontre oĂč la femme resterait centrale » c’est comme ça qu’il avait exprimĂ© ses propres limites et j’ai trouvĂ© ça bien. On Ă©tait super excitĂ©s quand on a mis le texte en ligne, comme des gamins qui font un truc un peu interdit, c’était drĂŽle. C’était une belle soirĂ©e de vendredi, nos enfants Ă©taient respectivement chez leurs autres parents, on avait tout le week-end de libre, pour nous. Et lĂ , on a commencĂ© Ă  recevoir des mails, beaucoup de mails ! On Ă©tait tous les deux lovĂ©s l’un contre l’autre dans le canapĂ© et il pleuvait des mails dans notre boĂźte spĂ©cialement créée pour l’occasion. Trouver la bonne personne pour faire un plan Ă  trois avec mon mari On s’est regardĂ©s surpris et on a ouvert la premiĂšre rĂ©ponse un homme qui se disait intĂ©ressĂ© et joignait une photo Ă  sa phrase. Sur le tĂ©lĂ©phone de mon mari, on a chargĂ© la photo et on s’est retrouvĂ©s nez Ă  nez avec un sexe en gros plan ! Il a eu le rĂ©flexe d’éloigner le tĂ©lĂ©phone de lui en tendant son bras et on a Ă©clatĂ© de rire. VoilĂ , c’était notre premiĂšre expĂ©rience de dick-pic, Ă  l’époque on ne savait pas que ça existait ! En mĂȘme temps, on l’avait bien cherchĂ© car dans notre annonce une des demandes explicites Ă©tait que le troisiĂšme luron soit bien dotĂ©. Qu’est-ce qu’on a ri ce soir-lĂ , en voyant tous les messages improbables que l’on recevait. On s’est vite rendu compte qu’on devrait mettre en place une technique pour trier les rĂ©ponses afin de choisir au mieux. DĂ©jĂ , on a commencĂ© par Ă©liminer ceux qui ne prenaient pas le temps d’écrire plus de trois phrases. Puis on a rĂ©alisĂ© qu’on prĂ©fĂ©rait Ă©changer avec ceux qui envoyaient des photos d’eux-mĂȘme jointes Ă  celle de leur bite ou pas, finalement. On a surtout fait confiance Ă  nos premiĂšres intuitions. Discuter avec quatre hommes, jusqu’à avoir un bon feeling AprĂšs ce premier tri, on a entamĂ© une correspondance avec 4 hommes diffĂ©rents. Avec l’un, on s’est rendu compte au cours des Ă©changes qu’il Ă©tait en couple et que sa femme n’était pas au courant de ses aventures pour nous, c’était niet. Avec un autre, nous avons ressenti venant de sa part un besoin pressant qui nous dĂ©rangeait. Et quand il a commencĂ© Ă  devenir vraiment trop insistant, nous avons coupĂ© court. Avec le troisiĂšme, c’était sympa mais je le trouvais un peu jeune. Il avait 25 ans, il sortait de sa premiĂšre relation longue et avait envie de se changer les idĂ©es. J’ai partagĂ© mes doutes avec mon mari mais comme le gars Ă©tait gentil, mignon et qu’il Ă©tait libre dans le week-end, nous avons convenu d’un rendez-vous dans un cafĂ© en bord de mer, dans la ville oĂč il habitait. Nous avons fait une heure de route et puis 15 minutes avant le rendez-vous, nous avons reçu un sms de sa part, nous disant qu’il Ă©tait dĂ©solĂ© mais que ça allait trop vite pour lui. Moi ça m’a un peu Ă©nervĂ©e sur le moment, mais au final je suis contente qu’il ait annulĂ© parce que ce n’était pas le bon. Le quatriĂšme, tu t’en doutes, Ă©tait le bon ! DĂšs le dĂ©but de nos Ă©changes par mails, on a senti qu’on Ă©tait sur la mĂȘme longueur d’onde. Sa photo de profil le montrait en visite dans un musĂ©e d’art, il avait notre Ăąge et avait dĂ©jĂ  eu deux expĂ©riences avec un couple pendant des vacances d’étĂ©. Ce qui nous a tout de suite rassurĂ©s. On parlait le mĂȘme langage et nous avons convenu d’une premiĂšre rencontre dans un bar de notre ville. Entre nos premiers Ă©changes et le rendez-vous, deux semaines s’étaient Ă©coulĂ©es. Un premier rendez-vous pour faire connaissance avant un Ă©ventuel plan Ă  trois Avec mon mec, une de nos limites Ă©tait qu’on ne voulait pas vivre cette expĂ©rience chez nous, on avait envie de protĂ©ger notre maison familiale et on Ă©tait prĂȘts Ă  prendre une chambre d’hĂŽtel si jamais la troisiĂšme personne partageait le mĂȘme besoin que le nĂŽtre. MĂȘme si on trouvait ça un peu froid les chambres d’hĂŽtel et que le fait de devoir payer pour vivre une expĂ©rience sexuelle me plaisait moyen
 Quand Peter est entrĂ© dans le bar, il nous a tout de suite plu, autant Ă  mon mec qu’à moi. On a aimĂ© ce qui se dĂ©gageait de sa personne. Il Ă©tait trĂšs similaire physiquement Ă  mon homme, mĂȘme taille, mince comme lui et trĂšs stressĂ© comme lui. C’était incroyable de se retrouver dans ce cafĂ©, sans se connaĂźtre pour parler de soi et de nos sexualitĂ©s. On s’est mis Ă  une table qui Ă©tait un peu Ă  l’écart pour pouvoir parler librement. Peter nous a racontĂ© ses deux expĂ©riences, Ă  chaque fois il s’était retrouvĂ© embarquĂ© par un couple homme-femme et il en gardait un merveilleux souvenir. Il nous en parlait de façon trĂšs belle et tendre. Il nous a aussi fait part de son stress et s’est dit intimidĂ© d’ĂȘtre lĂ , seul face Ă  nous entitĂ© couple. LĂ , j’ai rĂ©alisĂ© qu’il avait du courage en effet et ça nous a permis Ă  mon mari et moi d’ĂȘtre encore plus attentif Ă  lui. Ça collait bien entre nous Une de ses premiĂšres questions a Ă©tĂ© de nous demander pourquoi nous n’avions pas cherchĂ© un couple, comme nous Ă©tions un couple. On s’est retrouvĂ©s bĂȘtes car on y avait pas pensĂ©. Rencontrer une troisiĂšme personne c’est dĂ©jĂ  beaucoup, non ? » a Ă©tĂ© notre rĂ©ponse. Je nous trouvais trĂšs mignons tous les trois dans ce cafĂ© et Ă©trangement je me sentais Ă  l’aise. Pour lui, la nouveautĂ© Ă©tait d’ĂȘtre la personne expĂ©rimentĂ©e et de se retrouver en quelque sorte comme le guide de l’aventure. Il avait envie que ce soit aussi bien pour nous que ce qu’il avait vĂ©cu et se sentait investi d’une petite » responsabilitĂ©. Nous avons tout de suite rĂ©alisĂ© que ça collait bien entre nous, qu’on s’attirait autant Ă©motionnellement que physiquement alors nous sommes passĂ©s Ă  la vitesse supĂ©rieure. Je lui ai demandĂ© comment il imaginait les choses du cĂŽtĂ© pratique. En tant que cĂ©libataire, il nous a immĂ©diatement invitĂ© Ă  venir chez lui, et mĂȘme s’il n’avait pas projetĂ© que ça irait si vite, il a dit Bah oui finalement, si on a organisĂ© cette rencontre c’est pas pour faire genre et remettre Ă  plus tard ». Il nous a demandĂ© de lui donner 30 minutes d’avance afin qu’il prĂ©pare sa maison pour nous accueillir. PrĂ©venant, en plus. On sentait l’électricitĂ© Quand on s’est sĂ©parĂ©s au bar, on sentait l’électricitĂ© entre nous trois. Le moindre effleurement de peau et nos bises nous on fait rĂ©aliser Ă  quel point nous Ă©tions excitĂ©s ! ArrivĂ©s chez lui, nous avons dĂ©couvert sa maison super belle, bien dĂ©corĂ©e dans le style d’un mec cĂ©libataire ayant la quarantaine, du goĂ»t et des moyens. Nous sommes montĂ©s directement sous les combles oĂč nous attendait une chambre d’amis cosy, douillette avec poutres apparentes, le lit Ă  hauteur du sol, comme je les prĂ©fĂšre pour faire l’amour. Peter avait installĂ© son ordi pour mettre de la musique, et en plus il avait de trĂšs bon goĂ»ts musicaux. Il avait montĂ© son huile de massage et nous avions apportĂ© la nĂŽtre c’était la mĂȘme. Il Ă©tait vraiment aux petits soins avec nous. Son attention allait autant vers moi que vers mon homme. Quand on s’est dĂ©shabillĂ©s, mon mari m’a regardĂ©e en poussant un petit soupir de soulagement car Peter Ă©tait imberbe du torse et je savais qu’il avait super peur de se retrouver face Ă  un mec trĂšs poilu. Nous avons passĂ© une merveilleuse nuit d’amour. J’ai Ă©tĂ© une vraie princesse, choyĂ©e, comblĂ©e d’amour et de caresses, au centre de tout. On s’est bien amusĂ©s et on a aussi beaucoup ri de la nouveautĂ©. Parfois, on arrivait mĂȘme Ă  verbaliser les choses quand l’émotion Ă©tait trop forte. Quand je me suis retrouvĂ©e assise sur mes genoux entourĂ©e de deux magnifiques hommes avec de chaque cĂŽtĂ© Ă  hauteur de mon visage, leurs bites entre mes mains, puis contre mes joues, c’était houaaaa, trĂšs puissant. Quand j’y repense, ça m’émoustille encore entre les cuisses. Mon mari a pris beaucoup de plaisir Ă  regarder cet homme m’en donner Je crois que mon mari a pris beaucoup de plaisir Ă  regarder cet homme m’en donner et il Ă©tait sans aucun doute le plus excitĂ© de nous trois ! C’est d’ailleurs le seul Ă  avoir joui cette fois-lĂ . AprĂšs que nos ardeurs se soient calmĂ©es, nous avons passĂ© encore une heure sur le lit, Ă  Ă©couter de la musique, Ă  parler de plein de trucs diffĂ©rents, Ă  toucher nos corps tout doucement, Ă  se renifler tendrement. J’aimais particuliĂšrement sentir les diffĂ©rentes textures de peaux, de cheveux entre eux deux. La fatigue arrivant, il nous a proposĂ© de rester mais nous avions envie de nous rĂ©veiller chez nous au petit matin. On voulait prĂ©server intacte cette bulle temporelle, sans l’entacher de quotidien, avec un rĂ©veil Ă  gĂ©rer thĂ© ou cafĂ© ? » Au final, il ne m’a mĂȘme pas pĂ©nĂ©trĂ©e avec sa grosse queue. Ce n’est pas grave, je l’ai sentie aux creux des mes mains et elle a somptueusement rempli ma bouche, c’était largement suffisant. Pendant les deux jours qui ont suivi, j’ai littĂ©ralement planĂ©, j’avais beau agir au prĂ©sent, mes pensĂ©es s’en retournaient Ă  cette nuit magique, ça me faisait des petits papillons dans le corps et c’était dĂ©licieux. Pour mon homme, c’était la mĂȘme chose, quand on se croisait dans la maison, on se regardait dans les yeux avec beaucoup d’amour. On avait dĂ©sormais un beau secret Ă  chĂ©rir ensemble. Nous avons envoyĂ© un message Ă  Peter pour lui raconter notre Ă©tat, il nous a rĂ©pondu que lui aussi planait sur son petit nuage Ă  quelques kilomĂštres de lĂ . AprĂšs le plan Ă  trois avec mon mari, des questions Ă©mergent Le lundi, avec la reprise du boulot et le retour des enfants, on a dĂ» atterrir. À la fin de la semaine, mon souvenir s’est transformĂ© et j’ai rĂ©ussi Ă  analyser certaines choses. Je suis comme ça moi, j’intellectualise tout, c’est une belle qualitĂ© qui s’avĂšre parfois fatigante. Je suis alors revenue vers mon mari pour lui faire part de mon cheminement cĂ©rĂ©bral. C’était vraiment bien comme premiĂšre expĂ©rience MAIS j’avais finalement Ă©tĂ© gĂȘnĂ©e d’ĂȘtre le centre de tout. La danse Ă©tait codifiĂ©e dĂšs le dĂ©part alors qu’en amour je prĂ©fĂšre la danse libre. J’ai parfois eu la sensation d’ĂȘtre la dĂ©positaire de caresses qui ne m’appartenaient pas. Cette image a beaucoup parlĂ© Ă  mon compagnon et il a cogitĂ© sur ça quelques jours. Il a envoyĂ© un message Ă  Peter pour avoir son avis et Peter lui a effectivement dit qu’il s’était beaucoup retenu afin de respecter son fameux la femme reste centrale ». Ils se sont rendu compte qu’ils s’étaient attirĂ©s mutuellement mais qu’ils n’avaient pas osĂ© aller au-delĂ  de la complicitĂ© visuelle. Il faut savoir que Peter est hĂ©tĂ©ro. En dehors de ces trois aventures, il a toujours Ă©tĂ© attirĂ© par les femmes et a toujours eu des relations longues avec des femmes. Mon mec aussi. Un deuxiĂšme plan Ă  trois avec mon mari et encore plus de plaisir Nous avons organisĂ© une deuxiĂšme rencontre qui a surpassĂ© de loin la premiĂšre, chacun Ă©tant libre dans la danse de l’amour. On Ă©tait tous au mĂȘme niveau, Ă  Ă©galitĂ©. On a encore bien ri des nouveautĂ©s et moi j’ai littĂ©ralement fondu d’amour en les regardant. Avec Peter, on embrassait le corps de mon homme ensemble, chacun d’un cĂŽtĂ©, quatre mains se promenant sur lui, deux bouches sur son sexe, c’était hot. Tous le monde donnait, tous le monde recevait et on a eu droit Ă  de belles explosions de rires et de plaisirs, surtout quand mon mec s’adonnant Ă  une fellation s’est interrompu, surpris mais ça n’a pas de goĂ»t ! » Mon mari n’a pas remis en question son orientation sexuelle aprĂšs cette expĂ©rience. C’était une belle parenthĂšse dans notre vie, et nous en chĂ©rissons le souvenir ensemble. Cela nous a rendus encore plus soudĂ©s en tant que couple. Ce tĂ©moignage t’a donnĂ© envie de rĂ©agir ? Rendez-vous dans les commentaires pour en parler avec bienveillance et respect. TĂ©moignez sur Madmoizelle ! Pour tĂ©moigner sur Madmoizelle, Ă©crivez-nous Ă  [email protected] On a hĂąte de vous lire ! Pourfaire une blague Ă  son ami, ce mec a concoctĂ© avec l'aide de la petite amie de celui-ci une farce tordante. Il a fait croire Ă  son pote qu'il s'Ă©tait immiscĂ© chez lui pour prendre des Regardez bien autour de vous ; les voisins, les collĂšgues, les coĂ©quipiers qui ont le mĂȘme Ăąge que vous. Constatez qu’une grande majoritĂ© vit seule sans raison apparente. En Afrique par exemple, il est inadmissible qu’un jeune homme entre 25 et 35 ans, libre et qui a un travail, vive seul. Mais en Europe moderne vous serez surpris de constater que le cĂ©libat des hommes est une Ă©pidĂ©mie qui rafle toute une jeunesse mĂ»re en Ăąge de se marier ; certains ne savent pas draguer les femmes. Ce sont souvent les femmes qui draguent leurs gars. Et tant que ce n'est pas encore arrivĂ©, ils se masturbent. Et si cela n'arrive jamais, ils vont en Thailande pour ceux qui peuvent. Le reste devient aigri, raciste Ă  la limite votant pour Lepen. Certains dĂ©tourneront le regard lorsqu'on parlera de ce genre de choses. Mais les mĂȘmes gens dĂ©tournent aussi le regard lorsqu'on leur demande de porter des prĂ©servatifs pour se protĂ©ger. Ils ne savent pas ce qui est bon de faire et ce qui n’est pas bon de faire devant une belle femme. La multiplication des sites de rencontre n’a pas l’air de rĂ©soudre le problĂšme. Parceque, mĂȘme par e-mail, il faut charmer la femme. En France, seulement 1 fille sur 10 en Ăąge de se marier a un copain fixe avec qui elle vit maritalement. On ne parle pas du copinage et de la "fornication sauvage". L'Ăąge du mariage est poussĂ© Ă  30-35 ans pour les filles, 40 ans et plus pour les hommes pour ceux lĂ  mĂȘme qui ont de la chance de se marier. Or Ă  cet age, on est plus trĂšs sĂ»r de faire de beaux enfants. Parce que 35 ans pour une fille cela veut dire au moins 20 ans de pillules anti-grossesse et 3 Ă  4 avortements. Cela donne mĂ©nopause prĂ©coce ou mĂ©nopause forcĂ©e avec les risques des cancers du sein et/ou d'utĂ©rus. On ne peut pas ne pas dire que plus la fille est jeune 22 Ă  25 ans, plus elle est fĂ©conde et pure. Et vous avez plus ou moins l'assurance que si la fille vient d'une bonne famille chrĂ©tienne, il y a des chances que vous soyez le 2Ăšme ou le 3Ăšme homme. La consĂ©quence sociale de ce cĂ©libat forcĂ© est que, la masturbation masculine en Europe est un championnat. Les hommes se masturbent jusqu’à se blesser. Ils n’ont rien d’autres Ă  faire Ă  la place. Les mĂ©decins font des efforts pour dĂ©culpabiliser l’action de se masturber. Et pourtant, tous les psychologues sont unanimes pour dire que la masturbation trouble l’équilibre hormonal, ce qui Ă  la longue peut conduire Ă  la frigiditĂ©. Savez vous que les pervers sexuels et les pĂ©dophiles sont souvent des gens qui ont eu une expĂ©rience sexuelle ratĂ©e? Comment expliquer alors que certains europĂ©ens en arrivent Ă  inviter un black Ă  faire l'amour Ă  sa femme devant lui? Ne saviez vous pas que les clubs de rencontres couples europĂ©ens - blcks Ă  buts essentiellement sexuels se multiplient Ă  Paris et dans les grandes villes en Europe? Une autre consĂ©quence de cet Ă©chec social, c'est la montĂ©e de la prostitution. Ce sale mĂ©tier qui devrait ĂȘtre combattu est entrain d'ĂȘtre lĂ©galisĂ© dans toute l'Europe. Parlant de prostitution, on ne se limitera pas au marchandage de sexe. Regardez donc comment les clubs de Partage, ce que certains appellent Orgie Party ou bien Gang Bang Party se multiplient. C'est Ă  dire, ce sont des hommes qui vont se soulager en groupe auprĂšs de la femme qu'un volontaire a mis Ă  la disposition d'hommes inconnus. OĂč sont donc les fĂ©ministes. Les femmes sont elles devenues des dĂ©charges publiques? Et pourtant cela devient officiel petit Ă  petit. Recherez dans Google par mots clĂ©s les mots "Gangbang party" ou bien "Orgie". Vous serez surpris par l'offre. C'est cela le constat d'Ă©chec social. Il paraĂźt que les occidentaux ne savent pas non plus garder les femmes Voici pourquoi les femmes europĂ©ennes aiment les noirs Les blacks ont certainement profitĂ© de ce manque d’opportunisme gĂ©nĂ©ralisĂ© de certains europĂ©ens pour s’intĂ©grer en Europe. Vous vous demandez Pourquoi les hommes noirs Ă©pousent tant de femmes blanches. » Mais la question devrait ĂȘtre Pourquoi les femmes occidentales sĂ©duisent tant les blacks. » La rĂ©ponse est simple elles sont seules et veulent un homme ; un vrai homme viril, capable de dire, voilĂ  ce que je pense, voilĂ  ce que j’ai dĂ©cidĂ© de faire
etc, et pas seulement des petits lĂ©cheurs de cul, pleurnichards. Si vous jetez un coup d’Ɠil dans les sites de rencontres. Ce genre de texte ne vous Ă©chappera pas. Jeune femme, 25 ans cherche vrai homme pour mariage si possible » Classiquement, les femmes ont toujours prĂ©fĂ©rĂ© Ă©pouser les hommes qui sont dĂ©jĂ  financiĂšrement assis. C’est ce que vous pensez. Mais comment expliquer que certains noirs en Europe, sans papiers, sans travail, sans logement fixe rĂ©ussissent Ă  Ă©pouser des blanches qui travaillent, ont un logement. A l'inverse, un homme europĂ©en, belle maison Ă©quipĂ©e, belle voiture, bon salaire n'arrive pas Ă  trouver de femme? Pourtant, les barriĂšres sociales et ou les prĂ©jugĂ©s restent un obstacle majeur aux mariages mixtes, surtout quand l’homme noir est pauvre sans emploi, sans papiers. C’est encore un challenge d’épouser une femme blanche en Europe. Heureusement le Danemark fait exception La famille, les amis et mĂȘme les autoritĂ©s. On vous demandera parfois des papiers que vous ne pouvez pas avoir. Par exemple, en Allemagne, pour se marier, ils vous demandent d’apporter ce qu’on appelle EhefĂ€higkeitszeugnis . Un ami m’a traduit cela. C'est-Ă -dire il faut avoir capacitĂ© de se marier avant d’obtenir le droit de se marier. Bizarre surtout que ce document s’obtient dans le lieu oĂč vous ĂȘtes nĂ©. Qui va vous le fabriquer en afrique. Ceux qui croient que les femmes europĂ©ennes aiment les blacks Ă  cause de la grosse bite, n’ont rien compris de la sexualitĂ© des femmes. La grosse bite est impressionnante et curieuse pour tout le monde mĂȘme pour les hommes, mais ce n’est pas pour cela qu’une femme en dehors des salopes pourrait pencher vers un homme. Les femmes aiment les vrais hommes. Et pour le moment, les vrais hommes virils sont les blacks et les mĂ©tisses en majoritĂ© et aussi quelques europĂ©ens culturellement mĂ©tissĂ©s. Un vrai homme est travailleur, indĂ©pendant, protecteur, fort, sportif, efficace, dominant mĂȘme. Un vrai homme est spontanĂ©, intelligent, responsable, charmeur
un vrai homme connait, et doit connaitre. Et il connait. Que dire, les femmes aiment les gens cultivĂ©s aussi. Par exemple, votre femme veut appeler un plombier pour brancher la machine Ă  laver. Dites lui. Laisse moi faire mĂȘme si ce sera la 1Ăšre fois que vous le faites. Mais si vous dites Oh Oh vraiment chĂ©rie, il faut appeler ce plombier lĂ  j'ai aucune idĂ©e des choses comme cĂ . » Alors, c’est le plombier qui est le vrai homme et ne soyez pas surpris demain Mr. plombier reviendra Ă  votre absence, cette fois pour masser madame
. Soyez comme des soldats. Ces vrais hommes S'il y a des femmes qui n'aiment pas les hommes en tenue c'est Ă  cause du traumatisme du soldat qui tue et qui est tuĂ©. Sinon, les femmes trouvent les militaires et gendarmes trĂšs sexy. Ceux qui ont eu la chance de faire une formation militaire sont tĂ©moins d'une chose C'est qu'un vrai soldat est un homme, un vrai. On vous a demandĂ© d'ĂȘtre vainqueur face aux Ă©preuves dont vous expĂ©rimentiez pour la 1Ăšre fois. Par exemple, on vous jette dans un fleuve et vous devez vaincre le courant Ă  la nage. Si vous coulez on vous lance un gilet sauveteur, vous devez pouvoir l'attraper et rejoindre la rive, par tous les moyens. D'ailleurs, l'hĂ©lico ne vous attend pas et il faudra grimper par le train d'atterrissage pour ne pas rester dans la jungle. Si vous ne voulez pas manger les conserves, vous devez capturer les poissons vivants dans l'eau, ou Ă©trangler la biche avec vos mains. Alors le dernier jour , l'officier vient vous mettre les galons. Vous ĂȘtes l'homme le plus heureux du monde, parce qu'il confirme que vous ĂȘtes un homme, un vrai, car les faibles et les poulets de fermes sont Ă©liminĂ©s et "renvoyĂ©s entre les cuisses de leurs mamans tĂȘter". Avez vous dĂ©jĂ  rencontrĂ© un officier cĂ©libataire? Croyez vous qu'un soldat qui attrape un poisson vivant dans l'eau, est incapable de dire bonjour Ă  une femme? Un vrai homme est macho, un peu ? Certains mots peuvent vous avoir choquĂ©, mais peu importe. "Toute vĂ©ritĂ© a besoin d'un courageux pour la clamer " Les femmes n’aiment surtout pas les hommes soumis, faibles, pleurnichards, les petits garçons dĂ©pendants, collants, incapables, effĂ©minĂ©s. Etre macho ne devrait pas signifier battre sa femme, l’humilier en public ou lui montrer que vous avez d’autres copines. Etre macho ici c’est ĂȘtre capable. C'est dire "Moi, je suis
 je pense" alors votre femme parlera avec orgueil Ă  ses amies. "Mon mari c'est un dur...tu sais" Plaidoyer pour une sociĂ©tĂ© multiculturelle Tous les noirs ne sont pas charmeurs et paresseux et tous les blancs ne sont pas des soumis pleurnichards. Le mĂ©tissage culturel aura une valeur d’or dans le futur. Le racisme est un bateau qui coule. Il faut plaider pour une sociĂ©tĂ© multiculturelle plutĂŽt que de se cantonner dans des prĂ©jugĂ©s. Oui il y a des diffĂ©rences culturelles entre blancs et noirs et ce n'est pas un prĂ©jugĂ©. C'est vrai. Cela n’est pas liĂ© Ă  la couleur de la peau, mais au milieu dans lequel on a grandi. Les africains noirs vivent dans des sociĂ©tĂ©s oĂč on n’est pas sanctionnĂ© parce qu’on vient en retard, et oĂč pour avoir une femme, il faut ĂȘtre un malin fin charmeur. Le blanc vit dans une sociĂ©tĂ© oĂč l’effort est rĂ©compensĂ©, le retard puni. L’homme recherchĂ© de demain sera un homme multiculturel. Un homme tolĂ©rant, et surtout pas raciste. Vive le mĂ©tissage culturel. Blancs et noirs unissez-vous ! Blancs, ayez des amis noirs et laissez tomber les prĂ©jugĂ©s des races. Il n’y a en fait qu’une seule race d’hommes. Vos enfants profiteront de cette vision future d’un monde sans barriĂšre raciale. On dit aussi des blancs qu'ils ne savent pas sauter, qu'ils ne savent pas sprinter, qu'ils ne savent pas danser. En revanche, " ce sont de bons travailleurs, disciplinĂ©s et structurĂ©s" Vous avez dit mĂ©tissage culturel!. Ouf! SĂ©dar Senghor ressusciterait, lui que les africains avait qualifiĂ© de traitre lorsqu'il a honorĂ© le mĂ©tissage culturel. Jusqu'Ă  prĂ©sent, il est le seul blancs et noirs confondus Ă  avoir dĂ©fendu le mĂ©tissage culturel. Les blancs pas tous - ne nous prĂȘtez pas les mots sont des travailleurs acharnĂ©s, des gens structurĂ©s qui savent planifier le futur, mais ils ne savent pas draguer les femmes. Le noir n’est pas un travailleur volontiers. Le noir travaille bien lorsqu’il est sous pression. Le noir est indisciplinĂ©, et ne connait pas la notion du temps et de la notion de bonne gouvernance, mais c’est un charmeur trĂšs souvent. La sociĂ©tĂ© a besoin d’hommes de toutes les origines pour se complĂ©ter. Mais vous qui rĂ©pondez en disant, les femmes blanches Ă©pousent les hommes noirs parce qu’elles fantasment sur les grosses bites des noirs. Ce sont des prostituĂ©es des noirs. Vous vous trompez, parce que les noirs n’épousent pas eux non plus les prostituĂ©es. Ce ne sont pas des prostituĂ©es, ce sont des femmes. D’ailleurs avant d’en arriver Ă  la bite, il faut d’abord rĂ©ussir Ă  charmer la femme. Vous vous trompez parce que la rĂ©ponse est que ces hommes noirs lĂ  sont des hommes. Ce sont des fins charmeurs protecteurs. Ce sont des hommes, des vrais. D’ailleurs, Ă  cause des blocages administratifs, des prĂ©jugĂ©s des amis et de la famille, lorsqu’un noir rĂ©ussit Ă  Ă©pouser une femme blanche, c’est qu’elle est follement amoureuse car c’est elle qui rendra le mariage possible par tous les moyens, mĂȘme s’il faut Ă©carter sa famille, mĂȘme s'il faut prendre un avocat pour contrer les autoritĂ©s, ce qui est gĂ©nĂ©ralement le cas pour ceux qui ne veulent pas aller au Danmark. Qu’est ce qu’un vrai homme ?MĂȘme lorsqu'ils sont mariĂ©s, certains europĂ©ens et certains blacks ne savent pas comment faire plaisir Ă  la femme, comment vivre avec une femme, comment l’aimer, comment entretenir la flamme d’amour. Certains pensent qu’aimer une femme c’est se soumettre. Et ils sont soumis jusqu’à faire pitiĂ©. Ils croient pouvoir Ă©viter la confrontation en devenant des Mr. Oui...Oui. Ils croient ĂȘtre gentlemen en se laissant frapper sur le crĂąne. Par exemple quand la femme est fĂąchĂ©e, ils se mettent Ă  genoux, demandent pardon jusqu’à ce que les larmes coulent mĂȘme pour ce qu'ils n'ont pas fait. On a vu des hommes se rĂ©pentir devant des femmes adultĂšres. "Oh chĂ©rie, je sais si tu as fait cela, c'est aussi d'une part de ma faute aussi." Mais voilĂ  que tout ce cinĂ©ma n’a jamais Ă©tĂ© suffisant pour retenir une femme qui pense dĂ©jĂ  Ă  autre chose. La preuve est que les divorces en Europe ont dĂ©passĂ© les proportions de 60% dans les grandes villes Parce que les femmes n’aiment pas les petits garçons. Il est vrai d’une part que dans la majoritĂ© des mariages mixtes, le mĂąle est noir et la femelle est blanche. S’il y a peu de blancs qui Ă©pousent les filles noires, ce n’est pas parce qu’elles ne sont pas belles ou parce qu’ils sont racistes, mais parce qu'ils en sont incapables. Ils ont peur des femmes. MĂȘme entre-eux, certains ne draguent pas non plus les femmes europĂ©ennes. RVYnY8.
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